Un tableau de Pablo Picasso, portrait de sa maîtresse Marie-Thérèse Walter, a été vendu aux enchères à Londres en février 2018, pour un peu moins de 50 millions de livres sterling (environ 69,4 millions de dollars). La «Femme au béret et à la robe quadrillée» semble presque être une bonne affaire quand on la compare aux toiles les plus chères au monde, à découvrir dans cette galerie d'images.
«Salvator mundi» est le titre d’un tableau que l'on attribue à Leonardo de Vinci. Cette peinture à l’huile représente le Christ en sauveur du monde et est datée aux alentours de 1500. Avec un prix de vente avoisinant les 450 millions de dollars en novembre 2017, il s’agit de la peinture la plus chère ayant actuellement été mise aux enchères.
Les Femmes d'Alger» est une série de 15 toiles et de multiples dessins que le peintre espagnol Pablo Picasso a réalisés entre fin 1954 et début 1955. En mai 2015, la dernière version du tableau «Les Femmes d'Alger» (version O) a une nouvelle fois été mise aux enchères chez Christie's à New-York. Le prix de vente a atteint les 179 millions de dollars (commission incluse).
Le «Nu couché» de l'Italien Amedeo Modigliani, réalisé entre 1917 et 1918, a suscité un véritable scandale à l’époque: il représente une femme allongée, entièrement nue, dont les seins et le sexe sont exposés à tous les regards. Le 9 novembre 2015, ce tableau a changé de propriétaire à New York pour 170'405'000 dollars et est désormais la troisième toile la plus chère au monde.
Le triptyque de Francis Bacon, «Trois études de Lucian Freud», a été vendu aux enchères le 12 novembre 2013 pour une somme de 142,4 millions de dollars. Selon les déclarations de la maison de ventes, c’est un acheteur anonyme qui, à l’époque, avait fait l’acquisition de cette œuvre de deux mètres de haut et de plus de quatre mètres de large.
«No. 5, 1948» est une toile de l’artiste américain Jackson Pollock. Avec un prix de vente annoncé à 140 millions de dollars américains, elle a longtemps été considérée comme la peinture la plus chère de tous les temps. En 2006, David Geffen, son propriétaire de l'époque, l’a vendue lors d’une transaction privée réalisée pour le compte d’un Mexicain.
Lors d’une vente aux enchères, le 13 novembre 2013, l'œuvre d’Andy Warhol «Silver Car Crash (Double Disaster)» s’est monnayée à plus de 105 millions de dollars. L’acheteur est resté anonyme. Cela en fait l'œuvre la plus chère d’Andy Warhol. Selon les informations fournies par la maison de ventes aux enchères Sotheby’s, le précédent record était détenu par la toile de Warhol intitulée «Green Car Crash - Green Burning Car I», laquelle a été acquise pour 71,7 millions de dollars en 2007.
Mais les peintures ne sont pas les seules à atteindre des prix record. «L’Homme qui marche I» est une sculpture grandeur nature de l’artiste suisse Alberto Giacometti. Celle-ci existe en dix exemplaires: six moulages en bronze et quatre épreuves d’artiste. Elle a vu le jour en 1960 et a été adjugée aux enchères en février 2010, chez Sotheby's à Londres, pour un montant de 104,3 millions de dollars.
Mais ce n’est pas encore là l’œuvre de tous les records pour Giacometti: la sculpture la plus chère était jusque-là «L'Homme au doigt», une œuvre qui a changé de propriétaire en mai 2015 pour 141 millions de dollars, soit plus de 35 millions de dollars au-dessus du prix d’acquisition de «L'Homme qui marche I».
En 2007, le crâne en diamants de l’artiste britannique Damien Hirst a été acheté pour 75 millions d’euros en tout et pour tout (environ 100 millions de dollars) par un groupe d’investissement.
Les œuvres d'art les plus chères au monde
Un tableau de Pablo Picasso, portrait de sa maîtresse Marie-Thérèse Walter, a été vendu aux enchères à Londres en février 2018, pour un peu moins de 50 millions de livres sterling (environ 69,4 millions de dollars). La «Femme au béret et à la robe quadrillée» semble presque être une bonne affaire quand on la compare aux toiles les plus chères au monde, à découvrir dans cette galerie d'images.
