Actu people Scarlett Johansson craignait que les fans de Marvel ne l'aiment pas en tant que Black Widow

Scarlett Johansson avait peur que les fans de Marvel n'apprécient pas son interprétation de la super-héroïne Black Widow. Elle s'est confiée sur l'un de ses plus grands rôles dans une interview pour le magazine Parade.

Scarlett Johansson avait peur de décevoir les fans de Marvel en jouant Black Widow. L'actrice de 35 ans a fait ses débuts dans la peau de l'ancienne super espion russe Natasha Romanoff dans Iron Man 2 en 2010, mais elle n'était pas certaine à l'époque de correspondre aux attentes des fans des comics.

« Quand nous l'avons fait (Iron Man 2), je ne savais pas si le public aimerait mon interprétation du personnage, a-t-elle déclaré au magazine Parade, avant de noter qu'elle n'était pas le premier choix du réalisateur pour incarner la super-héroïne. En effet, après une « merveilleuse » rencontre avec Jon Favreau, qui a réalisé Iron Man 2, le rôle avait été attribué à Emily Blunt.

« J'étais toute excitée de travailler avec lui, alors j'ai dit : " Si ça ne fonctionne pas, je suis à la recherche d'un rôle, alors appelez-moi quand vous voulez " », a-t-elle raconté. Et après que l'actrice britannique a dû se retirer en raison de conflits de calendrier, le rôle lui est revenu.

« Le meilleur appel que vous puissiez recevoir, c'est celui où, après que vous ayez été rejeté pour quelque chose, vous l'obtenez finalement. Vous l'appréciez davantage. En fait, j'ai bâti ma carrière en étant le deuxième choix », a-t-elle ajouté en riant.

Et c'est en filmant une scène particulière de The Avengers, sorti en 2012, aux côtés de Chris Evans, de Chris Hemsworth, de Mark Ruffalo de Jeremy Renner et de Robert Downey Jr., qu'elle s'est rendu compte qu'elle faisait partie de quelque chose de vraiment spécial.

« C'est le plan emblématique de super-héros, a-t-elle déclaré à propos de la scène qui montre les six Avengers originaux prêts à se battre à New York. Nous nous disions tous : '' C'est fou ! '' parce que ces mondes se réunissaient. Nous analysons toujours l’impact de ces films. »