Affaires non classéesLa police suisse recherche encore ces criminels
dpa
19.10.2018
La police recherche encore ces criminels
La police cantonale de Bâle recherche ce braqueur de station-service depuis novembre 2017.
Photo: Kapo Basel
Dans la nuit du 19 au 20 mars 2010, un apprenti jardinier zurichois de 17 ans a été assassiné devant un club branché du 5e arrondissement de Zurich. Cette affaire n'a pas encore été résolue. Sur la photo, on peut voir l'auteur présumé des faits.
Photo: Kapo Zürich
Cela fait trois ans que la police cantonale de Saint-Gall est à la recherche du détenu en fuite Pajtim Haziraj.
Photo: Kapo St. Gallen
La police recherche ce braqueur, qui a attaqué une station-service située sur la route vers Bulle (Fribourg), depuis novembre 2017.
Photo: Kapo FR
À Berne, cela fait 15 ans que la police recherche le meurtrier de l'Albanais du Kosovo Imri Djeledini, retrouvé assassiné dans l'Altisbergwald, à Kräiligen (Berne), en 2003.
Photo: www.police.be.ch
Le 19 avril 2017, au cours du braquage d'un magasin au sein duquel se trouvaient deux employés, un homme armé et cagoulé s'est emparé de plusieurs centaines de francs en liquide. Personne n'a été blessé.
Photo: Kapo Zürich
Cet homme armé, qui a dérobé plusieurs centaines de francs au cours d'un braquage perpétré à la gare de Bülach le 3 mars 2017, est également activement recherché.
Photo: Kapo Zürich
Le 24 octobre 2017, cet inconnu a attaqué une agence bancaire Raiffeisen dans le quartier bernois de Bümpliz.
Photo: Kapo Bern
La police recherche encore ces criminels
La police cantonale de Bâle recherche ce braqueur de station-service depuis novembre 2017.
Photo: Kapo Basel
Dans la nuit du 19 au 20 mars 2010, un apprenti jardinier zurichois de 17 ans a été assassiné devant un club branché du 5e arrondissement de Zurich. Cette affaire n'a pas encore été résolue. Sur la photo, on peut voir l'auteur présumé des faits.
Photo: Kapo Zürich
Cela fait trois ans que la police cantonale de Saint-Gall est à la recherche du détenu en fuite Pajtim Haziraj.
Photo: Kapo St. Gallen
La police recherche ce braqueur, qui a attaqué une station-service située sur la route vers Bulle (Fribourg), depuis novembre 2017.
Photo: Kapo FR
À Berne, cela fait 15 ans que la police recherche le meurtrier de l'Albanais du Kosovo Imri Djeledini, retrouvé assassiné dans l'Altisbergwald, à Kräiligen (Berne), en 2003.
Photo: www.police.be.ch
Le 19 avril 2017, au cours du braquage d'un magasin au sein duquel se trouvaient deux employés, un homme armé et cagoulé s'est emparé de plusieurs centaines de francs en liquide. Personne n'a été blessé.
Photo: Kapo Zürich
Cet homme armé, qui a dérobé plusieurs centaines de francs au cours d'un braquage perpétré à la gare de Bülach le 3 mars 2017, est également activement recherché.
Photo: Kapo Zürich
Le 24 octobre 2017, cet inconnu a attaqué une agence bancaire Raiffeisen dans le quartier bernois de Bümpliz.
Photo: Kapo Bern
Aux États-Unis, les criminels en fuite les plus recherchés de la police fédérale du FBI figurent sur la liste «Most Wanted». Mais il y a également des fugitifs en Suisse. Bluewin vous dévoile quelles affaires donnent du fil à retordre à la police depuis plusieurs années.
Dans la nuit du 19 au 20 mars 2010, un apprenti jardinier zurichois de 17 ans a été assassiné devant un club branché du 5e arrondissement de Zurich. Cette affaire n'a pas encore été résolue. La victime a probablement été poignardée – aujourd'hui, plus de huit ans après les faits, l'auteur de ce crime est toujours activement recherché.
D'après la police, il conduisait «un vélo noir loin de passer inaperçu, un beach cruiser doté d'un cadre aux formes arrondies». Le suspect est de «type latino, s'exprime dans un très mauvais allemand, a les dents abîmées et les cheveux foncés». On ne le voit que sur une vidéo en noir et blanc un peu floue issue d'une caméra de surveillance. Il n'a pas encore été arrêté.
En Suisse, nombreuses sont les affaires comme celles-ci à tenir la population en haleine. Bon nombre de crimes irrésolus figurent sur les listes des personnes recherchées de la police cantonale. Il s'agit le plus souvent de braquages, plus rarement de meurtres. Les témoins sont appelés à se manifester et se voient parfois même offrir une récompense. Dans le cas du meurtre de l'adolescent de 17 ans, celle-ci s'élève à 10'000 francs.