«Salvator mundi» est le titre d’un tableau que l'on attribue à Leonardo de Vinci. Cette peinture à l’huile représente le Christ en sauveur du monde et est datée aux alentours de 1500. Avec un prix de vente avoisinant les 450 millions de dollars en novembre 2017, il s’agit de la peinture la plus chère ayant actuellement été mise aux enchères.
Les Femmes d'Alger» est une série de 15 toiles et de multiples dessins que le peintre espagnol Pablo Picasso a réalisés entre fin 1954 et début 1955. En mai 2015, la dernière version du tableau «Les Femmes d'Alger» (version O) a une nouvelle fois été mise aux enchères chez Christie's à New-York. Le prix de vente a atteint les 179 millions de dollars (commission incluse).
Le «Nu couché» de l'Italien Amedeo Modigliani, réalisé entre 1917 et 1918, a suscité un véritable scandale à l’époque: il représente une femme allongée, entièrement nue, dont les seins et le sexe sont exposés à tous les regards. Le 9 novembre 2015, ce tableau a changé de propriétaire à New York pour 170'405'000 dollars et est désormais la troisième toile la plus chère au monde.
Le triptyque de Francis Bacon, «Trois études de Lucian Freud», a été vendu aux enchères le 12 novembre 2013 pour une somme de 142,4 millions de dollars. Selon les déclarations de la maison de ventes, c’est un acheteur anonyme qui, à l’époque, avait fait l’acquisition de cette œuvre de deux mètres de haut et de plus de quatre mètres de large.
«No. 5, 1948» est une toile de l’artiste américain Jackson Pollock. Avec un prix de vente annoncé à 140 millions de dollars américains, elle a longtemps été considérée comme la peinture la plus chère de tous les temps. En 2006, David Geffen, son propriétaire de l'époque, l’a vendue lors d’une transaction privée réalisée pour le compte d’un Mexicain.
Lors d’une vente aux enchères, le 13 novembre 2013, l'œuvre d’Andy Warhol «Silver Car Crash (Double Disaster)» s’est monnayée à plus de 105 millions de dollars. L’acheteur est resté anonyme. Cela en fait l'œuvre la plus chère d’Andy Warhol. Selon les informations fournies par la maison de ventes aux enchères Sotheby’s, le précédent record était détenu par la toile de Warhol intitulée «Green Car Crash - Green Burning Car I», laquelle a été acquise pour 71,7 millions de dollars en 2007.
Mais les peintures ne sont pas les seules à atteindre des prix record. «L’Homme qui marche I» est une sculpture grandeur nature de l’artiste suisse Alberto Giacometti. Celle-ci existe en dix exemplaires: six moulages en bronze et quatre épreuves d’artiste. Elle a vu le jour en 1960 et a été adjugée aux enchères en février 2010, chez Sotheby's à Londres, pour un montant de 104,3 millions de dollars.
Mais ce n’est pas encore là l’œuvre de tous les records pour Giacometti: la sculpture la plus chère était jusque-là «L'Homme au doigt», une œuvre qui a changé de propriétaire en mai 2015 pour 141 millions de dollars, soit plus de 35 millions de dollars au-dessus du prix d’acquisition de «L'Homme qui marche I».
En 2007, le crâne en diamants de l’artiste britannique Damien Hirst a été acheté pour 75 millions d’euros en tout et pour tout (environ 100 millions de dollars) par un groupe d’investissement.
De Vinci, Picasso et Giacometti: les peintures et les sculptures de ces artistes ont atteint des millions sous les marteaux des maisons de ventes aux enchères.
Fin février, un portrait peint par Pablo Picasso a été mis aux enchères pour près de 70 millions de dollars. La peinture à l'huile surréaliste, intitulée «Femme au béret et à la robe quadrillée (Marie-Thérèse Walter)», date de 1937.
Cette œuvre a été pour la première fois mise aux enchères lors d’une vente consacrée à l’art impressionniste et moderne. Son prix estimatif avoisinait les 45 millions de dollars. La maison de ventes n’a fourni aucune information quant à l’identité du vendeur et de l’acheteur.
70 millions constituent pourtant une véritable aubaine par rapport aux œuvres d’art les plus chères au monde qui ont été vendues aux enchères.
