Menaces Meghan et Harry menacés: de nombreux appels à la police en quelques mois

Depuis qu’ils ont emménagé dans leur villa de luxe de Montecito, en Californie, en juillet 2020, Meghan Markle et Harry ont été contraints d’appeler la police neuf fois, soit presque un appel par mois.

Les Sussex sont constamment attaqués et dans le collimateur de fanatiques ou simplement d’admirateurs trop enthousiastes qui souhaitent se faufiler dans leur maison. Ainsi, le bureau du shérif du comté de Santa Barbara a reçu neuf signalements en provenance du manoir de Harry et Meghan en autant de mois, dont deux à Noël lorsqu’un individu a tenté de pénétrer dans la propriété du couple, et le système d’alarme de la villa s’est déclenché cinq fois au moins.

Comme le rapporte «The Sun» (lien en anglais), ces données ont été rendues publiques après que Meghan Markle et Harry ont partagé leurs craintes concernant leur propre sécurité avec Oprah Winfrey. En fait, d’après les enregistrements de la police, le couple ne semble pas s’alarmer pour rien. Rien qu’en juillet 2020, quatre interventions de police ont été déclenchées, dont une après un appel téléphonique de Meghan et Harry, tandis que les autres ont été enregistrées comme des «activations d’alarme». Et toutes se sont produites aux premières heures de la journée.

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Une autre demande est arrivée en août, puis une autre en novembre. Enfin, à Noël, un homme originaire de l’Ohio, Nickolas Brooks, s’est glissé dans la propriété privée. Arrêté le 25 décembre par la police, il n’a pas renoncé pour autant et est retourné à la villa des Sussex dès le lendemain de Noël avant d’être à nouveau arrêté pour intrusion, puis rapidement relâché. L’homme, qui a apparemment un casier judiciaire chargé, a déclaré: «Je ne sais pas pourquoi je suis allé chez eux, c’est là que je me suis retrouvé. J’ai traversé le pays en voiture, je sais que c’est fou». Et d’ajouter: «J’ai passé une nuit en prison et on m’a dit de ne pas m’approcher de leur propriété, mais je ne serai pas jugé».

Le dernier appel enregistré depuis la villa du Sussex date du 16 février 2021 et a été classé comme une «activation d’alarme». Les représentants de Harry et Meghan n’ont pas souhaité faire de commentaire, de même que le porte-parole du shérif de Santa Barbara n’a pas voulu donner plus de détails.

Des menaces au Royaume-Uni

De toute évidence, l’arrivée de Meghan et Harry à Montecito a attiré sur eux l’attention de nombreuses personnes, due non seulement à la nouveauté d’avoir des membres de la famille royale en Californie mais aussi au fait que le couple est apparu plus vulnérable depuis qu’il a perdu la protection de Buckingham Palace.

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Déjà, au Royaume-Uni, Meghan et Harry avaient été victimes de menaces, prises très au sérieux par Scotland Yard. En effet, un groupe néonazi avait menacé de tuer le prince Harry pour son mariage avec Meghan Markle, rappelle «Closer». Plusieurs médias locaux avaient rendu public l’un des messages de menace que la famille royale avait reçus. Il s’agissait notamment d’un dessin dans lequel un pistolet apparaît pointé sur le visage du plus jeune fils de Lady Di, avec le message «à bientôt, traître à la race».

Selon l’enquête, les responsables de ces menaces étaient un adolescent de 18 ans et un étudiant universitaire de 21 ans, qui seraient également liés à une organisation néonazie dirigée par Brandon Russell, condamné à cinq ans de prison pour avoir fabriqué des explosifs dans son appartement en Floride. Les deux jeunes hommes ont été arrêtés pour leur lien avec le groupe qui a diffusé les menaces, Sonnenkrieg Division, un dérivé de l’organisation américaine Atomwaffen Division.

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En outre, «Femina» rapporte que le prince Harry est et a été une cible pour les terroristes à plusieurs reprises en raison de son passé militaire. Ses anciens frères d’armes assurent d’ailleurs qu’«il est l’une des têtes couronnées les plus menacées. Il a clairement besoin d’une protection de sécurité».