Des prédateurs nourris d’une façon inhabituelle: deux plongeurs ont offert des images spectaculaires en donnant des friandises à des requins-marteaux.
Les photos ont été prises au large de Bimini, un archipel des Bahamas.
Le photographe Steve Laycock a immortalisé ce spectacle avec son appareil photo sous-marin.
Ces deux courageux plongeurs sont des professionnels ayant de nombreuses années d’expérience – mieux vaut donc ne pas les imiter!
Chassés pour leurs ailerons, les requins-marteaux sont considérés comme une espèce menacée.
Ils peuvent atteindre une taille de six mètres. Leur trait caractéristique est leur large tête en forme de T.
Des plongeurs nourrissent des requins-marteaux à la main
Des prédateurs nourris d’une façon inhabituelle: deux plongeurs ont offert des images spectaculaires en donnant des friandises à des requins-marteaux.
Les photos ont été prises au large de Bimini, un archipel des Bahamas.
Le photographe Steve Laycock a immortalisé ce spectacle avec son appareil photo sous-marin.
Ces deux courageux plongeurs sont des professionnels ayant de nombreuses années d’expérience – mieux vaut donc ne pas les imiter!
Chassés pour leurs ailerons, les requins-marteaux sont considérés comme une espèce menacée.
Ils peuvent atteindre une taille de six mètres. Leur trait caractéristique est leur large tête en forme de T.
Contact très rapproché: deux plongeurs ont nourri des requins-marteaux au large des îles Bimini.
Les requins-marteaux ne sont pas vraiment dangereux pour l’homme. Leurs attaques sont extrêmement rares, alors même que ces poissons à la tête particulière ne cessent de rencontrer des plongeurs. Il est toutefois déconseillé de reproduire ce que deux plongeurs professionnels ont osé faire au large des îles Bimini, aux Bahamas: les deux hommes ont nourri des requins-marteaux en leur donnant des poissons morts.
Selon l’espèce, les requins-marteaux peuvent atteindre une taille de six mètres. S’ils se nourrissent principalement de petits poissons et d’invertébrés, des cas de cannibalisme sont également identifiés. Les requins-marteaux vivent principalement dans les régions côtières tropicales et subtropicales.
En Asie notamment, leurs ailerons sont considérés comme un mets délicat, raison pour laquelle ils sont classés en tant qu’espèces menacées. Néanmoins, de nombreux spécimens meurent également en tant que prises accessoires. Ces photos, prises au large de Bimini, montrent à quel point les requins-marteaux sont des animaux majestueux – et combien il est important de les protéger.
Les secrets des grands fonds marins
Les secrets des grands fonds marins
Angelika Brandt, responsable du département de zoologie marine à l'Institut de recherche Senckenberg, se tient devant une vitrine d'exposition avec un bathynome géant (Bathynomus giganteus) préparé entre les mains. Les photos suivantes, sur lesquelles on peut voir des créatures marines fascinantes, ont été prises dans le cadre d'un projet de documentaire mis en place par la WDR et la BBC.
Pas de panique! Il est peu probable que vous rencontriez ces camarades aux dents acérées lors de votre prochaine séance de plongée. Les fangtooths vivent à une profondeur habituellement inaccessible aux équipes de tournage.
Pour le tournage, réalisé en haute mer, les équipes ont passé plus de 1000 heures sous l'eau, à bord de submersibles. Elles ont réussi à capturer des images particulièrement subtiles, mettant en lumière des paysages et des comportements qui nous étaient jusqu'à présent inconnus.
Les réalisateurs ont par exemple croisé la route de labres à tête de mouton. Les mâles de cette espèce sont considérablement plus gros que les femelles. Bluffant: si les femelles atteignent une taille et un âge suffisants, elles peuvent même se transformer en mâles.
Partout ailleurs, ils ne peuvent pas s'encadrer. Cependant, au large de la Nouvelle-Zélande, les grands dauphins et les fausses orques forment des communautés.
Beaucoup de grands dauphins sont connus pour se «frictionner» la peau avec de la muqueuse d'alcyonacés, des coraux semblables à d'épais buissons. Cette substance a un effet comparable à celui des antibiotiques.
