People Harry Roselmack : son film est primé à New York

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2.11.2017 - 12:31

Harry Roselmack au Lancement du label AFROSTREAMvod ‡ Tf1 le 4 Mars 2015 ‡ Paris  ||
Harry Roselmack au Lancement du label AFROSTREAMvod ‡ Tf1 le 4 Mars 2015 ‡ Paris ||
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(Cover) - FR French Stars - Harry Roselmack n’a pas pris un virage à 180°, mais presque. L’ancien présentateur du JT avait déjà prouvé qu’il était capable de réaliser de très bons reportages avec sa série En Immersion, mais récemment, il a franchi un pas important en se lançant dans la fiction. Et son premier film, Fractures, commence à faire le tour des festivals où il connaît un franc succès, puisqu’à l’occasion du Chelsea Film Festival à New York, il a obtenu une Mention Spéciale du Jury !

Une belle aventure que Harry Roselmack veut partager avec l’équipe qui a accepté de le suivre. « Ce qui est extraordinaire dans ce qui est en train de se passer, c’est que ce film, qu’on a fait de façon complètement indépendante, a vraiment soudé une équipe, a-t-il confié à TV Mag. Nous n’étions pas moins de onze à venir à New York, dont bien sûr les comédiens, c’était la délégation la plus nourrie du festival et on a vraiment partagé ce prix, la mention spéciale. C’est un prix collectif. »

Bien dans son temps, Harry Roselmack a tenu à écrire son film au présent, tant dans ses thèmes, que dans sa distribution. « Avec ce film, j’ai voulu faire état des fractures de la société, que j’ai pu constater, notamment dans mes ”immersions” pendant cinq ans sur TF1, avec des gens qui se définissent de plus en plus en fonction e ce qui les singularise et non plus de ce qui fait le lien entre nous, a-t-il ajouté. Ce sont ces fractures que j’ai voulu montrer. »

Et pour la distribution de son film, le « jeune » réalisateur a des idées bien précises sur ce qu’il veut. « J’ai la volonté de privilégier une sortie digitale plutôt qu’une sortie en salle. Je me suis beaucoup posé la question, j’ai changé d’avis à quelques reprises durant ces deux ans et demi, il me semble que le mode de diffusion le plus opportun pour ce film c’est une exploitation digitale », a fini par expliquer Harry Roselmack, qui avoue avoir déjà « lancé une bouteille dans l’océan Netflix ».

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