Actu people Natalie Portman : son harceleur arrêté pour avoir tenté de l'approcher une nouvelle fois

Natalie Portman a encore eu affaire à l'homme qui la harcèle malgré l'injonction d'éloignement dont il fait l'objet. Comme le rapporte TMZ, l'individu a été arrêté par la police.

Natalie Portman a de nouveau aperçu l'homme qui la harcèle près de chez elle. La star de Black Swan avait initialement obtenu une injonction d'éloignement temporaire à l'encontre de l'individu le mois dernier (fév. 19) quelques jours après que celui-ci se soit introduit dans son quartier protégé à Los Angeles le 31 janvier.

Au tribunal ce mois-ci, le juge a décrété que l'injonction devenait permanente, ce qui signifie que l'homme, qui n'a pas été identifié publiquement, doit rester à au moins 100 yards (91,44 mètres) de la star, de son mari, le chorégraphe Benjamin Millepied, ainsi que de leurs jeunes enfants, Amalia et Aleph.

Cependant, l’homme aurait violé cet ordre en se rendant au domicile de l’actrice vers 15h30 mardi après-midi (26 mars 19). Selon TMZ.com, l'actrice aurait repéré l'homme, appelé la police et quitté les lieux. Les autorités ont déclaré sur leur site Internet que des policiers s'étaient présentés en l'espace de quelques minutes et avaient arrêté l'homme pour violation de la décision de justice.

Lors de l'incident de janvier, l'homme s'était présenté à l'entrée principale de la maison familiale de Natalie Portman et avait sonné à plusieurs reprises, sans dire un mot, avant que la police n'arrivent sur les lieux. Lorsqu'il a été confronté, l'homme a affirmé s'appeler John Wick, en référence au personnage assassin de Keanu Reeves dans le film du même nom de 2015, mais les agents ont trouvé un permis de conduire du Colorado en sa possession, qui leur a fourni sa véritable identité. Il a ensuite été placé en observation psychiatrique après avoir affirmé avoir parlé à plusieurs reprises à Natalie Portman par télépathie. On ignore s'il est toujours suivi par un établissement de santé mentale.

Une interdiction de possession d'armes à feu avait précédemment été émise par la police à son encontre.