Le Musée national de Zurich rend hommage à Anne Frank et à sa famille. Dans une exposition, il retrace le lien entre les Frank, la diffusion du journal intime d'Anne et la Suisse, où son père s'est installé après avoir survécu au camp de concentration d'Auschwitz.
Le Musée national présente une reproduction du Journal d'Anne Frank et s’appuie sur ses récits pour en décrire les conditions d’élaboration et leur influence historique.
L'exposition présente notamment divers objets. Parmi eux, une pochette de pyjama brodée par Anne Frank à Amsterdam.
Installé en Suisse après la Deuxième Guerre mondiale, Otto Frank a diffusé l’héritage de sa fille Anne dans le monde entier. Les journaux intimes d’Anne Frank font partie du patrimoine littéraire mondial.
Anne Frank, deux autres membres de sa famille et quatre autres juifs retranchés dans une cachette à Amsterdam durant la Deuxième Guerre mondiale sont morts à Auschwitz. Otto Frank, père d'Anne, a survécu au camp de concentration nazi. Il s'est installé en Suisse après la guerre.
Les liens d'Anne Frank avec la Suisse présentés au Musée national - Gallery
Le Musée national présente une reproduction du Journal d'Anne Frank et s’appuie sur ses récits pour en décrire les conditions d’élaboration et leur influence historique.
L'exposition présente notamment divers objets. Parmi eux, une pochette de pyjama brodée par Anne Frank à Amsterdam.
Installé en Suisse après la Deuxième Guerre mondiale, Otto Frank a diffusé l’héritage de sa fille Anne dans le monde entier. Les journaux intimes d’Anne Frank font partie du patrimoine littéraire mondial.
Anne Frank, deux autres membres de sa famille et quatre autres juifs retranchés dans une cachette à Amsterdam durant la Deuxième Guerre mondiale sont morts à Auschwitz. Otto Frank, père d'Anne, a survécu au camp de concentration nazi. Il s'est installé en Suisse après la guerre.
L'exposition «Anne Frank et la Suisse», à voir dès jeudi jusqu'au 6 novembre, illustre la vie de la famille Frank à travers des objets, des photos et des documents. Elle ouvre une fenêtre sur l’histoire quotidienne, ainsi que la politique à l’égard des réfugiés et l’aide aux réfugiés en Suisse pendant la Deuxième Guerre mondiale, indique le Musée national mercredi.
Journal diffusé depuis la Suisse
Le Journal d'Anne Frank retrace, pendant 735 jours, la vie quotidienne marquée par la peur et la faim de huit personnes juives retranchées dans une cachette à Amsterdam pour échapper aux nazis. Le musée en présente une reproduction et s’appuie sur ses récits pour en décrire les conditions d’élaboration et leur influence historique.
Edith, Margot, Anne Frank et quatre autres clandestins juifs sont morts dans les camps de concentration nazis. Seul Otto Frank y a survécu. Il est revenu d’Auschwitz en 1945. Devenu apatride, il s'est installé en Suisse, d'où il a diffusé l’héritage de sa fille Anne dans le monde entier. Véritable plaidoyer en faveur de plus d’humanité et de tolérance, les journaux intimes d’Anne font partie du patrimoine littéraire mondial.
Branches familiales à Amsterdam et à Bâle
Le Musée national fait le lien entre la fuite de la famille d’Anne Frank à Amsterdam et l’exil de ses autres membres à Bâle. Les histoires parallèles des deux branches de la famille à l’époque de la Deuxième Guerre mondiale mettent en lumière les menaces spécifiques qui pesaient sur les juifs dans deux petits pays européens.
L'exposition est réalisée en coopération avec l'Anne Frank Fonds de Bâle et le Familie Frank Zentrum de Francfort, qui centralise les archives de la famille.