Le Konrad Adenauer a atterri d'urgence à l'aéroport de Cologne.
L'avion de la chancelière allemande Angela Merkel a été accueilli par les pompiers sur le tarmac de l'aéroport de Cologne.
Peu avant son arrivée à Buenos Aires, le président américain Donald Trump a décidé d'annuler sa rencontre avec son homologue russe Vladimir Poutine.
La capitale argentine, Buenos Aires, a été placée sous haute protection.
La rencontre entre le président chinois Xi Jinping et son homologue américain Donald Trump sera le moment fort du sommet du G20 de Buenos Aires.
Problème technique pour l'avion de Merkel
Le Konrad Adenauer a atterri d'urgence à l'aéroport de Cologne.
L'avion de la chancelière allemande Angela Merkel a été accueilli par les pompiers sur le tarmac de l'aéroport de Cologne.
Peu avant son arrivée à Buenos Aires, le président américain Donald Trump a décidé d'annuler sa rencontre avec son homologue russe Vladimir Poutine.
La capitale argentine, Buenos Aires, a été placée sous haute protection.
La rencontre entre le président chinois Xi Jinping et son homologue américain Donald Trump sera le moment fort du sommet du G20 de Buenos Aires.
La chancelière allemande Angela Merkel sera absente de l'ouverture du sommet du G20 à Buenos Aires, après un atterrissage d'urgence de son avion à Cologne, dans l'ouest de l'Allemagne, jeudi soir. Le président américain Donald Trump est, lui, bien arrivé en Argentine.
Le sommet du G20 s'ouvre ce vendredi dans la capitale argentine, bousculé par les tensions diplomatiques et commerciales. Les chefs d'Etat et de gouvernement des vingt plus grandes puissances mondiales se retrouvent pour deux jours dans une capitale argentine sous très haute surveillance.
Une heure environ après le décollage de l'avion de Mme Merkel de Berlin, le commandant de bord du Konrad Adenauer, le nom de l'appareil de la république fédérale, a annoncé aux membres de la délégation et aux journalistes les accompagnant qu'il avait décidé de se poser à Cologne en raison de "dysfonctionnement de plusieurs systèmes électroniques", alors que l'Airbus A340 survolait les Pays-Bas. Il a ajouté qu'il n'y avait pas de risques pour la sécurité.
L'atterrissage a été brusque, l'avion ayant encore beaucoup de carburant à bord, et ses freins ont été très sollicités. Après être restées un temps à bord, la chancelière fédérale et sa délégation ont quitté l'avion et gagné un hôtel de Bonn.
Les leaders mondiaux arrivent en Argentine pour le G20
Entretiens avec Trump, Xi et Poutine
Selon des tweets de journalistes allemands se trouvant à bord du vol gouvernemental, la chancelière devrait se rendre vendredi matin à Madrid afin d'embarquer avec une petite délégation à bord d'un avion de ligne commerciale vers la capitale argentine. Le ministre allemand des finances, Olaf Scholz, devrait faire partie de cette délégation restreinte.
De sources gouvernementales, on indique que Mme Merkel ne devrait pas arriver en Argentine avant vendredi soir. Plusieurs entretiens bilatéraux sont prévus à son agenda, notamment avec les présidents américain Donald Trump, chinois Xi Jinping et russe Vladimir Poutine.
D'après l'agence DPA, le porte-parole du gouvernement Steffen Seibert a fait savoir que le voyage ne pouvait pas se poursuivre jeudi soir afin de respecter les temps de vol maximaux de l'équipage. Il a précisé étudier si les rendez-vous prévus de la dirigeante dans le cadre de ce sommet pouvaient être reportés.
Trump ne rencontrera pas Poutine
Avant même le coup d'envoi du G20 en Argentine, l'imprévisible président américain Donald Trump a brusquement fait grimper la tension en annulant sa rencontre prévue avec son homologue russe Vladimir Poutine, sur fond d'escalade entre Moscou et Kiev. Le revirement survient alors que l'enquête aux Etats-Unis sur l'ingérence russe avant l'élection présidentielle de 2016 se fait de plus en plus menaçante pour le locataire de la Maison-Blanche.
"En partant du fait que les navires et les marins n'ont pas été restitués par la Russie à l'Ukraine, j'ai décidé qu'il serait mieux pour toutes les parties concernées d'annuler ma rencontre préalablement prévue en Argentine avec le président Vladimir Poutine", a-t-il tweeté, peu après avoir quitté Washington.
