Révélations d'une ex-collaboratrice Melania Trump: «Elle compte les minutes jusqu’à son divorce»

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15.8.2018

Régulièrement, le couple Trump ouvre la voie à diverses spéculations sur son entente conjugale. Voilà qu’une ancienne collaboratrice du président met de l'huile sur le feu.

Depuis plusieurs jours, l’ancienne collaboratrice de Donald Trump, Omarosa Manigault Newman, et ses enregistrements de conversations à la Maison-Blanche font sensation. Dans son livre de révélations paru cette semaine «Unhinged: An Insider’s Account of the Trump White House», cette ex-alliée de 44 ans accuse même le président américain d’être «raciste, intolérant et misogyne».

Mais Omarosa Manigault Newman n’épargne nullement sa femme Melania (48 ans). Celle-ci serait plus qu’impatiente que la présidence de son mari prenne fin, et ce pour une simple et bonne raison. «À mon avis, Melania compte les minutes la séparant de la fin de son mandat pour pouvoir demander le divorce», prétend Omarosa Manigault Newman qui connaît Donald Trump (72 ans) depuis sa participation à son show de téléréalité «The Apprentice» en 2004.

Vengeance par style vestimentaire ?

Pour exprimer en public sa colère contre son époux, la première dame des États-Unis aurait recours à un moyen bien particulier: «Je crois que Melania se sert de son style vestimentaire pour atteindre son mari», spécule cette ancienne candidate de téléréalité.

Le chemisier rose «nœud de minou» («Pussy Bow») qu’elle portait lors de la campagne électorale en 2016 et qui a fait couler tant d‘encre? Une allusion claire à la bande-son divulguée peu de temps auparavant, «Grab them by the pussy», affirme Omarosa Manigault Newman. Il en va de même pour la veste portant l‘inscription «Je n’en ai strictement rien à faire, et vous?», que Melania portait lors de la visite d’un camp de migrants, et qui serait en fait une attaque à destination de Donald Trump. Cette déclaration ne viserait donc pas les médias, contrairement à ce que ce dernier a cru bon de clarifier ultérieurement dans un tweet.

«Elle portait cette veste pour lui porter préjudice»

«Elle portait cette veste pour lui porter préjudice, pour provoquer une controverse qu’il a dû par la suite contrecarrer. Elle est ainsi parvenue à prolonger le débat sur l’insensibilité du gouvernement, a anéanti le succès de l’action de relations publiques, tout en s'assurant que plus personne ne lui demande jamais de refaire une semblable prestation», explique l’ancienne protégée de Trump qui a été congédiée au mois de décembre.

La First Lady en personne a fait parvenir un démenti par sa porte-parole Stephanie Grisham: «Mrs. Trump a eu affaire à Omarosa extrêmement rarement » cite «Newsweek». «Il est décevant de constater qu’elle veuille se venger de manière aussi intéressée, surtout après que le président lui a ouvert autant de portes». Des paroles plus douces que les mots que Donald Trump a choisis pour désigner son ancienne directrice de communication ces derniers jours lors d’apparitions publiques et dans divers tweets, la traitant, entre autres, de «folle», de «malade mentale» et de «minable».

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