People Taylor Swift : on lui intente encore un procès pour Shake It Off

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1.12.2017 - 14:35

Taylor Swift leaving her Tribeca apartment in New York City

Featuring: Taylor Swift
Where: Manhattan, New York, United States
When: 28 Sep 2016
Credit: TNYF/WENN.com
Taylor Swift leaving her Tribeca apartment in New York City Featuring: Taylor Swift Where: Manhattan, New York, United States When: 28 Sep 2016 Credit: TNYF/WENN.com
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(Cover) - FR Showbiz - Taylor Swift a pu profiter d'un immense succès planétaire avec sa chanson Shake It off, dans laquelle elle chante « Cause the players gonna play, play, play, play, play/And the haters gonna hate, hate, hate, hate, hate ». Mais un duo de paroliers, Sean Hall et Nathan Butler, affirment qu'ils ont inventé ce vers dans une chanson écrite il y a 16 ans.

Dans leur plainte, ils prétendent que 20% de la chanson vient de leur chanson Playas Gon' Play, à cause des paroles « Playas, they gonna play, and haters, they gonna hate ». Bien qu'ils aient écrit la chanson, elle avait été enregistrée par un groupe féminin de l'époque, 3LW, et s'était hissée à la 81e place du Top 100 de Billboard.

Selon TMZ.com, Hall et Butler demandent de grosses compensations financières de la part de Taylor Swift. Cependant, ses représentants sont loin d'être impressionnés par leurs réclamations. Preuve en est leur déclaration : « C'est absolument ridicule, et rien de plus qu'une façon d'essayer de soutirer de l'argent. La loi est claire et simple. Ils n'ont pas de dossier ». Le duo a aussi connu le succès. Butler a travaillé avec les Backstreet Boys, Christian Milian, Aaron Carter et Victoria Beckham, tandis que Hall a travaillé avec Justin Bieber, Lionel Richie, Pink et Maroon 5.

Ce n'est pas la première fois que Taylor Swift est poursuivie pour les paroles de Shake It Off. En 2015, la chanteuse de R&B Jesse Graham avait réclamé 42 millions de dollars, prétendant que les vers « haters gonna hate » venaient d'une de ses chansons. Cependant, le juge J. Standish avait classé l'affaire, déclarant : « En examinant les explications de la cour dans la partie II, Graham pourra découvrir que sa plaidoirie n'est rien de plus qu'un pansement sur une blessure par balles. Au moins pour le moment, la défense s'est débarrassée de cette plainte », preuve d'humour de la part du juge (en anglais, il avait utilisé l'expression « shaken off » en référence à la chanson de Swift).

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