Rendez-vous dans notre galerie pour savoir qui a remporté ces enchères et à quel prix.
Les œuvres d'art les plus chères au monde
Un tableau de Pablo Picasso, portrait de sa maîtresse Marie-Thérèse Walter, a été vendu aux enchères à Londres en février 2018, pour un peu moins de 50 millions de livres sterling (environ 69,4 millions de dollars). La «Femme au béret et à la robe quadrillée» semble presque être une bonne affaire quand on la compare aux toiles les plus chères au monde, à découvrir dans cette galerie d'images.
«Salvator mundi» est le titre d’un tableau que l'on attribue à Leonardo de Vinci. Cette peinture à l’huile représente le Christ en sauveur du monde et est datée aux alentours de 1500. Avec un prix de vente avoisinant les 450 millions de dollars en novembre 2017, il s’agit de la peinture la plus chère ayant actuellement été mise aux enchères.
Les Femmes d'Alger» est une série de 15 toiles et de multiples dessins que le peintre espagnol Pablo Picasso a réalisés entre fin 1954 et début 1955. En mai 2015, la dernière version du tableau «Les Femmes d'Alger» (version O) a une nouvelle fois été mise aux enchères chez Christie's à New-York. Le prix de vente a atteint les 179 millions de dollars (commission incluse).
Le «Nu couché» de l'Italien Amedeo Modigliani, réalisé entre 1917 et 1918, a suscité un véritable scandale à l’époque: il représente une femme allongée, entièrement nue, dont les seins et le sexe sont exposés à tous les regards. Le 9 novembre 2015, ce tableau a changé de propriétaire à New York pour 170'405'000 dollars et est désormais la troisième toile la plus chère au monde.
Le triptyque de Francis Bacon, «Trois études de Lucian Freud», a été vendu aux enchères le 12 novembre 2013 pour une somme de 142,4 millions de dollars. Selon les déclarations de la maison de ventes, c’est un acheteur anonyme qui, à l’époque, avait fait l’acquisition de cette œuvre de deux mètres de haut et de plus de quatre mètres de large.
«No. 5, 1948» est une toile de l’artiste américain Jackson Pollock. Avec un prix de vente annoncé à 140 millions de dollars américains, elle a longtemps été considérée comme la peinture la plus chère de tous les temps. En 2006, David Geffen, son propriétaire de l'époque, l’a vendue lors d’une transaction privée réalisée pour le compte d’un Mexicain.
Lors d’une vente aux enchères, le 13 novembre 2013, l'œuvre d’Andy Warhol «Silver Car Crash (Double Disaster)» s’est monnayée à plus de 105 millions de dollars. L’acheteur est resté anonyme. Cela en fait l'œuvre la plus chère d’Andy Warhol. Selon les informations fournies par la maison de ventes aux enchères Sotheby’s, le précédent record était détenu par la toile de Warhol intitulée «Green Car Crash - Green Burning Car I», laquelle a été acquise pour 71,7 millions de dollars en 2007.
Mais les peintures ne sont pas les seules à atteindre des prix record. «L’Homme qui marche I» est une sculpture grandeur nature de l’artiste suisse Alberto Giacometti. Celle-ci existe en dix exemplaires: six moulages en bronze et quatre épreuves d’artiste. Elle a vu le jour en 1960 et a été adjugée aux enchères en février 2010, chez Sotheby's à Londres, pour un montant de 104,3 millions de dollars.
Mais ce n’est pas encore là l’œuvre de tous les records pour Giacometti: la sculpture la plus chère était jusque-là «L'Homme au doigt», une œuvre qui a changé de propriétaire en mai 2015 pour 141 millions de dollars, soit plus de 35 millions de dollars au-dessus du prix d’acquisition de «L'Homme qui marche I».
En 2007, le crâne en diamants de l’artiste britannique Damien Hirst a été acheté pour 75 millions d’euros en tout et pour tout (environ 100 millions de dollars) par un groupe d’investissement.
Ces œuvres d'art qui défient la gravité
Haute voltige: ces œuvres d’art qui défient la gravité
On se baisse automatiquement à la vue de la sculpture de Lorenzo Quinn, «The Force Of Nature», qui montre à quel point notre planète est à la merci des catastrophes naturelles. «Une réminiscence des statues des civilisations anciennes qui étaient conçues comme des offres de paix aux dieux», explique l’artiste italien. Un exemple parmi tant d’autres œuvres qui semblent contredire sans effort les lois de la pesanteur.
