«Top Gun» Comment je suis tombée amoureuse de Tom Cruise

Elvire Küenzi

13.1.2024

Le deuxième volet de « Top Gun » réalisé par Joseph Kosinski a été un carton au cinéma en engrangeant près de 1,5 milliards de recettes. Et moi, comme une jeune padawan, je viens de le découvrir après des années de réticence. Et, comme des millions de téléspectateurs, je suis tombée sous le charme.

Après le premier film Top Gun de Tony Scott, sorti en 1986, le second volet a permis au cinéma de se maintenir en vol en 2022. Les deux long-métrages méritent leur succès et leurs qualités respectives en font toujours des "must see" en ce début d'année.
Après le premier film Top Gun de Tony Scott, sorti en 1986, le second volet a permis au cinéma de se maintenir en vol en 2022. Les deux long-métrages méritent leur succès et leurs qualités respectives en font toujours des "must see" en ce début d'année.
Paramount

Elvire Küenzi

« Tu verras, Top Gun, c’est génial ». On ne cessait de me répéter cette phrase en boucle mais n’étant pas une grande fan de Tom Cruise ni de films mettant en scène des militaires, je levais les yeux au ciel en me disant que les hommes de mon entourage n’avaient qu’à regarder ce long-métrage entre eux en buvant des bières et en hurlant devant de gros avions. Comme j’aime aussi la bière de temps en temps, je me suis dit que je ne risquais pas grand-chose à tenter de revoir ma position et surtout… mes gros clichés stupides.

C’est ainsi que le week-end dernier, j’ai cédé à l’enthousiasme de mon copain et je me suis laissé tenter par l’expérience. 

J’ai commencé par le premier volet et je dois avouer que je ne m’attendais pas à me prendre au jeu et à m’enthousiasmer pour les aventures de ces jeunes hommes qui intègrent Top Gun, l’école de combat aérien de la marine américaine. Il faut dire que l’intrigue a de quoi nous tenir en haleine et que le personnage de Tom Cruise, Pete « Maverick » Mitchell, a également de quoi nous émouvoir.

Ce pilote de chasse au tempérament rebelle, sûr de lui et à l’égo aussi gros que le porte-avions USS Enterprise, cache des blessures insoupçonnées à la suite du décès de son père au combat. Marqué par ce deuil, il ne cesse de se mettre en danger et ne respecte pas les règles… pour autant ses aptitudes de vol extraordinaire lui permettent de se faire une place au sein des meilleurs pilotes. Cliché, certes, mais terriblement efficace comme protagoniste.

Mais ce n’est pas tout ! Ajoutez au mélange une histoire d’amour digne des romances les plus piquantes et un meilleur ami des plus fidèles et vous obtenez une recette aussi détonante qu’un réacteur de F-14 (je n’ai cependant pas pu me retenir d’insulter les scénaristes à un moment clé du film… ceux qui l’ont vu savent très bien de quoi je parle).

J’ai directement enchainé avec le deuxième volet parce que… quand on tombe amoureuse d’un film et d’un acteur, on ne se prive pas. « Top Gun : Maverick » a dû me faire perdre au moins cinq ans de vie. Eh oui, le stress, ce n’est pas bon pour le cœur ! J’ai dû m’accrocher à mon plaid pour supporter l’adrénaline et les nombreux rebondissements de l’intrigue.

Cette fois-ci, notre cher capitaine est appelé pour préparer de jeunes chasseurs à une mission délicate. Il ne manquera pas de leur dispenser des conseils, comme celui-ci : « Vous n'avez pas le temps de réfléchir là-haut. Si vous pensez, vous êtes mort. »

Je n’ai pas pu décrocher une seule seconde. Et avec ça, je n’ai même pas bu de bière. 

Pour voir les deux volets, c’est par ici!

Rédactrice pour différents journaux suisses, blogueuse et passionnée des mots, Elvire Küenzi adore les séries (elle est tombée dans le chaudron magique en regardant Sex and the City et n'en est jamais ressortie)! Elle écrit aussi des romans girly en mangeant des marshmallows et en sirotant des cocktails (avec modération, bien sûr).
Rédactrice pour différents journaux suisses, blogueuse et passionnée des mots, Elvire Küenzi adore les séries (elle est tombée dans le chaudron magique en regardant Sex and the City et n'en est jamais ressortie)! Elle écrit aussi des romans girly en mangeant des marshmallows et en sirotant des cocktails (avec modération, bien sûr).