Quadruple meurtre et assassinat d'un père de famille
La police de Berne promet même le double à toute personne en mesure de fournir des informations sur un crime spectaculaire survenu il y a 20 ans, une affaire qui n'a pas encore été complètement tirée au clair. Le soir du 27 juillet 1998, quatre personnes ont été abattues devant l'ancien tea-room «Safari». Quatre personnes auraient participé à ce crime particulièrement brutal – il a fallu attendre 2012 pour qu'un des suspects en fuite soit finalement arrêté en Turquie. Il a été condamné à la prison à perpétuité à Istanbul, mais refuse de s'exprimer sur les circonstances de ce quadruple meurtre. Quant à ses trois complices, ils courent toujours.
Toujours à Berne, cela fait 15 ans que la police recherche le meurtrier de l'Albanais du Kosovo Imri Djeledini, retrouvé assassiné dans l'Altisbergwald, à Kräiligen (Berne), en 2003. D'après la police, ce père de famille, âgé de 35 ans à l'époque, était le «copropriétaire d'une firme d'armement et était très connu dans le milieu des ferrailleurs». Malgré une enquête approfondie au sein du cercle de connaissances de la victime, un passage par l'émission «Aktenzeichen XY» et la promesse d'une récompense de 10'000 francs, la police n'a pas encore réussi à identifier l'auteur des faits.
Recherche de braqueurs
Si les caméras de surveillance permettent souvent d'appréhender les auteurs de braquages, les recherches peuvent également s'éterniser dans certains cas. Ainsi, cela fait quatre ans que la police zurichoise recherche un braqueur armé qui a tenté d'attaquer une station-service d'Adlikon, à Andelfingen, en août 2014. L'homme cagoulé n'a pas pris d'argent, n'a blessé personne et n'a pas encore pu être retrouvé, malgré la promesse d'une récompense de 5000 francs. Les shops de stations-service semblent particulièrement appréciés des malfrats: cela fait près d'un an qu'à Pratteln (Bâle-Campagne), la police recherche également un braqueur qui a pris la fuite pied avec un butin de plusieurs centaines de francs.
Cela fait déjà plus de trois ans que la police de Zurich recherche un braqueur qui a attaqué une agence bancaire du quartier zurichois de Wollishofen en mars 2015 et pris la fuite avec un butin de plusieurs centaines de francs. D'après l'enquête, le Zurichois âgé entre 23 et 35 ans parlait en dialecte, était en possession d'une arme de poing et a mis l'argent dérobé dans un sac en plastique jaune. Une récompense de 5000 euros est promise à toute personne en mesure de fournir des informations utiles sur cet inconnu.
Parfois, la police recherche également des criminels qui ont déjà été arrêtés: ainsi, cela fait trois ans que la police cantonale de Saint-Gall est à la recherche du détenu en fuite Pajtim Haziraj, qui se trouvait déjà en exécution anticipée de peine pour «vol par métier et en bande». En 2015, au bout de quelques mois de détention, il a réussi à s'échapper d'un bureau du ministère public au cours d'un interrogatoire. Il est parvenu à se défaire de ses liens aux chevilles et a pris la fuite à pied. Malgré l'organisation immédiate de recherches, la police n'a toujours pas retrouvé sa trace.
Pas de classement, mais des récompenses élevées
Les avis de recherche publics portent également leurs fruits dans d'autres pays. Alors que les États-Unis ont établi un classement, l'Office fédéral de police criminelle (BKA) en Allemagne a mis en ligne une liste sans classement – elle est notamment en quête d'informations sur le meurtrier et fugitif Norman Franz, recherché depuis plus de 20 ans. Sont recherchés des criminels et des personnes disparues – mais également des témoins de meurtres et des personnes détenant des informations sur l'identité des victimes.
Les enquêteurs renvoient à des statistiques publiées par la ZDF à l'occasion des 50 ans de l'émission télévisée «Aktenzeichen XY... ungelöst». Il en ressort que l'émission serait associée à un taux d'élucidation de près de 40 pour cent. D'après le BKA, les avis de recherche publics peuvent aider la police de multiples façons: quand ils n'incitent pas des témoins à divulguer des informations importantes, ils peuvent amener un criminel à commettre une faute – ou la pression étant forte, à se rendre de lui-même. L'empathie suscitée par ces appels constituerait également un facteur clé de réussite. Ainsi, les enfants victimes d'abus sexuels, par exemple, génèrent chez la population un sentiment de compassion particulièrement fort.
«Cela suscite donc un important intérêt médiatique et entraîne une multiplication des avis de recherche», a rapporté le BKA. Depuis 2017, la police a eu recours aux avis de recherche publics dans des affaires d'abus à trois reprises. Dans chacune de ces affaires, la police a pu identifier un suspect dans les 24 heures. Parfois, des affaires remontant à plusieurs années peuvent encore être résolues avec l'aide de la population, comme a pu le constater le BKA.
