Série mythique Pourquoi on prend toujours de plaisir à voir et revoir « Desperate Housewives » ?

Elvire Küenzi

4.10.2021

La chaîne 6ter rediffuse la mythique série de Marc Cherry du lundi au vendredi dès 16h30. Les femmes au foyer de Wisteria Lane nous procurent toujours autant d’émotions. Pourquoi ? On en parle aujourd’hui !

Durant sa diffusion, « Desperate Housewives » a gagné des dizaines de prix dont plusieurs Emmy Awards et Golden Globes. Le milieu audiovisuel a reconnu le talent des actrices et a notamment salué le montage, la direction artistique ou encore les costumes de la série.
Durant sa diffusion, « Desperate Housewives » a gagné des dizaines de prix dont plusieurs Emmy Awards et Golden Globes. Le milieu audiovisuel a reconnu le talent des actrices et a notamment salué le montage, la direction artistique ou encore les costumes de la série.
ABC Légende 

Elvire Küenzi

4.10.2021

Créée par le scénariste Marc Cherry, « Desperate Housewives » débarque sur le réseau ABC en 2004. Ce programme mettant en scène Susan, Bree, Gabrielle et Lynette a rapidement connu un succès mondial.

Les histoires de couples

Entre les flamboyants Carlos et Gabrielle, les plus classiques mais tellement adorables Lynette et Tom ou encore Bree et la folle aventure de ses conquêtes, notre besoin de romance et d’amour est comblé à chaque épisode. Sans oublier les inoubliables Susan et Mike ! Les histoires de couples sont décortiquées et nous permettent d’analyser, de comprendre et de mettre en lumière les enjeux de la vie à deux dans le pire comme dans le meilleur. Forcément, on se reconnaît et on s’identifie dans les problématiques abordées. Comme quoi, visionner « Desperate Housewives » ressemble à une vraie thérapie (ou du moins, à un exercice de développement personnel et c’est déjà pas mal) !

Une série qui mêle les genres et dans laquelle on ne s’ennuie jamais

Durant les huit saisons, on a eu la chance de vivre mille et une émotions avec nos héroïnes préférées. Suicide, romance, meurtre, suspens, enquête, humour… « Desperate Housewives » se définit comme une comédie dramatique. Elle est encore plus riche que cela et mixe habilement plusieurs genres avec brio.

La série est bien construite (tout comme ses personnages d’ailleurs) et les multiples rebondissements ont rendu des milliers de téléspectateurs accros. On est bien conscient que personne ne vit autant de drames dans une vie (être complice d’un meurtre, la victime d’un psychopathe et assister à l’assassinat de son mari à l’instar de Susan, ça n’arrive pas à tout le monde, heureusement !) mais les intrigues fonctionnent à merveille et on ne s’en lasse pas même si on les a déjà vues sept fois au moins.

Des femmes au premier plan

Si on a aussi vite accroché à « Desperate Housewives », c’est avant tout grâce à ses personnages féminins complexes, drôles et terriblement humains. Chacune d’entre elles a connu des blessures et doit composer avec un passé complexe. Comme nous, en sommes ! C’est l’une des premières séries qui s’intéresse à la vie des femmes au foyer et qui traite avec humour le rôle de mère (sans l’idéaliser) ou d’épouse.

Des années après sa première diffusion en 2004, cette fiction conserve son attrait. L’écriture des dialogues, la finesse des échanges et des situations et les nombreux rebondissements rendent la série inoubliable. Pour vous plonger dans « Desperate Housewives », rendez-vous du lundi au vendredi à 16h30 sur 6ter.

Rédactrice pour différents journaux suisses, blogueuse et passionnée des mots, Elvire Küenzi adore les séries (elle est tombée dans le chaudron magique en regardant Sex and the City et n'en est jamais ressortie)! Elle écrit aussi des romans girly en mangeant des marshmallows et en sirotant des cocktails (avec modération, bien sûr).
Rédactrice pour différents journaux suisses, blogueuse et passionnée des mots, Elvire Küenzi adore les séries (elle est tombée dans le chaudron magique en regardant Sex and the City et n'en est jamais ressortie)! Elle écrit aussi des romans girly en mangeant des marshmallows et en sirotant des cocktails (avec modération, bien sûr).