People Francia Raisa considère que Selena Gomez fait partie de sa famille depuis qu'elle lui a donné un de ses reins

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18.2.2018 - 13:06

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Francia Raisa avait donné un de ses reins à son amie Selena Gomez l'été dernier. Dans l'émission d'Harry Connick Jr., Harry, elle vient de raconter les difficultés qu'elle a eu à se remettre de l'opération.

Depuis qu'elle a donné un de ses reins à son amie Selena Gomez, Francia Raisa considère que la chanteuse fait partie de sa famille.

L'actrice de Grown-ish était interviewée dans l'émission d'Harry Connick Jr., diffusée prochainement, et dans un extrait en avant-première, elle a raconté ses difficultés à se remettre de l'opération qu'elle et Selena Gomez ont subi en juin dernier. Souffrant d'un lupus depuis des années, Selena Gomez avait besoin d'une greffe de rein.

« Elle était mal à l'aise que ce soit moi qui fasse ça alors qu'on n'était qu'amies, je ne faisais pas partie de sa famille. Mais maintenant, c'est le cas. Elle a mon sang. Elle se sentait mal et elle voulait que nos familles soient là et c'est très cool, maintenant on a une grande famille. J'ai perdu mes grands-parents quand j'étais petite. Mais ses grands-parents sont mes grands-parents maintenant, c'est comme un extension de ma propre famille et c'est génial. Mais c'est plus dur de s'en remettre quand on est le donneur, parce qu'on perd une partie de notre corps. Alors on se remet de cette perte pendant que le receveur gagne quelque chose que son corps réclamait. Elle pouvait se lever tout de suite, mais moi j'ai eu beaucoup de mal », a-t-elle raconté.

Les deux jeunes femmes, meilleures amies depuis de longues années, avaient révélé les détails de l'opération en septembre dernier, mais face à Harry Connick Jr., Francia Raisa a tenu à revenir sur ses difficultés de ces derniers mois.

« J'ai quatre cicatrices. Toutes les mères qui ont eu une césarienne, je vous comprends. Je ne sais pas comment vous réussissez à vous occuper d'un enfant après ça. C'est fou. Je ne pouvais plus me lever sans être aidée. Ca m'a rendue très humble. Je ne pouvais plus prendre de douche seule. Il fallait que quelqu'un m'aide pour bouger. Je suis une femme très active donc quand le médecin m'a dit que je n'allais pas pouvoir bouger pendant deux mois, que tout ce que je pouvais faire c'était marcher, c'était très dur pour moi. J'ai un chien, et tous les jours, ce que j'attends le plus, c'est prendre un café et pouvoir aller faire de la marche, mais je ne pouvais même pas faire ça, c'était très très dur », a-t-elle expliqué.

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