Pour Carla Bruni qui s’est confiée à Vanity Fair Espagne, vieillir n’est pas vraiment un problème, du moment que l’on conserve son charme. La chanteuse et mannequin estime que le Botox n’est plus de son âge, mais apprécie les ultrasons pour entretenir son visage.
Covermedia
18.03.2021, 17:18
19.03.2021, 14:09
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«La beauté est très relative»
Carla Bruni a confié ses réflexions sur l’avancée en âge et le passage du temps dans un entretien avec l’édition espagnole de Vanity Fair. La chanteuse qui fut mannequin vedette dans sa jeunesse et que l’on a pu voir de temps à autres ces dernières années sur des podiums de défilés de la Fashion Week semble tranquille par rapport aux notions de beauté et d’âge. «La beauté est très relative. J'ai vu tant de belles femmes qui n'avaient aucun charme...», dit-elle avant de citer Jane Fonda comme son modèle: «Je regarde Jane Fonda et je me dis: «Je veux être comme elle. Tellement captivante qu'hommes et femmes se disent: «On s'en fout, je veux avoir 80 ans».»
«Vous pouvez mettre du Botox partout: ce qui tombe va tomber!»
Un âge dont elle est encore loin. Loin aussi les 30 ans auxquels, dit-elle, on peut songer à utiliser le Botox. Car maintenant, estime-t-elle, cela n’est plus utile: «Le Botox n'est pas bon à mon âge. À 30 ans, oui, mais à mon âge, le problème ce ne sont pas les rides, mais de garder tout en place. Vous pouvez mettre du Botox partout: ce qui tombe va tomber! En fait, [il] aggrave ce phénomène», explique celle qui dit ne jamais avoir utilisé ce produit.
Toutefois Carla Bruni ne reste pas sans rien faire pour entretenir la jeunesse de sa peau: elle fait appel aux traitements laser de type ultrasons, Fraxel ou radiofréquence. «Pas d'aiguille, pas de risque. Ce sont des machines qui stimulent le derme et l'épiderme et vous donnent un aspect naturel», précise-t-elle, en ajoutant qu’elle craint toute intervention définitive.