Scandale sexuel en Virginie La candidate aux élections fait des galipettes en ligne contre de l'argent!

Red/Trad

14.9.2023

Susanna Gibson veut être élue à la Chambre des représentants de Virginie. Or, il a été récemment révélé qu'elle aurait été filmée en train d'avoir des relations sexuelles. Pour la démocrate, ce n'est pas un problème.

Red/Trad

Pas le temps ? blue News résume pour toi

  • Une démocrate américaine a été surprise, en pleine campagne électorale, en train de proposer des services sexuels sur un site web en échange de pourboires.
  • Elle révèle également de nombreux détails sur sa vie amoureuse.
  • Elle ne veut en aucun cas interrompre la campagne électorale, car elle estime que la campagne de ses adversaires est illégale.

À 40 ans, la carrière politique de Susanna Gibson semble déjà terminée avant même d'avoir commencé. En effet, l'infirmière voulait être élue à la Chambre des représentants pour les démocrates de l'Etat américain de Virginie, mais elle trébuche désormais sur un scandale sexuel.

Il est apparu récemment qu'elle et son mari gagnaient de l'argent en organisant des shows sexuels en direct. Le «Washington Post» a obtenu le nom d'utilisateur de Gibson sur le site Chatrubate. On peut y voir des clips vidéo dans lesquels Gibson et son mari se livrent à divers actes sexuels en échange de pourboires.

«Une relation ouverte»

Dans un clip que le «Daily Mail» s'est procuré, Susanna Gibson s'exprime sur ce travail à temps partiel et propose que son mari se livre à des actes sexuels sur elle - tant que suffisamment d'argent est réuni.

Détail piquant pour les électeurs américains : Gibson raconte qu'elle et son mari ont une relation ouverte. «Bien sûr, il m'arrive de séduire un inconnu sexy. Il m'est aussi arrivé de proposer un plan à quatre avec échange, mais mon mari n'aime pas partager».

Et son mari de rétorquer : «Parfois, je n'ai pas le choix, elle m'oblige à le faire».

«Intrusion illégale dans ma vie privée»

L'intéressée ne souhaite pas pour autant se retirer de la campagne électorale.

Elle se montre désormais sûre d'elle et annonce dans un communiqué : «La publication des vidéos était une intrusion illégale dans ma vie privée. On veut ainsi nous exposer, moi et ma famille. Mais je ne me laisserai pas intimider ni réduire au silence».