People Niall Horan regrette ses fashion faux pas au sein des One Direction

CoverMedia

21.12.2017 - 16:13

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Niall Horan juge désormais qu'il s'habillait très mal à l'époque des One Direction. Dans une interview à Esquire, le chanteur confie notamment ne plus se soucier de l'opinion des autres sur son style vestimentaire.

Niall Horan a rejoint les One Direction en 2010 quand il était âgé de 17 ans, et ses goûts ne lui ont pas franchement été d’une grande aide pour bien s'habiller. « Il y a quelque temps, j’étais probablement le mec le plus mal habillé de la planète, a-t-il déploré dans les colonnes du magazine Esquire. Bien sûr, certaines personnes peuvent s’en tirer, et certaines personnes ne le peuvent pas. Il se trouve que je fais partie de celles qui n’y parviennent pas. »

À l’inverse, l’ancien partenaire de Niall Horan, Harry Styles, a travaillé très tôt sur son style. « Quand nous étions dans le groupe, c’est une chose à laquelle je n’avais jamais vraiment pensé, a-t-il expliqué. On pouvait évidemment voir que cela intéressait Harry (la mode) un peu plus que moi à l’époque. C’est une chose sur laquelle il se concentrait plus que moi. »

À présent, Niall Horan regarde les anciennes stars du rock pour s’inspirer. Parmi ses sources d’inspiration, il cite Bruce Springsteen et Tom Petty, mais ses racines culturelles lui donnent aussi des idées de tenues. « C’est un peu un prolongement de moi en tant qu’Irlandais, a-t-il affirmé à propos du look qu’il s’est créé depuis qu’il a lancé sa carrière solo l’an passé (16). Je porte beaucoup de bottes, beaucoup de chapeaux, et plein de vestes différentes - en jean, cuir, plein de matières différentes que j’essaye d’intégrer. »

Après avoir signé avec l’agence de mannequin Wilhelmina en octobre (17), le chanteur s’est aussi risqué à des costumes plus élégants, et bien qu’il était mal à l’aise avec ce qu’il portait auparavant, il a depuis appris à ne pas faire attention aux opinions des autres sur son style vestimentaire. « Avant, c’était parce que je lisais des chose (sur les réseaux sociaux) et me disais : "Oh, est-ce que c’est ce qu’ils pensent de moi ?". Mais le monde étant ce qu'il est, j’ai juste arrêté de m’en soucier, a-t-il ajouté. Apparemment, toutes ces personnes qui écrivent sur nous sont parfaites. Par conséquent, elles ont le droit de nous dire cela. Elles peuvent donc aller se faire fo*tre », a-t-il conclu.

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