Simon Berger, un Bernois de 44 ans, est un artiste engagé avant tout dans une recherche esthétique et d’exploration des matériaux. «Il n’est pas un militant au sens propre comme pourrait l’être un Banksy par exemple», explique son attaché de presse.
En tant que «citoyen, Simon Berger a les yeux ouverts sur le monde»: «il est conscient que les libertés, comme celle de la presse, sont fragiles et qu’il appartient à chacun de les défendre.» L'homme finance de sa poche cette opération.
Le Bernois Simon Berger installe son oeuvre «Les portraits brisés» à Genève pour la journée mondiale de la presse le 3 mai.
Portraits en verre brisé montrés à Genève
Simon Berger, un Bernois de 44 ans, est un artiste engagé avant tout dans une recherche esthétique et d’exploration des matériaux. «Il n’est pas un militant au sens propre comme pourrait l’être un Banksy par exemple», explique son attaché de presse.
En tant que «citoyen, Simon Berger a les yeux ouverts sur le monde»: «il est conscient que les libertés, comme celle de la presse, sont fragiles et qu’il appartient à chacun de les défendre.» L'homme finance de sa poche cette opération.
Le Bernois Simon Berger installe son oeuvre «Les portraits brisés» à Genève pour la journée mondiale de la presse le 3 mai.
A l'occasion de la journée internationale de la liberté de la presse le 3 mai, Simon Berger expose ses portraits en verre brisé à Genève dès jeudi sur la place Bel Air. Une autre de ses oeuvres sera visible sur les quais, à deux pas du Jet d’eau.
Simon Berger, un Bernois de 44 ans, est un artiste engagé avant tout dans une recherche esthétique et d’exploration des matériaux. «Il n’est pas un militant au sens propre comme pourrait l’être un Banksy par exemple», explique son attaché de presse.
Mais en tant que «citoyen, il a les yeux ouverts sur le monde»: «il est conscient que les libertés, comme celle de la presse, sont fragiles et qu’il appartient à chacun de les défendre.» L'homme finance de sa poche cette opération.
Après les pièces détachées de voitures ou des déchets de chantier, l'Alémanique a récemment choisi un nouveau support pour exprimer ses talents. Au lieu d’utiliser une toile et des pinceaux, une feuille ou un mur, l’artiste a opté pour quelque chose de plus extrême: une vitrine en verre et un marteau.
Le Bernois n'a pourtant pas de penchant pour la guérilla urbaine ou le saccage. C’est avec toutes les autorisations nécessaires que Simon Berger exprime son art basé sur les impacts d’une masse sur le verre.
Il représente souvent des visages de femmes. Cela fait écho aux propos de Reporter sans frontières qui rappelait, à l’occasion de la journée internationale de la femme, que 27 journalistes femmes sont détenues à travers le monde.
Simon Berger a exposé à Bâle en automne dernier. Ce qui lui a valu plusieurs recensions sur des sites en ligne, dont le très suivi Bored Panda.
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