Formation du groupe «drones» de la protection civile du canton d'Appenzell Rhodes-Extérieures. Cliché pris le mercredi 19 septembre 2018 à Teufen.
La protection civile du canton d'Appenzell Rhodes-Extérieures est l'une des premières organisations de protection civile de Suisse à disposer d'un tel groupe.
Actuellement, huit membres de la protection civile y reçoivent une formation professionnelle en pilotage de drones.
«Matrice 200», un drone de près de quatre kilos, trône sur le site de la protection civile du canton d'Appenzell Rhodes-Extérieures, à Teufen (AR), tel un gros insecte noir.
Trio de choc: le pilote, le caméraman et l'opérateur radio se préparent pour l'exercice. Une fois les vérifications de mise effectuées, le drone est «ready to fly».
Sous les yeux de l'instructeur Ueli Sager, le drone à quatre rotors prend de l'altitude et se dirige vers le lieu du «sinistre», composé pour l'occasion d'une maison partiellement détruite et d'éboulis.
Le soleil brille et la caméra orientable fixée au drone délivre des images d'une grande netteté au caméraman.
Les drones peuvent également voler de nuit et par temps de pluie. Seuls le brouillard épais, la grêle et le vent fort peuvent rendre toute intervention impossible.
Le canton d'Appenzell Rhodes-Extérieures fait partie des premiers cantons à disposer d'un groupe de protection civile entièrement dédié aux drones. Il devrait être opérationnel d'ici début 2019.
La «flotte» se compose du grand drone noir Matrice, d'un appareil blanc de plus petite taille, de divers équipements et d'un coffre de rangement. Prix: environ 15'000 francs.
La protection civile mise sur les drones et forme des pilotes à leur utilisation
Formation du groupe «drones» de la protection civile du canton d'Appenzell Rhodes-Extérieures. Cliché pris le mercredi 19 septembre 2018 à Teufen.
La protection civile du canton d'Appenzell Rhodes-Extérieures est l'une des premières organisations de protection civile de Suisse à disposer d'un tel groupe.
Actuellement, huit membres de la protection civile y reçoivent une formation professionnelle en pilotage de drones.
«Matrice 200», un drone de près de quatre kilos, trône sur le site de la protection civile du canton d'Appenzell Rhodes-Extérieures, à Teufen (AR), tel un gros insecte noir.
Trio de choc: le pilote, le caméraman et l'opérateur radio se préparent pour l'exercice. Une fois les vérifications de mise effectuées, le drone est «ready to fly».
Sous les yeux de l'instructeur Ueli Sager, le drone à quatre rotors prend de l'altitude et se dirige vers le lieu du «sinistre», composé pour l'occasion d'une maison partiellement détruite et d'éboulis.
Le soleil brille et la caméra orientable fixée au drone délivre des images d'une grande netteté au caméraman.
Les drones peuvent également voler de nuit et par temps de pluie. Seuls le brouillard épais, la grêle et le vent fort peuvent rendre toute intervention impossible.
Le canton d'Appenzell Rhodes-Extérieures fait partie des premiers cantons à disposer d'un groupe de protection civile entièrement dédié aux drones. Il devrait être opérationnel d'ici début 2019.
La «flotte» se compose du grand drone noir Matrice, d'un appareil blanc de plus petite taille, de divers équipements et d'un coffre de rangement. Prix: environ 15'000 francs.
Pour pouvoir évaluer rapidement la situation depuis les airs en cas de catastrophes, de plus en plus d'organisations de protection civile misent sur les drones. Dans le canton d'Appenzell Rhodes-Extérieures, huit membres de la protection civile sont actuellement formés au pilotage de drones.
«Matrice 200», un drone de près de quatre kilos, trône sur le site de la protection civile du canton d'Appenzell Rhodes-Extérieures, à Teufen (AR), tel un gros insecte noir. Le pilote, le caméraman et l'opérateur radio se préparent pour l'exercice. Une fois les vérifications de mise effectuées, le drone est «ready to fly».
Sous les yeux de l'instructeur Ueli Sager, le drone à quatre rotors prend de l'altitude et se dirige vers le lieu du «sinistre», composé pour l'occasion d'une maison partiellement détruite et d'éboulis. Le soleil brille et la caméra orientable fixée au drone délivre des images d'une grande netteté au caméraman.
Même de nuit et par temps de pluie
«Ce dont nous avons besoin, c'est d'images et de vidéos de bonne qualité, même par mauvais temps», explique Samuel Signer, commandant de la protection civile du canton d'Appenzell Rhodes-Extérieures. Les drones peuvent également voler de nuit et par temps de pluie. Seuls le brouillard épais, la grêle et le vent fort peuvent rendre toute intervention impossible.
Le canton d'Appenzell Rhodes-Extérieures fait partie des premiers cantons à disposer d'un groupe de protection civile entièrement dédié aux drones. Il devrait être opérationnel d'ici début 2019. La «flotte» se compose du grand drone noir Matrice, d'un appareil blanc de plus petite taille, de divers équipements et d'un coffre de rangement. Prix: environ 15'000 francs.
