Excuses Ryan Reynolds répond aux propos de Gerard Butler sur ses films

Ryan Reynolds a répondu aux commentaires de Gerard Butler sur ses films. Sur Instagram, l'acteur de Deadpool a utilisé cette excuse pour promouvoir deux associations caritatives.

Ryan Reynolds a répondu aux propos de Gerard Butler sur ses films. Dans une récente interview avec UNILAD pour promouvoir son nouveau long-métrage, Copshop, l'acteur de 300 a été invité à donner son avis sur les comparaisons entre son film Gamer de 2009 et celui de Reynolds, Free Guy. « En fait, je ne sais pas ce qu'est Free Guy... Oh merde est-ce que c'est... Je ne regarde pas les films de Ryan Reynolds », a-t-il répondu.

Après que ses commentaires ont commencé à faire le tour de la Toile, l'acteur américain a partagé une réponse humoristique aux propos de son collègue, et a également profité de l'occasion pour promouvoir deux organisations à but non lucratif : l'American Civil Liberties Union et le NAACP Legal Defence and Educational Fund.

« Pouvez-vous croire que Gerard Butler ne sait pas ce qu'est Free Guy ? », a-t-il demandé à ses followers. « Aussi, pouvez-vous croire que les défis pour la démocratie n'ont jamais été aussi grands et que Blake et moi allons égaler vos dons à @aclu_nationwide et @naacp_ldf ? * L'ordre de ces questions a été optimisé pour Internet, elles ne sont PAS rangés par ordre d'importance », a-t-il ajouté.

Dans son interview pour UNILAD, Gerard Butler a noté qu'il avait tourné à Porto Rico ces derniers temps et qu'il n'avait pas particulièrement pris connaissance des dernières sorties hollywoodiennes. Il a également affirmé que le long-métrage d'action et de science-fiction du réalisateur Mark Neveldine, Gamer, était en avance sur son temps.

« J'espérais que c'était le moment, que les gens comprendraient. Je pensais que c'était du génie, a-t-il poursuivi. Cela aurait pu être exécuté légèrement différemment, mais j'ai vraiment adoré le commentaire qu'il faisait sur la direction que prenait le monde, en particulier dans le gaming et dans l'idée qu'on se perd dans ce monde, et que la technologie et l'homme se lient à la machine. Mais, je n'ai pas l'impression que les gens l'ont vraiment compris à l'époque. Ça n'a pas rapporté grand-chose. C'est devenu un peu un classique culte, mais je n'étais pas au courant de cette résurgence. »