Même si des membres présumés de l'ancienne Fraction armée rouge (RAF) ou des personnes ayant commis des crimes au nom du Parti national-socialiste souterrain figurent dans la liste des personnes recherchées, l'Office fédéral de police criminelle n'utilise pas de classement à la «Most Wanted» comme la police américaine du FBI. Cependant, les récompenses sont parfois très alléchantes: la somme de 80'000 euros est par exemple promise à toute personne en mesure de fournir des informations sur l'ancien trio de la RAF composé de Daniela Klette, Ernst-Volker Staub et Burkhard Garweg.
Le logement de Bruno Zwahlen à Kehrsatz (Berne), dans le congélateur duquel a été retrouvé le cadavre de sa femme au début du mois d'août 1985. Cliché pris en avril 1993.
Photo: Keystone
Portrait de Christine Zwahlen, assassinée à l'été 1985.
Photo: Keystone
Bruno Zwahlen, incarcéré pour le meurtre de sa femme. Cliché pris le 17 avril 1991 dans la cour de la prison de Thorberg, à Krauchtal (Berne).
Photo: Keystone
Thorberg, à Krauchtal (Berne), 1991.
Photo: Keystone
Libéré de prison, Bruno Zwahlen répond aux questions des journalistes au cours d'une conférence de presse. Cliché pris le 20 avril 1991.
Photo: Keystone
Bruno Zwahlen, à gauche, discute avec Verena Sala, de l'association «Justice pour Bruno Zwahlen». Cliché pris durant la conférence de presse du 20 avril 1991.
Photo: Keystone
Devant les médias, 20 avril 1991.
Photo: Keystone
Le 29 mai 1993, Bruno Zwahlen quitte la Cour suprême du canton de Berne après son acquittement.
Photo: Keystone
Bruno Zwahlen, au centre, photographié en compagnie de Peter Saluz, à gauche, et d'Eva Saluz, à droite, le 1er juin 1993. Bruno Zwahlen a été acquitté le 29 mai 1993.
Photo: Keystone
La Cour de cassation de la Cour suprême du canton de Berne a rejeté la demande de reprise de la procédure contre Bruno Zwahlen introduite par le procureur bernois Heinz W. Mathis en janvier 1996 en raison de prétendues «nouvelles informations sur l'arme du crime».
Photo: Keystone
Bruno Zwahlen reste donc un homme libre et le meurtre de son épouse, commis à l'époque plus de 12 ans auparavant, reste inexpliqué.
Photo: Keystone
Suivi de journalistes, Bruno Zwahlen pénètre dans les bâtiments de la Cour suprême du canton de Berne, où va reprendre le procès dans le cadre du meurtre de Kehrsatz, commis en 1985. Cliché pris le 14 avril 1993.
Photo: Keystone
L'affaire Bruno Zwahlen (image d'archive de 1993) entre dans une nouvelle phase. Le 2 juin 1997, un sellier de Kehrsatz doit répondre de ses actes devant le tribunal d'arrondissement de Berne-Laupen. Il est accusé d'avoir fait de fausses déclarations durant le deuxième procès principal de Bruno Zwahlen.
Surnommée «The Rock», la prison de haute sécurité était considérée comme l’une des plus sûres au monde. Impossible de s’en évader, le bâtiment se trouvant sur un îlot rocheux au large de San Francisco. L’établissement a accueilli les premiers prisonniers en 1934. (Image d'archive du 1er juin 1973)
Photo: Keystone
L’île fut nommée ainsi car elle servait de refuge à de nombreux pélicans (Alcatraz en espagnol). (Image d'archive du 15 octobre 2010)
Photo: Keystone
Derrière les murs d’Alcatraz, les prisonniers vivaient dans des conditions déplorables, ils étaient maltraités et torturés. (Image d'archive du 27 avril 2007)
Photo: Keystone
Les 336 minuscules cellules étaient réservées aux grands criminels comme Al Capone ou Whitey Bulger. (Image d'archive du 1er juin 1973)
Photo: Keystone
Durant les 29 années de fonctionnement de la prison, 36 personnes ont tenté de s’évader par les eaux glacées de la baie de San Francisco. 33 ont été rattrapées ou ont péri noyées ou sous les balles. (Photo d’archive: des participants au triathlon s’affrontent dans la baie de San Francisco le 1er juin 1997).
Photo: Keystone
Seul le sort de John et Clarence Anglin et de Frank Morris, évadés en juin 1962, n’a jamais été éclairci. (Image d'archive du 28 décembre 1967)
Photo: Keystone
Pendant des mois, ils ont peaufiné leur plan d’évasion. À l’aide de cuillères volées à la cantine, ils ont creusé petit à petit les murs épais de leur cellule et confectionné un radeau de fortune à l’aide d’imperméables. (Photo d’archive du 10 février 1978: des agents du FBI montrent des objets utilisés pour leur fuite. Au premier plan, on peut voir des rames bricolées par les fugitifs.)
