People Harry Styles: un premier rôle au cinéma très exigeant

(Cover) - FR Showbiz - On a beaucoup parlé de la nouvelle coupe de cheveux d'Harry Styles afin d'incarner un soldat dans son premier rôle au cinéma, mais ce ne fut pas le plus éprouvant sur le tournage de Dunkerque de Christopher Nolan. Se mettre dans la peau d'un soldat n'a pas été une mince affaire pour le jeune homme. « C'était terrible pour moi physiquement, a-t-il raconté à WENN. Je pense que tout le monde était bien conscient du fait que même si c’était difficile pour nous, ce n'était rien comparé à ce qui s'est réellement passé. (…) En racontant cette histoire, il n'y avait pas vraiment de place pour l'inconfort ou pour se plaindre. Il est également impossible de se plaindre d'un tournage où le directeur subit exactement la même chose que vous. Il n'est pas dans une tente. Il est dans l'eau avec vous, il est dans le sable avec vous, il a froid, il est le premier arrivé et le dernier à partir. »

Harry Styles estime cependant que toutes ces épreuves en valaient la peine et il est heureux d'avoir décroché ce rôle dans un film de Christopher Nolan pour lancer sa carrière au cinéma. « Lorsque j'ai entendu que Chris faisait ce film, j'avais vraiment hâte de le regarder, ajoute-t-il. J’aurais eu hâte même si je n'avais été en rien impliqué. (…) Il est vraiment passionné et c'est très communicateur. Il crée cet environnement où tout le monde, y compris le casting et l'équipe, a un objectif et fait de son mieux pour lui, pour le film et pour le rendre aussi bon que possible... Chris a cette façon de ne pas vraiment vous contrôler, alors vous vous sentez aussi naturel que possible. J’ai eu vraiment de la chance d'être sur le plateau. »

Mark Rylance a également été impressionné par le réalisateur, il a déclaré : « Parfois, dans les films modernes, le réalisateur est à cent mètres dans une tente, et espérons-le, pas en train de jouer sur leur Game Boy. J'ai participé à des films où le réalisateur ne regarde même pas ce que vous faites. On sentait que Chris était vraiment là avec nous... qu’il était là émotionnellement et qu’il était très attentif à ce qu'il se passait de façon naturelle. »

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