Actu people Keke Palmer se donne « le temps de récupérer » après des rôles riches en émotions

Keke Palmer s'assure de se donner le temps de se remettre de rôles difficiles. Elle expliqué comment elle préserve sa santé mentale dans une interview pour Teen Vogue.

Keke Palmer ne veut pas laisser les rôles riches en émotions affecter sa santé psychologique. L'actrice de 26 ans travaille dans l'industrie du cinéma depuis 15 ans et compte plus de 30 films et séries à son actif, dont Akeelah, Scream Queens, True Jackson, VP et le récent Queens.

Là où elle a le plus appris sur son métier, c'est lorsqu'elle a tenu le rôle principal et qu'elle a produit le drame Pimp de 2018, dans lequel elle interprétait une proxénète. Elle a alors compris pourquoi certains acteurs doivent disparaître après avoir travaillé sur des projets intenses.

« Mes sentiments ne savent pas que c'est une blague, a-t-elle déclaré à Teen Vogue. Mes émotions traversent en réalité les sentiments du personnage, que je les tire d'une expérience personnelle ou que je me laisse dévaster par tout ce que ce personnage est en train de vivre. Si vous voulez jouer un rôle profond, il faut qu'il soit significatif pour vous. Vous devez en être sûr et vous donner l'occasion et le temps de vous rétablir. Je n'ai pas suffisamment respecté mes sentiments pour comprendre cela jusqu'à ce que je joue ce rôle. »

Suite à cette expérience, l'actrice est devenue très sélective quant aux rôles qu'elle choisit dans le but protéger sa santé mentale.

« Même si c'est juste pour une cassette d’audition, je ne vais pas me mettre dans le personnage si ce n’est pas nécessaire », a-t-elle ajouté. Dans une autre interview avec StyleCaster, Keke Palmer a expliqué quels facteurs elle prend en compte pour choisir un rôle.

« Il y a beaucoup de choses différentes. Est-ce que je tiens à ce personnage ? Ai-je le sentiment de pouvoir ajouter quelque chose à ce personnage ? Puis-je donner vie à ce personnage ? Quel message renvoie ce projet ? Je veux toujours pouvoir dire de ce que je fais : voilà pourquoi. »