Une heure avant, le président américain, coutumier des volte-face brutales, avait encore confirmé aux journalistes cette rencontre bilatérale, dans un contexte "très opportun", avait-il même dit.
Le Kremlin a réagi avec froideur à l'annulation de la réunion bilatérale, qui ne lui avait pas été signifiée officiellement. Un porte-parole a noté que Vladimir Poutine "aurait quelques heures de plus à consacrer à des réunions utiles en marge du sommet".
Le temps fort annoncé du sommet sera la rencontre de M. Trump avec le président chinois Xi Jinping. Les deux dirigeants doivent tenter d'enrayer l'escalade de représailles douanières entre les deux pays, qui menace la croissance mondiale.
"Nous espérons que les Etats-Unis et la Chine pourront faire un pas l'un vers l'autre", a dit jeudi un porte-parole du ministère chinois du commerce.
Vladimir Poutine, l'homme fort de la Russie
Vladimir Poutine, l'homme fort de Russie
Le 10 septembre 2016, le président russe Vladimir Poutine pose pour un selfie sur la place Rouge durant les festivités organisées à l'occasion du Jour de la ville de Moscou.
Vladimir Poutine au bord de la glace.
Le président russe lors d'une conférence de presse sur la situation qui règne actuellement en Ukraine.
Vladimir Poutine en mission sportive: en 2014, il est parvenu à organiser pour la première fois les Jeux olympiques en Russie. Bien que le président ait été vivement critiqué avant le début de l'événement, cette grande fête internationale des sports d'hiver s'est déroulée sans accroc.
Manager du kremlin: le 1er septembre 2012, Vladimir Poutine passe un coup de fil à la sportive Tatyana Savostyanova, qui a décroché une médaille d'argent aux Jeux paralympiques de Londres, pour la féliciter.
Poutine démontre qui dirige la Russie: ici, il prend la place de co-pilote en août 2010.
Un homme mystérieux et auréolé: Vladimir Poutine dans un bureau électoral en mars 2000, peu avant sa première élection à la présidence russe avec 52,9 pour cent des voix. Il n'en reste que Vladimir Poutine est loin d'être un saint, contrairement à ce que suggère cette photo. Il est considéré comme le «maître de la démocratie dirigée»; il a d'ailleurs restreint la liberté de manifestation et sait se mettre en scène de façon efficace.
Aperçu du président à la chasse, torse nu et armé d'un gros fusil.
Le commandant en chef: en sa qualité de président, Vladimir Poutine est également chef des forces armées et cette fonction lui tient beaucoup à cœur. Les soldats russes blessés au combat jouissent de toute son attention, ...
... et il examine même avec attention leurs examens radiologiques.
Putin à bord d'un avion bombardier.
L'as de la métamorphose: quelle que soit l'occasion, Vladimir Poutine tient toujours à porter l'uniforme adéquat. Que ce soit pour l'expertise d'un centre de ski à Krasnaïa Poliana...
L'homme fort: les photos de Vladimir Poutine doivent également véhiculer un message clair. Ici, on voit un homme d'État dynamique et proche du peuple, qui assure la continuité de la Grande Russie ...
... et sert les intérêts du pays. Aujourd'hui, la Russie ne fait pas qu'apporter son soutien au dirigeant syrien Bachar el-Assad. Par le passé, le pays avait également tenté de se présenter comme une grande puissance indépendante. En octobre 2007, Vladimir Poutine a lourdement critiqué les États-Unis dans les médias à propos de la guerre en Irak.
C'est précisément parce que l'économie ne va pas forcément bien et que la richesse de la Russie est essentiellement fondée sur des matières premières épuisables que la mise en scène de la puissance militaire joue un rôle important. Lors de ce meeting aérien (2007), Vladimir Poutine examine d’un œil critique ce que l'armée de l'air exécute dans le ciel de Moscou.
Le tsar: la mise en scène de Vladimir Poutine ne peut cependant pas masquer le fait que la démocratie va mal en Russie. Ses tractations avec Dmitri Medvedev ont suscité bien des critiques, et pas qu'à l'étranger. Même les Russes sont descendus dans la rue pour protester.
Beaucoup ont douté de la sincérité des larmes de Poutine après sa nouvelle victoire aux élections de mars 2012.
Les pires bévues de Donald Trump
Les pires bévues de Donald Trump
Donald Trump est l’un des rares chefs d’État à faire très régulièrement la une des journaux: connu pour son comportement anticonformiste, le président américain est aussi un fervent adepte des tweets. Bluewin revient sur ses dix faux pas les plus embarrassants.