La deuxième partie du documentaire est consacrée aux «profondeurs illuminées». Au vu de ces coraux, photographiés à 6000 mètres de profondeur, l'intitulé est plutôt bien choisi.
La pieuvre Dumbo vit dans les profondeurs de l'océan Pacifique, au large de la Californie. Si vous en avez déjà localisé une, vous savez qu'elles sont loin de passer inaperçues.
Les bernard-l'hermite ont des pinces très coupantes. Elles leur servent à détacher la chair des bénitiers géants.
Montée d'adrénaline à bord du sous-marin «Lula». Mais pas de panique: grâce à leur métabolisme, les grands requins peuvent parfois rester toute une année sans manger.
La troisième partie de la série documentaire s'intitule «La fascination des récifs coralliens». Les récifs coralliens abritent un quart de toutes les espèces marines connues. Et ils sont sublimes…
La rascasse volante chasse les petits poissons. Parfaitement camouflée, elle s'approche tout doucement de ses proies – et les aspire dans sa gueule.
Les poissons-clowns font partie des pacifiques créatures qui peuplent les récifs coralliens.
Au moyen de secousses rythmiques, la seiche à grandes mains est capable de plonger sa proie dans une sorte de transe. Pauvres crabes!
Les mérous doivent veiller à ne pas devenir eux-mêmes des proies. Car ils sont très appréciés des requins de récif.
Le ver Bobbit est un parent carnivore du ver de terre. Il tue ses proies au moyen de son venin.
Attention aux conséquences du réchauffement climatique! Il suffit que la température moyenne de l'eau augmente de un à deux degrés pendant quelques semaines pour que les coraux blanchissent et meurent. Ce phénomène s'appelle le blanchissement des coraux.
Venimeuse, la galère portugaise se compose de milliers de polypes. Le quatrième épisode de la série documentaire s'intitule «En haute mer».
Elles sont plus imposantes que celles que l'on peut rencontrer en mer Baltique: les méduses se laissent porter par les courants, mais savent également nager.
En pleine mer, ces poissons ont trouvé refuge et protection sous un morceau de bois flottant.
Des femelles cachalots ont mis en place un système de garde des petits avec leurs congénères. Quel progrès! En voilà une garderie bien organisée.
Le cinquième épisode du documentaire nous emmène dans la «jungle sous-marine». Et celle-ci n'a rien à envier à la jungle terrestre. Sur ce cliché, des feuilles de varech se dévoilent dans toute leur splendeur.
Dans la jungle, c'est chacun pour soi – et pour la liberté! Le Demoiselle Garibaldi tient son nom d'un grand général italien et est connu pour défendre énergiquement son territoire.
Le cinquième épisode du documentaire nous emmène dans la «jungle sous-marine». Et celle-ci n'a rien à envier à la jungle terrestre. Sur ce cliché, des feuilles de varech se dévoilent dans toute leur splendeur.
La caméra ne s'est pas gênée et a également immortalisé plusieurs scènes d'accouplement sous l'eau. Ici, on peut voir deux seiches géantes en plein action.
Ce tas d'araignées de mer flanquerait une peur bleue au plus téméraire des plongeurs. En réalité, lorsqu'elles muent, elles restent vulnérables pendant plusieurs jours.
Les forêts de mangroves sont leur terrain de chasse préféré: les squilles mâles peuvent mesurer jusqu'à 40 centimètres de long.
Ici, un crabe rouge en attente de la marée.
Leurs bras étant recouverts de cellules photosensibles, les étoiles de mer sont les premières à réagir à la lumière du soleil du printemps. C'est pour elle le signe qu'il faut frayer.
Cette plante est aussi belle que redoutable. Les anémones de mer dévorent tout ce qui est à portée de leurs tentacules.
Le monstre du Loch Ness: et s'il y avait anguille (géante) sous roche?
Le monstre du Loch Ness: et s'il y avait anguille (géante) sous roche?
Ce n'est pas un requin, pas davantage un poisson-chat ou un esturgeon géant. Et si l'insaisissable monstre du Loch Ness était... une anguille géante?
Le généticien Neil Gemmel, de l'université d'Otago à Dunedin (Nouvelle-Zélande), a analysé et séquencé les ADN de 250 échantillons d'eau recueillis en 2018 jusque dans les profondeurs du lac écossais
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