People Justin Theroux : sa femme Jennifer Aniston veille sur ses blagues

(Cover) - FR Showbiz - Justin Theroux est marié à Jennifer Aniston depuis 2015 et a confié à Mr Porter que leur couple est plus soudé que jamais. Pourtant, ils ne se font pas de cadeau et Justin Theroux reconnaît que sa femme n’hésite pas à lui faire savoir si son sens de l’humour laisse à désirer. « Quand ce n’est pas drôle, elle me le fait savoir. Elle me dit : "Ce n’est pas drôle" », a-t-il plaisanté.

Toutefois, interrogé pour savoir si Jennifer Aniston laisserait une blague sur les flatulences passer, il a répondu : « Bien sûr qu’elle accepterait une blague sur les flatulences… Mais je pense qu’elle a sens de l’humour pus fin que cela. Je trouve qu’elle est plus drôle que cela. »

Son mariage avec Jenifer Anniston a changé son statut à Hollywood - passant de simple acteur/scénariste à l’un des couples les plus sexy d’Hollywood. Mais l’acteur de The Leftovers n’est pas fan de la célébrité et insiste sur le fait que les histoires qui n’en finissent jamais autour de lui n'a rien à voir avec qui il est vraiment. « Cette personne un peu folle qui envahit les Unes des tabloïdes est mentalement malade, clairement », a-t-il affirmé de nouveau en plaisantant.

Justin Theroux a travaillé sur les scénarios des films Tropic Thunder et Iron Man 2, mais sa carrière en tant que scénariste comportait son lot de défis car on lui a diagnostiqué un trouble du déficit de l’attention et des problèmes de dyslexie alors qu'il était enfant. Il a également grandi avec des surdoués dans sa famille, dont le journaliste Louis Theroux, et reconnaît que dans son enfance, il avait souvent peur que ses troubles de l’apprentissage compliquent ses choix de carrière. « Mes cousins étaient super geek, a-t-il expliqué. Ils s’asseyaient pour apprendre le russe ou jouer aux échecs et je leur disais : "Oh, Je ne sais pas faire cela". Ce serait un peu me victimiser de dire que j’ai dû lutter. C’était un problème. Il y a vraiment eu des fois où je ne me sentais pas intelligent, une pensée que j’ai encore parfois. Mais je n’étais pas non plus Oliver Twist. Je n’étais juste pas bon pour lire », a-t-il conclu.

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