People Ben Mendelsohn : rencontrer Spielberg, ce n’est pas rien !

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1.12.2017 - 13:51

(Cover) - FR Showbiz - Ben Mendelsohn joue le rôle de Nolan Sorrento dans le prochain film de science-fiction, Ready Player One, qui se déroule dans un futur dystopique où la réalité virtuelle sert d’échappatoire à la désolation de la Terre.

L’acteur australien a travaillé avec d'innombrables cinéastes au fil des années, de Ridley Scott à Christopher Nolan, mais c'est sa collaboration avec Steven Spielberg qui l’a rendu le plus nerveux. « J'étais très excité et nerveux, j'ai eu du mal à le regarder dans les yeux, a-t-il confié au magazine Empire à propos de sa rencontre avec le réalisateur. Steven a créé une grande partie de la culture populaire légendaire. Son catalogue est tellement énorme et génial. J'aime Il faut sauver le soldat Ryan. J'aime 1941. J’ai un gros faible pour Poltergeist (que Steven Spielberg a produit), avec la petite fille et la télévision et l’esprit de la charmante petite femme. Ce qui me rend heureux de travailler avec Spielberg est de pouvoir jouer dans cet univers de la culture pop, dont il est un contributeur important. »

A l’affiche de ce film prévu pour 2018, on retrouve également Simon Pegg, Mark Rylance, Olivia Cooke et Tye Sheridan, dont le personnage, Wade, participe à un nouveau jeu pour devenir propriétaire d’un monde virtuel connu sous le nom d’OASIS (Simulation Immersive Sensorielle Ontologiquement Anthropocentrique), sans savoir qu'une énorme corporation cherche également à en prendre le contrôle.

La bande-annonce comporte beaucoup de références à d'autres films et personnages, dont Le Géant de Fer, Freddy Krueger et la célèbre DeLorean des films Retour vers le Futur, produits par Spielberg.

Au sujet de son dernier projet, le réalisateur avait précédemment expliqué à Collider : « J'espère que le film nous ramènera tous à l'émerveillement des années 80. J'adore les années 80. Je pense que l'une des raisons pour lesquelles j'ai décidé de faire ce film était qu'il me rappelait les années 80 et me permettait de faire tout ce que je veux. »

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