Actu people Katty Perry est totalement « lessivée » à la fin de sa tournée

CoverMedia

28.7.2018 - 09:32

Source: Covermedia

La popstar Katy Perry met tellement d’énergie dans chacun de ses concerts qu’elle est lessivée à la fin de la tournée, a-t-elle révélé au Vogue Australie. Et elle a compris qu’il n’était pas utile de souffrir pour créer.

La popstar Katy Perry a parcouru le monde avec sa tournée qui accompagne son album studio, Witness, sorti en juin 2017. Witness: The Tour a débuté au Canada en septembre dernier et Katy Perry est actuellement en Océanie. Elle sait qu’elle aura besoin d’une pause après sa tournée qui aura totalisé 115 concerts.

« Parfois, je ne me sens pas à 100%, parfois je suis complètement en décalage horaire, parfois j’ai des problèmes personnels que je dois résoudre juste au moment de rentrer en scène », a-t-elle dit au Vogue Australie, ajoutant que les concerts immenses l’épuisent. « Je suis lessivée. Je suis un sac en plastique, pour citer une de mes chansons (Fireworks, 2010), à la fin de chaque tour », ajoute-t-elle.

Cependant, Katy Perry est toujours aussi déterminée à se donner à fond quand elle est sur les routes. Elle veut investir dans des costumes, de la pyrotechnie, des acrobates pour tout le spectacle. Elle souhaite que les fans repartent avec l’expérience qu’ils méritent. Et pendant les deux heures que dure le spectacle Witness, la star ne quitte la scène que pour ses changements de costumes. « J’ai dépensé beaucoup d’argent parce que je veux un show génial. Je vois comment évolue l’attention des gamins. Ils font défiler les images sur leur téléphone toute la journée et ils ont des milliards de chocs de dopamine par seconde. L’idée, c’est de leur montrer qu’un show de musique "vivante" peut les interpeller et qu’ils disent “Ah, c’est ça ?” », ajoute la chanteuse de 33 ans.

Katy Perry a aussi expliqué au journaliste qu’elle avait appris des techniques pour faire face au stress pendant un week-end à l’Institut Hoffmann, en Californie, au début de l’année.

Et à partir de là, elle a compris que le fantasme de l’artiste torturé était une idée fausse. « Quelqu’un m’a récemment demandé si en faisant trop de thérapie je n’allais pas altérer mon inspiration. J’ai répondu que le plus gros mensonge dont on nous abreuve est bien qu’il faut souffrir pour créer », a-t-elle ajouté.

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