People Madonna : le procès pour la vente de ses affaires personnelles annulé ?

CoverMedia

1.12.2017 - 12:31

Billboard Women In Music 2016 at Pier 36 - Red Carpet Arrivals

Featuring: Madonna
Where: New York, New York, United States
When: 09 Dec 2016
Credit: Ivan Nikolov/WENN.com
Billboard Women In Music 2016 at Pier 36 - Red Carpet Arrivals Featuring: Madonna Where: New York, New York, United States When: 09 Dec 2016 Credit: Ivan Nikolov/WENN.com
Covermedia

(Cover) - FR Showbiz - Madonna a attaqué en justice son ancien amie Darlene Lutz et les patrons de Gotta Have It! Collectibles en juillet (17), en affirmant que des articles mis aux enchères lui avaient été dérobés. Ces derniers comprenaient une lettre qui lui avait été envoyée par son ancien petit ami, le rappeur Tupac Shakur, alors qu’il se trouvait en prison, une brosse à cheveux avec quelques mèches lui appartenant encore dessus, et des culottes sales. Elle a obtenu une ordonnance restrictive contre la vente en ligne, mais Darlene Lutz vient maintenant d’affirmer que le fait que la chanteuse ait reconnu qu’elle n’avait aucune raison de croire que ces objets lui avaient été volés suffisait à rejeter l’affaire.

En effet, dans la déposition de l’avocat de Darlene Lutz, Judd Grossman, il est demandé à Madonna si elle avait « toute raison de prétendre que ma cliente, Darlene Lutz, lui avait dérobé ces sous-vêtements ». « Je ne sais pas », lui aurait-elle répondu.

Les nouveaux documents avancent aussi que Madonna n’est pas capable de se revendiquer propriétaire des petites culottes parce qu’elle les avait envoyées en cadeau à son ex petit ami, Peter Shue, dans les années 90, accompagnées d’une note qui expliquait que c’était pour lui apporter « chance & amour... même si je ne te connais que depuis moins d’une semaine ».

Sa protestation au sujet de son « ADN » étant vendue avec les cheveux contenus sur sa brosse a aussi été remise en question, Judd Grossman ayant indiqué que Madonna ne peut utiliser cela comme motif, ayant délibérément donné ses sous-vêtements utilisés. La motion stipule également que le reste des articles de la vente aux enchères, dont la lettre de Tupac Shakur, avaient été obtenus « directement par les assistants de la plaignante », qui les auraient jetés à l’époque.

Le juge de la Cour suprême de Manhattan, Gerald Leibovitz, doit encore décider si l’affaire sera rejetée ou non.

Cover Media

Retour à la page d'accueil