Actu people Taylor Swift estime que l'ancien patron de son label l'a traitée « comme une vache à lait »

Taylor Swift est encore furieuse contre Scott Borchetta. Elle a dénoncé, dans Rolling Stone, l'attitude de l'ancien patron de son précédent label.

Taylor Swift a accusé celui qui fut le patron de son ancien label, Scott Borchetta, de la traiter comme sa « vache de compétition » en vendant ses masters à Scooter Braun. Le manager a en effet racheté le label de Scott Borchetta, Big Machine, ainsi que son catalogue qui contient les six premiers albums de Taylor Swift, ce qui a rendu furieuse cette dernière, qui a une relation tumultueuse avec Scooter Braun.

La chanteuse a expliqué à Rolling Stone qu'elle avait été attristée par la vente, car elle pensait que Scott Borchetta, qui l'avait signée lorsqu'elle était encore adolescente, la voyait plus comme « sa fille » que comme un atout. « Je voulais être son amie. Je croyais savoir ce qu'était la trahison, mais ce qui s'est passé avec lui était une nouvelle définition de la trahison, parce que j'avais l'impression que nous étions une famille. De passer du sentiment qu'il s'occupe de toi comme sa fille à se rendre compte qu'on est en fait sa vache de compétition qu'il engraissait pour l'envoyer à l'abattoir qui paiera le plus cher était très dur », a-t-elle confié.

Après la signature de l'accord, Taylor Swift a dénoncé son ancien ami, qui a répondu en l'accusant de ne pas avoir voulu se produire au concert de charité pour les victimes de Manchester et à la marche pour les victimes de Parkland, ce à quoi la chanteuse a répondu que c'était « incroyable », expliquant que son équipe n'avait pas répondu à la moindre requête de la part de Scooter Braun à cause de leur bisbille. « Voilà le truc : tout le monde dans mon équipe sait que si Scooter Braun nous propose quelque chose, il ne faut jamais me l'amener. Le fait que ces deux-là fassent affaire après tout ce qu'il a dit sur Scooter Braun est vraiment choquant pour moi », ajoute la musicienne.

« Ce sont deux hommes très riches et puissants qui utilisent 300 millions appartenant à d'autres gens pour acheter le corpus artistique le plus féminin possible. Puis ils vont dans un bar faire une photo ridicule et boivent du scotch à leur santé parce qu'ils m'ont eue d'une façon si vicieuse que je ne l'ai pas vu venir, et je ne pouvais rien dire », enrage-t-elle.