People Madonna a engagé une héroïnomane pour lui faire des soins du visage en échange de « services »

(Cover) - FR Showbiz - Madonna est partie de son Michigan natal vers la Grosse Pomme en 1978, avec surtout des rêves plein la tête, mais peu d’argent dans les poches. Les années qui ont suivi ont donc été financièrement compliquées pour elle, et elle devait souvent se résoudre à demander des services à ses amis pour pouvoir survivre.

Du fait de ses maigres rentrées d’argent dues à son statut d’artiste émergente, Madonna devait trouver divers moyens d’accéder aux produits de beauté qu'elle aimait et qui étaient onéreux, comme elle l’a dit au magazine People. « Je me rappelle que je vivais dans le Lower East Side, et je n’avais pas beaucoup d’argent. Il y avait un salon sur la 7e rue, entre la 1e et la 2e avenue, et il y avait cette fille – je sais que c’est bizarre – mais elle était accro à l’héroïne, et elle faisait de super soins du visage, donc j’allais la voir, et on s’arrangeait. Ma peau a toujours été très importante pour moi, et je m’en suis toujours bien occupée, dès mon plus jeune âge », explique la star, qui a lancé sa gamme de soins pour la peau ce mardi 26 septembre aux Etats-Unis. Appelée MDNA et disponible pour l’instant en Amérique, elle a déjà récolté les honneurs pour son masque à l'argile high-tech Chrome Clay Mask, qui est retiré magnétiquement avec une baguette Skin Rejuvenator.

La chanteuse a testé les produits sur sa propre peau, et a même posé le masque sur des régions de son corps qu’il ne nous viendrait pas à l’idée d’exfolier. « Je l’ai utilisé sur mon fessier, confesse Madonna. Vous ne voulez pas avoir la peau des fesses douce ? Il y a beaucoup de gens qui regardent vos fesses. Vos fesses ont un public ! »

Elle a aussi suggéré que ses fans utilisent son masque dans des préliminaires romantiques, ajoutant : « peut-être que votre moitié peut vous le retirer, qu’en pensez-vous ? Il suffit de le mettre, de s’allonger, de le laisser vous masser les pieds, pendant que le masque pose, entre 7 et 10 minutes… »

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