Première mondiale Des tortues rarissimes à voir au zoo de Bâle 

Le zoo de Bâle devient le premier parc zoologique au monde à détenir des tortues homopodes de Boulenger. Ses visiteurs peuvent désormais y découvrir huit de ces petites tortues en voie de disparition dans leur milieu naturel sud-africain.

Tortues homopodes rarissimes au zoo de Bâle en première mondiale - Gallery

Les homopodes de Boulenger sont fortement menacés de disparition. Dans leur milieu naturel sud-africain, on n'en comptait plus que 24 individus, leur espace de vie ayant été détruit par les humains.

Photo: ATS

Après qu'une fondation néerlandaise a réussi à faire se reproduire en captivité des homopodes de Boulenger en première mondiale, le zoo de Bâle détient désormais huit individus issus de cette reproduction. Il est le premier parc zoologique à la faire.

Photo: ATS

Tortues homopodes rarissimes au zoo de Bâle en première mondiale - Gallery

Les homopodes de Boulenger sont fortement menacés de disparition. Dans leur milieu naturel sud-africain, on n'en comptait plus que 24 individus, leur espace de vie ayant été détruit par les humains.

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Après qu'une fondation néerlandaise a réussi à faire se reproduire en captivité des homopodes de Boulenger en première mondiale, le zoo de Bâle détient désormais huit individus issus de cette reproduction. Il est le premier parc zoologique à la faire.

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Entre 2000 et 2017, seuls 24 homopodes de Boulenger ont été observés dans la nature en Afrique du sud, leur espace de vie, autrefois intact, ayant été détruit par les humains, indique le zoo de Bâle mercredi. Depuis 2018, l'Union internationale pour la préservation de la nature (IUCN) considère cette espèce comme fortement menacée.

En 2019, une fondation néerlandaise engagée pour la survie de ces petites tortues plates a obtenu deux couples d'homopodes de Boulenger en provenance d'Afrique du sud. Un an plus tard, elle a réalisé une première: la reproduction de cette espèce en captivité.

Le zoo de Bâle s'est vu confier, l'an dernier, huit jeunes tortues issues de cette reproduction. Après un an d'élevage dans les coulisses du parc, il les présente en première mondiale dans son pavillon «Gamgoas».