Michael Bublé L'artiste a toujours su qu'il deviendrait une star de la chanson

Michael Bublé a toujours cru en lui et su qu'il deviendrait une star de la chanson. L'artiste s'est confié sur cette impression dans une interview pour Variety.

Le crooner canadien a passé des années à se produire dans des centres commerciaux, sur des bateaux de croisière et dans des bars et des discothèques avant de signer un contrat d'enregistrement et de se faire un nom. Malgré ses difficultés au cours de ces années, il savait qu'il était destiné à réussir un jour.

« J'en étais vraiment sûr. J'avais ce pressentiment que si j'avais un plan à suivre, que je le tenais au jour le jour, que je restais fidèle à moi-même, que je construisais une équipe autour de moi qui m'aimait et croyait en moi, alors j'arriverais d'une manière ou d'une autre où j'en suis aujourd'hui, a-t-il expliqué à Variety. Et avec le recul, je me rends compte à quel point j'ai été incroyablement chanceux. Peu importe le talent que vous avez, il y a tellement de dominos qui doivent tomber de manière parfaite pour que ce genre de rêve devienne réalité. Mais j'avais définitivement la conviction totale et absolue que ça se passerait comme ça. Peut-être était-ce parce que je ne pouvais pas accepter que cela ne se produise pas. »

La star de 47 ans a raconté avoir contacté chaque maison de disques pour tenter de se faire signer au début de sa carrière, mais qu'elles l'avaient toutes rejeté pour la même raison : elles ne sauraient pas quoi faire de lui. Même son manager de longue date, Bruce Allen, a refusé de le signer pendant cinq ou six ans.

Le chanteur de Haven't Met You Yet ne s'est cependant jamais laissé abattre et a aimé relever le défi de faire changer les gens d'avis. « J'ai vraiment apprécié chaque défi, a-t-il déclaré. Et chaque étape pour moi était une autre occasion de faire changer cette personne d'avis ou peut-être de lui faire voir ce que l'autre n'avait pas vu. Je me suis dit que si je pouvais juste construire, encore et encore, à un moment donné, quelqu'un va se dire : «Il nous faut ce gamin parce qu'il vaut vraiment le détour." »