Actu people Lily James a utilisé le roman Rebecca « comme bouée de sauvetage » lors du tournage de son adaptation

Lily James s'est accrochée au roman de Daphné Du Maurier, Rebecca « comme à une bouée de sauvetage » lors du tournage de son adaptation cinématographique. Comme elle l'a expliqué à AnOther, elle ne se sentait pas capable faire confiance à ses instincts.

Lily James s'est constamment référée au roman Rebecca pendant qu'elle en tournait l'adaptation car elle avait peur de trahir l'original en se fiant à ses instincts. Dans la prochaine adaptation de Ben Wheatley du roman de Daphné du Maurier, l'actrice britannique dépeint Mme de Winter, la deuxième épouse d'Armie Hammer, Maxim, qui se retrouve à vivre dans l'ombre de sa première femme décédée, Rebecca.

Dans une interview pour le magazine AnOther, elle a avoué qu'elle avait dû agacer le réalisateur parce qu'elle n'arrivait pas à se détacher du texte original.

« Je pense que j'étais vraiment pénible parce que j'aime tellement ce livre. Je m'y suis accrochée comme à une bouée de sauvetage et pendant un moment je n'ai pas été assez courageuse pour le laisser partir et me dire : '' Voici ma nouvelle version '', a-t-elle déclaré. J'étais comme ça avec (la mini-série télévisée) War and Peace, aussi. Je suis un peu maniaque et je ne me fais pas tellement confiance, donc s'il y a quelque chose qui dit comment ça devrait être fait, je fais confiance à ça plutôt qu'à moi-même, ce qui était un peu difficile. Mais il faut aussi que je me permette de vraiment habiter le rôle. »

Lily James était par exemple préoccupée par la décision de mettre son personnage dans des vêtements Chanel parce que de Winter n'était pas censée suivre la mode dans le roman : « Quand je filme, le premier essayage de costumes est souvent le moment où je commence à comprendre comment le personnage bouge et se tient, son rythme interne, a ajouté la star de 30 ans. Je suis sans aucun doute une personne physique et sensuelle. J'aime les séances photo, j'aime les formes et le mouvement. La façon dont je bouge mon corps me fait ressentir quelque chose. »