Actu people Charlie Hunnam : il vole des costumes du film Bush de Guy Ritchie

Charlie Hunnam a tellement aimé les costumes qu’il a portés pour le nouveau film de Guy Ritchie, Bush, qu’il les a volés une fois le tournage terminé. Il a parlé de son habitude de subtiliser des accessoires de films dans une interview pour Total Film.

Charlie Hunman semble être un voleur régulier de costumes et d'accessoires de films. L'acteur est à l'affiche du dernier long-métrage de Guy Ritchie, Bush, aux côtés de Colin Farrell et de Matthew McConaughey. Lui et ses camarades ont récemment terminé le tournage et il a avoué en avoir emporté quelques souvenirs.

« J'ai volé des choses dans mon dernier film, a-t-il confié au magazine Total Film. Il m'avait fait porter des tenues vraiment cool, alors j'ai subtilisé quelques articles de choix. »

Et il avoue que ce n’est pas la première fois qu’il s'est servi dans le décor d’un film. En effet, lorsque la série Sons of Anarchy a pris fin en 2014, il a emporté une moto avec lui.

Lorsqu'on lui a demandé s'il avait volé beaucoup d'accessoires sur ses tournages, l'acteur de 38 ans a déclaré : « Des tonnes de trucs. Tout le temps. Quand Sons (of Anarchy) s'est fini, j'ai juste pris tout ce qui n'était pas cloué au sol. J'ai pris la moto, mes cartes et des tonnes de costumes. »

Un film pour lequel il a été moins enclin à emporter ses costumes et accessoires, cependant, était la superproduction de science-fiction Pacific Rim de Guillermo del Toro. En effet, le costume qu’il portait en tant qu’opérateur d’un robot géant nommé Jaeger était incroyablement inconfortable.

« J'étais dans ce robot vêtu de ce costume très lourd et inconfortable. J'ai passé cinq semaines dans cet engin, a-t-il expliqué. Parfois, 16 heures par jour. Je lève toujours les yeux au ciel lorsqu'un acteur parle de la difficulté de filmer. »

Expliquant à quel point les costumes et les cascades ont été exigeants physiquement pour ce film, il a ajouté : « À la troisième semaine, quand j'avais déplacé deux disques dans mon dos, et je ne plaisante pas, c'était incroyablement désagréable. »