Détourner des lieux du quotidien pour créer des impressions surréalistes et dérouter le spectateur avec des illusions d’optique, telle est la passion d’Alex Chinneck. Son chef-d’œuvre: «Take My Lighting But Don't Steal My Thunder».
Est-ce encore de l’art, ou sommes-nous déjà dans le domaine de la magie? Il semble qu’une partie du Market Building du Covent Garden à Londres soit suspendue dans les airs. Derrière cette illusion monumentale se cachent une véritable armée de 100 artisans et une technique ingénieuse, mais on n’en sait pas plus. Un magicien ne révèle jamais ses secrets. Plus d'informations: alexchinneck.com
Johnson Tsang, artiste autodidacte, aime surprendre les observateurs avec des sculptures qui semblent figées dans l’instant. Exemple frappant: ce baiser de thé et de café du nom de «Yuanyang II». «Il s’agit d’une boisson de Hongkong qui mélange du thé et du café», explique l’artiste. Elle symbolise, pour lui, la façon dont «Hongkong allie avec créativité la tradition chinoise aux influences occidentales.»
On dirait que King Kong s’est entraîné au javelot avec un pylône à haute tension, mais il s’agit d’une œuvre du sculpteur britannique Alex Chinneck. Cette installation sur la presqu’île londonienne de Greenwich s’intitule «A Bullet from a Shooting Star».
Ce sont 450 pièces de puzzle en acier pour un poids total de 15 tonnes qui ont été soudées sur environ 1000 points de jonction. «A Bullet from a Shooting Star» était la curiosité la plus étrange du London Design Festival de 2015.
Selon Lorenzo Quinn, «l’amour est la force la plus puissante au monde: lui seul est capable de vous transporter et de vous faire oublier la pesanteur». C’est justement ce que représente son œuvre «Force Of Love». «L’amour transforme les montagnes les plus infranchissables en cailloux; les océans en mares. Il n’existe aucune distance ni obstacle qui puisse séparer deux âmes qui s’aiment», déclare le sculpteur, philosophe. Plus d'informations: www.lorenzoquinn.com
Venu tout droit d’Oslo, Fredrik Raddum souhaite «encourager l’observateur, au travers d’indices subtils, à aller au-delà de sa première impression de l’œuvre». Cette sculpture, issue de la série «Hacienda Paradise - Utopia Experiment», porte le nom de «Trans i re». Plus d'informations: www.instagram.com/fredradd
Les passants ont dû être effrayés en passant devant cet immeuble en octobre 2017 à Berlin-Marzahn… L’installation «Wurf IV» de Anna Borgman et Candy Lenk donne l’impression qu’un rocher de deux mètres et demi se précipite d’une hauteur de 25 mètres vers le trottoir...
Le projet commun de l’artiste danoise Anna Borgman et de l’artiste allemand Candy Lenk avait pour but d’introduire l’art dans l’espace public pour réaliser des «interventions artistiques dans cet enchevêtrement de vies, d’histoires et de situations». Au final, en plus de remporter de nombreux concours, cette œuvre a réussi à faire lever les yeux des passants sur la tristesse de ces vieux bâtiments en béton. Plus d'informations: borgmanlenk.com
Cette illusion d’optique se trouve en Suisse, à Winterthour. Un robinet surdimensionné semble flotter en l’air tout en déversant de l’eau qui semble venir de nulle part. Le secret de cette illusion ne sera pas dévoilé ici, car le Swiss Science Center Technorama aime recevoir des visiteurs. Plus d'informations sur: technorama.ch
En admirant cette œuvre de Daniel Firman, on a du mal à en croire ses yeux: un éléphant en équilibre sur sa trompe. L’imposante sculpture du nom de «Würsa» est exposée au Château de Fontainebleau en France. Pour être à la hauteur de son ambition et obtenir un résultat aussi réaliste que possible, l’artiste a suivi les conseils d’un taxidermiste. Plus d'informations: www.instagram.com/daniel_firman_studio
Ici, le temps semble s’être arrêté. L’artiste autrichien Markus Hofer a l’habitude de transformer des tracteurs en œuvres d’art dans son pays natal. C’est cependant à Cottesloe, en Australie, à l’occasion de l’exposition en bord de mer «Sculpture by the Sea», que son installation fantasque «Der Traktor» fit particulièrement sensation. Plus d'informations: www.sculpturebythesea.com
«Inspirées d’une rencontre inexplicable de la vraie vie», ces sculptures d’elfes de grande taille sont nées de la main de l’artiste britannique Robin Wight. Le commun des mortels a au moins l’occasion de rencontrer ces créatures sous leur forme de fil de fer à Trentham Estate à Stoke-on-Trent, en Angleterre. Pas la peine de souffler sur le pissenlit, lui aussi est en fil de fer. Plus d'informations: www.fantasywire.co.uk.
