Collision Quatre ados tués dans une collision dans le sud-ouest de la France

Quatre ados tués dans une collision dans le sud-ouest de la France

Au moins quatre adolescents sont morts dans la collision entre un train et un bus scolaire près de Perpignan (photo symbolique).

Photo: SDA

La collision s'est produite sur un passage à niveau. Quatre adolescents y ont laissé la vie.

Photo: SDA

Quatre ados tués dans une collision dans le sud-ouest de la France

Au moins quatre adolescents sont morts dans la collision entre un train et un bus scolaire près de Perpignan (photo symbolique).

Photo: SDA

La collision s'est produite sur un passage à niveau. Quatre adolescents y ont laissé la vie.

Photo: SDA

Quatre adolescents sont morts jeudi dans une collision entre un bus scolaire et un train express régional (TER) près de Perpignan, dans le sud-ouest de la France. L'accident a également fait 20 blessés dont onze sont dans un état grave.

L'accident s'est produit vers 16h00 à un passage à niveau de la commune de Millas, à une vingtaine de kilomètres de Perpignan. Le bus scolaire transportait des élèves de 13 à 17 ans. Les blessés gravement atteints se trouvaient dans l'autocar.

Le Premier ministre Edouard Philippe s'est rendu sur place, de même que la ministre des Transports, Elisabeth Borne, et le ministre de l'Education Jean-Michel Blanquer. Le président Emmanuel Macron a exprimé son émotion sur Twitter.

Bus sur les voies

Les circonstances de la collision sont pour l'heure inconnues. Selon les radios locales de France Bleu, le bus était engagé sur la voie alors que la barrière était baissée. Il aurait été percuté à l’arrière par le train.

Le journal local l'Indépendant cite une témoin, Barbara, qui se trouvait à bord du train, d'après laquelle, "le choc a été très violent et on a eu l'impression que le train allait dérailler et se renverser".

"Le train circulait à 80 km/h, vitesse réglementaire sur cette voie, au moment de l'accident, sous réserve de confirmation de l'enquête", a dit une porte-parole de la SNCF à Reuters.

"Le passage à niveau est un passage classique, bien équipé, lumineux. Plusieurs témoins ont confirmé que les barrières étaient bien baissées, donc ça fonctionnait, là encore sous réserve des conclusions de l'enquête", a-t-elle ajouté.