Aperçu
Football en direct
Aperçu
Live-Tennis
Tournois
Résultats
Aperçu
Hockey sur glace en direct
Résultats et tableau
Aperçu
Live Motorsport
Courses et classements
Aperçu
Sports d'hiver en direct
Résultats et classements FIS
Résultats et classements IBU
- Foot
- Super League
- Challenge League
- Champions League
- Bundesliga
- Premier League
- Serie A
- LaLiga
- Ligue 1
- Europa League
- Conference League
Cinéma La future loi mettrait les plateformes de streaming à égalité
Les plateformes de streaming, comme Netflix ou Amazone Prime, doivent aussi investir dans la production indigène. Comme le font déjà les fournisseurs suisses. Un comité interpartis a présenté jeudi ses arguments pour la loi sur le cinéma.

Les plateformes de streaming internationales gagnent beaucoup d'argent en Suisse. Or elles investissent principalement dans des productions étrangères, critique le comité constitué de représentants de tous les grands partis à l'exception de l'UDC. La branche cinématographique suisse fait face à un désavantage concurrentiel.
«Avec la nouvelle loi sur le cinéma, la Suisse se met au même niveau que ses voisins et crée de bonnes conditions pour la production de films et séries nationaux», a souligné Melanie Mettler (PVL/BE). Pour Andrea Gmür (Centre/LU), la loi introduit un concept «équitable et juste».
Les plateformes en ligne devront verser chaque année au moins 4% de leur chiffre d'affaires brut à l'industrie cinématographique helvétique. Leur offre n'en sera que plus diversifiée, et les spectateurs en profiteront, aux yeux des défenseurs de la loi.
La Suisse s'alignerait en outre sur ses voisins, notent-ils. Presque tous les pays d'Europe de l'Ouest obligent les fournisseurs étrangers d'investir une partie de leurs revenus dans la production indigène.
Le référendum a été lancé par les jeunesses de droite. Elles dénoncent une loi qui «passe complètement à côté des besoins et des demandes des consommateurs». Le peuple tranchera le 15 mai.
gd, ats