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Italie Les autonomistes lombards et vénitiens revendiquent la victoire
Milan
Les présidents de la Vénétie et de la Lombardie ont revendiqué une victoire écrasante du oui lors du référendum de dimanche visant à réclamer davantage d'autonomie à Rome. Ils ont toutefois dénoncé une attaque informatique.
Les habitants de la Lombardie se sont prononcés à 95% pour davantage d'autonomie, a annoncé tôt lundi le président de la région, Roberto Maroni, en citant des résultats préliminaires. Le "oui" l'a aussi emporté sans surprise à une très forte majorité en Vénétie, selon les premiers résultats.
Mais la vraie inconnue était la participation, la Vénétie, ayant un quorum de 50% à dépasser pour valider le scrutin. D'après les données partielles, la participation serait autour de 40% en Lombardie et de 60% en Vénétie, avec un vote oui largement supérieur à 90%.
Le président de la Lombardie, où aucun seuil n'est nécessaire, avait indiqué qu'une participation supérieure à 34% serait un succès, même si ses adversaires du parti démocrate (PD, centre-gauche) évoquaient un "flop" à moins de 50%.
Pas de sécession
Le président de la Vénétie, Luca Zaia, a évoqué un "beau résultat", avec "plus de deux millions" d'habitants qui se sont rendus aux urnes.
Mais la transmission des résultats a été affectée par une attaque informatique. "Nous avons trois niveaux de sécurité, les hackers en ont atteint deux. Pour le moment, nous sommes un peu bloqués. Nous téléphonons à chaque commune. Les chiffres définitifs, j'imagine que nous les aurons dans quelques heures", a-t-il dit.
Contrairement à la Catalogne, en crise ouverte avec le pouvoir central à Madrid, il ne s'agit pas d'avancer sur la voie de la sécession, mais d'obtenir de Rome davantage d'autonomie en matière d'éducation, de protection de l'environnement, de sécurité au travail ou de fiscalité.
"Nous ne sommes pas la Catalogne", a déclaré Roberto Maroni. "Nous restons à l'intérieur de la nation italienne avec plus d'autonomie quand la Catalogne veut devenir elle le 29e Etat de l'Union européenne. Nous, non. Pas pour le moment", a poursuivi l'ancien ministre.
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