Actu people George Michael : son ancien amant relâché après avoir saccagé la maison du chanteur

George Michael avait accueilli chez lui Fadi Fawaz avant son décès tragique survenu à Noël 2016. L’homme de 46 ans aurait saccagé la maison avant d’être appréhendé par les forces de l’ordre qui déclarent dans un communiqué l’avoir relâché le temps de l’enquête.

George Michael vivait avec Fadi Fawaz dans sa propriété londonienne lorsqu’il est décédé des suites d’une attaque cardiaque à Noël 2016. L’homme de 46 ans, coiffeur sans emploi, a été arrêté mardi (23 juillet 19) après que la police a été appelée à la propriété du chanteur disparu. Fadi Fawaz était monté sur le toit lorsque la police a été appelée par les voisins.

Il a été placé en garde à vue, avant d'être relâché le lendemain. « Quand les officiers sont intervenus, l’homme n’était plus sur le toit mais à l’intérieur de la propriété, qui avait été sérieusement endommagée », peut-on lire dans un communiqué de la police.

C’est en brisant plusieurs vitres qu’il a alerté le voisinage. Aux dires d’un des habitants du quartier interrogé par le Sun, les dommages seraient très importants. « Les dommages à l’intérieur de la maison sont vraiment importants, a-t-il déclaré. Tous les meubles, chaque porte et fenêtre, tout ce que George avait laissé là - tout est complètement détruit. Même les toilettes et les éviers ont été cassés. Les murs et même les plafonds ont été endommagés. »

Des propos confirmés par le communiqué de la police. « Étant donné les dégâts à l’intérieur de la propriété, les pompiers de Londres ont été appelés. L’homme, la quarantaine, a été arrêté, suspecté de vandalisme aggravés. Il a été placé en détention dans un commissariat du nord de Londres avant d’être relâché le jour suivant », peut-on lire également.

Les officiers de police poursuivent leur enquête concernant le saccage de la propriété. Fadi Fawaz, qui n’était pas cité dans le testament de George Michael, a ignoré les courriers de la famille lui demandant de quitter les lieux depuis 18 mois, affirmant que le chanteur lui avait donné la permission de vivre dans sa maison après sa mort.