Actu people Patrick Bruel et CharlElie Couture se remettent du coronavirus

AFP

2.4.2020 - 23:18

Le chanteur CharlElie Couture en août 2019 à Chanceaux-près-Loches, en Indre-et-Loire
Le chanteur CharlElie Couture en août 2019 à Chanceaux-près-Loches, en Indre-et-Loire
Source: AFP/Archives

Les chanteurs Patrick Bruel et CharlElie Couture ont annoncé jeudi se remettre du coronavirus après «quelques jours de fièvre» pour le premier et «huit jours/nuits terribles» pour le deuxième.

«Pas d'inquiétude, tout va bien», rassure Patrick Bruel, 60 ans, sur son compte Instagram. «Oui, en effet je l'ai eu mais j'ai eu la chance de plutôt bien réagir», ajoute le comédien et chanteur, qui avait indiqué auparavant à franceinfo avoir «eu un peu peur à un moment donné» et «vraiment passé un sale moment».

Mais «après quelques jours de fièvre, toux et fatigue, je vais beaucoup mieux», a-t-il assuré sur Instagram, en se disant «de tout coeur ce soir avec les gens durement touchés, ainsi qu'avec tout le personnel soignant qu'on ne remerciera jamais assez».

De son coté, CharlElie Couture, 64 ans, explique sur sa page Facebook avoir été «enfiévré du matin au soir et plus encore pendant la nuit», le thermomètre oscillant «entre 38,4° et 39,8°». «Maux de tête, spasmes et tremblotements, le corps en vrac et la nuque qui craque, un clou entre les omoplates», décrit encore le natif de Nancy, confiné dans «le Grand Est» selon un autre post.

Ce touche à tout – musique, peinture, photographie, etc – n'a en revanche «jamais senti l’oppression de l'insuffisance respiratoire nécessitant de faire appel à une assistance publique».

«+Nous sommes dans les normes, tout va bien+ a dit le médecin resté zen, poursuit l'interprète de «Comme un avion sans aile». «+Il vous faut juste faire preuve de patience+. En fait de patience, j’ai peut-être un peu trop attendu avant de profiter de son Savoir et de sa Connaissance», dit-il encore.

Le médecin lui a «envoyé une prescription d’antibiotiques pour +protéger les poumons+». «Et voilà le résultat : je retrouve (...) mon clavier pour écrire ces quelques lignes. Normalement, ça devrait être bon. Si je ne me fais pas fouetter par un retour de queue de ce virus du Diable, j’ai peut-être franchi le cap», conclut l'auteur de «Jacobi marchait».

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