Donald Trump est réputé pour sa poignée de main. L’accueil réservé au Premier ministre japonais Shinzo Abe a marqué les esprits. Pendant 19 longues secondes, Trump a secoué vigoureusement la main du chef du gouvernement japonais qui, visiblement gêné, a regardé autour de lui comme pour appeler à l’aide.
Finalement, la chancelière allemande Angela Merkel a peut-être eu de la chance lorsque Trump a refusé de lui serrer la main lors de sa première visite à la Maison-Blanche, malgré l’insistance des journalistes. Le fait que Merkel lui demande poliment: «Voulez-vous qu’on se serre la main?» n’a rien changé. Le monde entier s’est demandé si Trump avait eu un moment d’égarement ou s’il avait refusé intentionnellement cette poignée de main.
Peut-on dire que le mariage entre Melania et Donald Trump est une réussite? Si l’on se fie à une scène lors de la prestation de serment du président, absolument pas. On y voit Trump se tourner brièvement vers son épouse Melania, qui lui adresse un sourire forcé. Dès que Trump se détourne, son faux sourire disparaît et cède la place à un regard triste et résigné. On ne peut pas parler de grand amour.
Même si le président français Macron et Trump sont politiquement à des années-lumière l’un de l’autre, le courant passe plutôt bien entre les deux hommes. Trump apprécie le Français et n’a pas hésité à le lui montrer à sa façon lors d’une visite officielle. Face aux journalistes présents, Trump a entrepris de balayer les pellicules du costume de son invité, croyant bon d’ajouter: «Nous devons le rendre impeccable, il est impeccable». Une scène étrange, qui a suscité de nombreux commentaires.
Avant l’épisode du balayage de pellicules, Trump avait déjà mis Macron dans l’embarras une première fois. En juin 2017, lors d’une visite à Paris, Trump avait d’abord longuement dévisagé Brigitte Macron, alors âgée de 64 ans, avant de déclarer haut et fort devant les caméras qu’elle était «drôlement bien conservée». Pas très diplomate, tout cela.
Deux semaines se sont écoulées avant que Trump n’arrive enfin sur l’île totalement dévastée de Porto Rico, dans les Caraïbes, après le passage de l’ouragan Maria. Là, il s’est montré accessible et proche des gens. Se présentant comme le Bon Samaritain venu apporter son aide en situation d’urgence, Donald Trump a participé à une distribution de produits de première nécessité, au cours de laquelle il a lancé des rouleaux d’essuie-tout à une foule visiblement perplexe.
Le tempérament explosif de Trump et son manque de goût pour le détail se reflètent également dans ses tweets notoires. Ses fautes d’orthographe inouïes font pleurer de rire la moitié de la planète. En mai 2017, un tweet en pleine nuit du président avec le mot «covfefe» a suscité bien des interrogations ...
Pendant des heures, aucune correction. Trump dormait probablement sur ses deux oreilles, tout comme l’équipe de communication de la Maison-Blanche. Au petit matin, c’est un Trump débordant d’humour qui a posté un autre tweet en demandant: «Who can figure out the true meaning of "covfefe"??? Enjoy!» («Qui va trouver la véritable signification de "covfefe"? Amusez-vous bien!»).
De nombreuses personnes ont assisté à l’investiture de Trump. Moins toutefois que pour l’investiture de son prédécesseur Barack Obama, comme on peut le voir sur les photos aériennes prises à l’époque. Mais pourquoi se soucier de la réalité lorsqu’on peut faire autrement? Trump et son équipe de communication ont laissé entendre que personne avant lui n’avait rassemblé une telle foule lors d’une cérémonie d’investiture.
En mai 2017, lors d’une réunion des chefs d’État au siège de l’OTAN à Bruxelles, Trump a poussé sans ménagement le Premier ministre du Monténégro, Dusko Markovic, pour se mettre au premier rang. Un grand classique pour le président américain.
Les situations embarrassantes ont commencé bien avant l’investiture du président américain. La liste de ses dérapages verbaux est aussi longue que la Grande Muraille de Chine. Lors des élections présidentielles de 2016, un terrible enregistrement d’une conversation entre le multimilliardaire et un journaliste datant de 2005 a été mis au jour ...
«Grab them by the pussy. And then you can do anything», déclarait alors Trump au journaliste, se vantant de ses «talents de conquérant» auprès des femmes. En d’autres termes: «Attrapez-les par le sexe et vous pouvez faire tout ce que vous voulez.» Le futur président des Etats-Unis est alors âgé de 59 ans. Sans commentaire.
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