La guerre des restos Cinq raisons de ne pas manquer ce moment culte!

La Rédaction de blue News

30.3.2022

Ce soir sur M6, «Top Chef» continue de mettre les petits plats dans les grands, avec des candidats d'un très haut niveau à l'affiche de cette 13ème saison. Voici cinq raisons de ne pas manquer l'épreuve du jour: La guerre des restos.

Chaque année, un candidat craque pour un élément de déco qui peut en effrayer certains...
Chaque année, un candidat craque pour un élément de déco qui peut en effrayer certains...
Capture d'écran M6/blue TV

La Rédaction de blue News

30.3.2022

Imaginer un concept de restaurant, lui trouver un nom percutant, le décorer, créer un menu et s'adapter à des locaux inconnus: c'est l'épreuve qui attend les candidats de «Top Chef» ce soir. Ah oui, le tout en 48 heures. Chaque année, La guerre des restos booste notre palpitant devant notre petit écran. Et voici les cinq raisons qui rendent cet épisode incontournable.

La déco, toujours surprenante

Oui, les candidats de «Top Chef» sont cuisiniers. Et pas décorateurs. Valérie Damidot n'est pas sur le coup et ça se voit. Chaque année, il y a au moins un participant qui craque pour une tête de quelque chose -vache, sanglier, girafe, lion, etc..- à suspendre dans le futur resto. Bien sûr, les goûts discutables de l'intéressé font frémir ses coéquipiers, mais la «pièce maîtresse» de la déco finit, en général, par être adoptée. Feuilles mortes, gros tas de terre, poules vivantes et autres curiosités ont déjà été déposés devant l'entrée des restaurants au fil des saisons. On se réjouit de découvrir les fantaisies de cette année.

Le défi impossible

Sérieusement: vous y croyez, vous, à une équipe de trois pelés qui parvient en 48 heures à redorer totalement le blason d'un vieux boui-boui pour le transformer en resto gastro super-classe? Et que dire du fait qu'il faille élaborer et réaliser un menu trois plats pour une dizaine de personnes... qui viennent manger dans un lieu où l'odeur de peinture doit probablement couvrir les arômes délicats de la cuisine? C'est impossible, on le sait bien. Mais c'est la magie de la télé. Et après tout, la magie, ça fait du bien d'y croire.

Les grosses catastrophes

En fait, quand tout se passe bien, c'est moins drôle. Justement, La guerre des restos, c'est la porte ouverte à toutes sortes de catastrophes. Chutes de candidats pressés, panne de gazinière, incendie de poële à frire, effondrement de plafond: tout est possible! On ne souhaite aucun mal aux candidats, cela dit, mais un peu de drama, ça met le fameux «petit twist» attendu dans la recette.

Les règles impitoyables

Dans un société civilisée, on nous apprend à ne pas juger sur l'apparence. Mais là, c'est différent, c'est la guerre. Des restos, mais la guerre quand même. Alors après 48 heures de boulot acharné, de stress, d'espoirs fous et de crises de nerfs, le couperet va tomber: l'un des restaurants n'ouvrira même pas ses portes, juste... parce qu'il est moins attirant que les autres. C'est de la discrimination pur jus. «Top Chef», ton univers impitoyable fait pâlir d'envie le plus méchant des J.R. Ewing. 

Les petites moues de François-Régis Gaudry

Souvent, La guerre des restos, c'est l'occasion de voir poindre l'empathie chez les chef-coaches. Parce qu'ils savent bien que leurs petits protégés ont morflé pendant ce marathon. Alors même Philippe Etchebest montre des signes de bienveillance lorsqu'ils s'agit de venir déguster dans l'établissement fraîchement ouvert. Mais la prod a pensé à tout. Pour éviter que les grands chefs se laissent piéger par leurs sentiments, François-Régis Gaudry veille au grain. Le palais de ce journaliste, auteur et critique culinaire ne laisse rien passer. Accompagné de sa petite clique d'amis issus de la même sphère gastronomique, il rétablit l'ordre. Et ses petites moues valent mille mots.

La guerre des restos, à découvrir sur blue TV ce soir à 21h10 sur M6, avec des nouveautés annoncées: les vainqueurs verront leur menu distribué à large échelle et le resto gagnant restera ouvert après l'émission!