Photo: Keystone
Sur leurs lits, on a retrouvé des têtes en papier mâché d’un réalisme saisissant, fabriquées à partir de papier toilette et de vrais cheveux. (Photo d’archive du 10 février 1978: le FBI montre les fausses têtes bricolées par les détenus)
Photo: Keystone
Finalement, ils ont réussi à sortir de la prison et à sauter à l’eau, et on ne les a jamais revus. (Image d'archive du 24 avril 2007)
Photo: Keystone
Depuis, de nombreuses rumeurs ont circulé concernant les trois évadés. La prison d’Alcatraz a fermé ses portes en 1963, mais l’histoire fascine toujours autant la population. (Image d'archive du 10 juin 2008)
Plus de 130'000 signatures pour l'initiative sur la neutralité
La neutralité doit rester au coeur de la politique étrangère, intérieure et de sécurité de la Suisse. Pro Suisse et l'UDC ont déposé jeudi 132'780 signatures à la Chancellerie fédérale pour leur initiative populaire sur la neutralité. Le texte «Sauvegarder la neutralité de la Suisse» qualifie la neutralité helvétique de perpétuelle et armée. La Suisse ne doit adhérer à aucune alliance militaire ou de défense. La collaboration avec de telles organisations doit être limitée au cas où la Suisse serait attaquée.
11.04.2024
Le MPC réclame des '"instruments modernes» pour pouvoir travailler
Le MPC a ouvert plus de procédures pénales en 2023 qu'en 2022, et beaucoup ont été réglées. Mais il ne dispose plus des ressources suffisantes pour gérer les nouvelles affaires, toujours plus complexes, a affirmé jeudi son chef, qui réclame des «instruments modernes».
11.04.2024
Une conférence sur la paix en Ukraine en juin au Bürgenstock (NW)
La Suisse organise une conférence de haut niveau sur la paix en Ukraine, qui devrait se tenir les 15 et 16 juin au Bürgenstock NW. Après des discussions exploratoires, le Conseil fédéral estime mercredi que les conditions sont réunies pour lancer un processus de paix. La conférence doit servir de plateforme de dialogue pour identifier les voies susceptibles de mener à une paix globale, juste et durable pour l'Ukraine, fondée sur le droit international et la Charte des Nations Unies. Il s'agira de développer une compréhension commune parmi les Etats participants concernant la voie à suivre puis de déboucher sur une feuille de route concrète pour la participation de la Russie au processus de paix. Le Conseil fédéral se dit conscient qu'il existe encore quelques inconnues d'ici juin, mais il estime qu'il est de sa responsabilité de contribuer au processus de paix, au vu de la longue tradition diplomatique suisse. Il tient compte aussi des discussions exploratoires menées depuis janvier. L’idée recueille une adhé
10.04.2024
Le Conseil fédéral rejette les initiatives pour réduire les primes
C'est non, non et encore non: le Conseil fédéral recommande de rejeter les trois initiatives soumises au peuple le 9 juin. Il entend plutôt lutter contre la charge croissante des primes d'assurance-maladie par le biais de deux projets de loi adoptés par le Parlement. Le Conseil fédéral estime que l'initiative populaire «Maximum 10% du revenu pour les primes d'assurance-maladie (initiative d'allègement des primes)» du PS doit être rejetée, notamment parce que les subsides devraient être majoritairement pris en charge par la Confédération. De plus, l'initiative ne contient aucune incitation directe à freiner les coûts de la santé. Le Conseil fédéral préfère le contre-projet indirect du Parlement, plus avantageux, a fait savoir le gouvernement vendredi. Celui-ci lie le montant des réductions de primes qu'un canton doit payer à ses coûts de la santé. Le Conseil fédéral dit non aussi à l'initiative populaire «Pour des primes pfrein auxlus basses. Frein aux coûts dans le système de santé (initiative pour un frein a
05.04.2024
Immigration – Initiative UDC pour limiter l'immigration déposée
Le peuple votera sur l'initiative populaire «Pas de Suisse à 10 millions!». L'UDC a déposé mercredi à la Chancellerie fédérale 114'600 signatures réclamant un contrôle strict de l'immigration. D'ici à 2050, la Suisse ne doit pas compter plus de 10 millions d'habitants. Le Conseil fédéral et le Parlement devront prendre des mesures dès que la population résidante permanente dépasse les 9,5 millions, exige le texte. Si besoin, Berne devra résilier l'accord sur la libre circulation des personnes avec l'UE. Neuf mois ont suffi pour récolter les signatures nécessaires.
03.04.2024
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