Quatre artistes romands investissent le campus de l'Université de Lausanne pour présenter leur vision d'un «techno-monde». L'accrochage en plein air est à découvrir devant l'Unithèque (ex-Banane) jusqu'au 1er octobre.
Catherine Leutenegger a pris ses photographies au Centre d'imagerie Dubochet. Ses clichés soulignent le pouvoir des nouveaux instruments technologiques dans la compréhension de la vie.
Camille Scherrer s'est intéressée à la société de l'approbation - avec ses "likes" - régnant dans les plateformes numériques ou les jeux vidéo.
Les paysages de Pascal Greco semblent réels. Ils constituent en réalité des simulations, capturées dans différents jeux vidéo.
Avec sa série "Chimères", Matthieu Gafsou fait le récit d'une planète en ruine, à l'aide de programmes de génération d'images utilisant l'intelligence artificielle.
Sur le campus, une exposition fait dialoguer art et technologie - Gallery
Catherine Leutenegger a pris ses photographies au Centre d'imagerie Dubochet. Ses clichés soulignent le pouvoir des nouveaux instruments technologiques dans la compréhension de la vie.
Camille Scherrer s'est intéressée à la société de l'approbation - avec ses "likes" - régnant dans les plateformes numériques ou les jeux vidéo.
Les paysages de Pascal Greco semblent réels. Ils constituent en réalité des simulations, capturées dans différents jeux vidéo.
Avec sa série "Chimères", Matthieu Gafsou fait le récit d'une planète en ruine, à l'aide de programmes de génération d'images utilisant l'intelligence artificielle.
Matthieu Gafsou, Pascal Greco, Catherine Leutenegger et Camille Scherrer ont été invités à explorer les différents usages des technologies et des cultures numériques. Chacun propose un projet inédit, conçu spécifiquement pour l'exposition «Techno-mondes».
Avec sa série «Chimères», Matthieu Gafsou fait le récit d'une planète en ruine, à l'aide de programmes de génération d'images utilisant l'intelligence artificielle. Camille Scherrer s'est intéressée à la société de l'approbation – avec ses «likes» – régnant dans les plateformes numériques ou les jeux vidéo.
Les paysages de Pascal Greco semblent réels. Ils constituent en réalité des simulations, capturées dans différents jeux vidéo. Enfin, Catherine Leutenegger a pris ses photographies au Centre d'imagerie Dubochet. Ses clichés soulignent le pouvoir des nouveaux instruments technologiques dans la compréhension de la vie.
L'exposition donne aussi la parole à la jeune génération, directement concernée par les impératifs de renouveau d'imaginaires technologiques. Tous les textes ont été rédigés par des étudiants d'un cours de master de la section d'histoire de l'art.