Mieux vaut ne pas avoir le vertige pour pouvoir regarder la sculpture «Man walking to the sky» de Jonathan Borofsky qui faisait partie de la Documenta en 1992 à Cassel. Cette série d’exposition créée en 1955 est l’une des plus importantes en son genre dans le monde artistique moderne. Plus d'informations: www.borofsky.com
Le Festival of Speed présente des voitures intemporelles. Dans ce cas précis, ce sont trois Porsche 911, soit 22 tonnes, qui défient la gravité à 35 mètres de haut. C’est avec cette œuvre que Porsche a choisi de célébrer 70 ans de voitures de sport cultes devant Goodwood House, en Grande-Bretagne. Le créateur de cette sculpture imposante, Gerry Judah, a également créé des décors pour Ridley Scott et les coulisses de spectacles pour Michael Jackson ou encore The Who.
A présent entraîneur, Michael Jones avait, au sommet de sa carrière, le statut de meilleur rugbyman de Nouvelle-Zélande. L’artiste Natalie Stamilla a donné des ailes à cet ailier qui flotte aujourd’hui à Eden Park. Cet instant figé pour l’éternité dans le bronze mesure quatre mètres de haut et représente un moment décisif du match de sa vie. Plus d'informations: nataliestamilla.com
Emil Alzamora est un véritable citoyen du monde: né en 1975 au Pérou, il a grandi en Espagne et aux Etats-Unis, et possède à présent un passeport anglais. Ses sculptures aussi parcourent le monde. «Albedo» semble léviter au-dessus du sol et vit en Amérique. Ce géant de bronze détendu, qui semble ne pas prendre au sérieux les lois de la pesanteur, mesure 3,66 mètres de haut.
Un puzzle humain explosé figé dans le temps? Un médecin trouverait ce torse pulvérisé assez préoccupant…Cette sculpture, une autre création de Emil Alzamora, s’intitule «Thread» et mesure 1,90 mètre de haut.
Michael Grab ne maîtrise pas seulement la gravité, mais aussi la patience. Impossible d’expliquer autrement comment il parvient à empiler aussi habilement des pierres pour un résultat qui ressemble à de la sorcellerie. L’artiste assure ne s’être servi ni de la Force des Jedi, ni même de colle. Selon Grab, «la seule chose qui maintient ces pierres en place est la gravité». Et la patience, car la création d’une telle sculpture en pierres n’est pas une affaire de quelques heures, mais de jours entiers...
Michael Grab crée ses œuvres d’art naturelles partout dans le monde et les prend vite en photo avant qu’elles ne s’effondrent. Selon lui, cette occupation singulière demande «de la patience, un esprit critique, une capacité d’adaptation, une respiration calme et des mains sûres». Là où d’autres perdraient sûrement leur calme, cette activité permet à Michael Grab de méditer... Plus d'informations: gravityglue.com
L’art cherche toujours à capturer des moments précieux, mais «The Anti-Precious Moment» a justement pour but de représenter un moment sans valeur. John von Bergen, né dans le Connecticut aux Etats-Unis et Berlinois de cœur, décrit ainsi sa démarche artistique: «le conflit entre des processus créatifs, destructifs et reconstructifs. On en voit toujours plusieurs en même temps. On ne peut pas dire: ceci est une interruption, cela est un conflit. On a toujours affaire à quelque chose de plus étrange.» Plus d'informations: www.jvonb.com
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