Pendant une semaine, six membres de la protection civile du canton d'Appenzell Rhodes-Extérieures ainsi que deux collègues du canton de Nidwald vont être formés au pilotage de drones. Au programme, beaucoup de théorie – droit aérien, météorologie, pilotage, aérodynamique ou encore technique de navigation aérienne – ainsi qu'une formation pratique. Même le comportement humain en situation de stress sera abordé.
Mieux qu'un hélicoptère
À la fin de la semaine, les huit participants passeront l'examen «Due» de la Fédération Suisse des Drones Civils (FSDC), qui attestera de leurs compétences professionnelles. L'instructeur Ueli Sager, président de la FSDC, est lui-même un professionnel du domaine. Sa société, Remote Vision, propose aux secteurs de l'agriculture et de l'industrie de recourir aux drones.
Ueli Sager explique qu'en cas de catastrophes, notamment de glissements de terrain, d'inondations, de crues ou d'incendies, où il existe un risque élevé d'effondrement, les drones peuvent permettre à la protection civile d'évaluer la situation rapidement et sans danger. Les caméras délivrent des images en haute résolution.
Jusqu'à présent, ce sont souvent des hélicoptères qui intervenaient dans de telles situations. Cependant, ces derniers sont beaucoup plus chers et dépendants de la météo que les drones. À l'avenir, les pilotes de drones de la protection civile devront chaque année rafraîchir leurs connaissances dans le cadre de cours de recyclage et d'exercices pratiques.
Quelque 170 professionnels licenciés
Le «job» de pilote de drones jouit d'une grande popularité auprès des personnes servant dans la protection civile. Les pilotes passent une évaluation et sont sélectionnés parmi 15 candidats. Comme la licence «Due» leur offre également des avantages sur le plan privé, ils doivent débourser eux-mêmes les 200 francs que coûte la formation. D'après Ueli Sager, seules 170 personnes détiennent cette licence en Suisse.
À titre de comparaison, quelque 100'000 drones ont déjà été vendus en Suisse. D'après l'instructeur de pilotage, on ne sait pas combien d'entre eux survolent effectivement les champs, les villages et les villes. Pour l'instant, leur utilisation reste peu réglementée. D'ailleurs, nombreux seraient les pilotes de drones amateurs à ne pas disposer de connaissances suffisantes.
Les plus gros échecs de la CIA
Les plus gros échecs de la CIA
La CIA dispose de bien moins de moyens que le FBI ou la NSA, mais l'agence fédérale américaine jouit d'une notoriété internationale, qu'il ne faut toutefois pas confondre avec de la popularité.
La mise à feu de la première bombe nucléaire soviétique sur l'archipel russe de Nouvelle-Zemble le 29 août 1949 a eu l'effet d'une douche froide sur l'agence de renseignements. La CIA ne savait rien de l'agenda nucléaire de son principal adversaire, ni des actions de divulgation menées par plusieurs des collaborateurs du programme d'armement nucléaire américain.
En avril 1961, la tentative d'invasion militaire de Cuba (débarquement de la baie des Cochons), menée avec le soutien discret de la CIA, s'est terminée de façon humiliante pour les États-Unis. Des centaines de Cubains anticommunistes en exil ont perdu la vie, et un nombre encore plus important de combattants a été capturé. Les journaux avaient déjà commencé à parler de cette troupe d'invasion hétéroclite des mois avant l'attaque. Le président américain John F. Kennedy, qui était alors au pouvoir depuis peu, a dû assumer toute la responsabilité de cet échec.
Cette défaite a rendu le recueil d'informations à Cuba presque impossible pour la CIA. C'est donc un peu par hasard que le 15 octobre 1962, un avion d'espionnage a découvert que des missiles soviétiques à moyenne portée avec ogives nucléaires étaient stationnés sur l'île communiste des Caraïbes. La crise de Cuba qui en a résulté a failli déclencher une nouvelle guerre mondiale entre les deux superpuissances, une guerre qui aurait alors pu être menée avec des armes nucléaires.
Alors que la CIA était au courant du déploiement de troupes égyptiennes et syriennes contre Israël, elle s'est fait surprendre par l'éclatement soudain de la guerre du Kippour en octobre 1973. Les analystes de Langley ne s'attendaient manifestement pas à une attaque immédiate. Cependant, l'agence de renseignement israélienne du Mossad n'avait elle non plus pas bien interprété les signes. Durant cette prise d'armes, les forces armées arabes ont pu enregistrer pas mal de succès psychologiques et faire 340 prisonniers de guerre israéliens.
Face à la Révolution iranienne de 1979, la succursale de la CIA basée à Téhéran a d'abord réussi à maintenir le régime du Shah perse pendant quelques mois encore, mais l'Ayatollah est finalement parvenu à renverser le dirigeant. Les États-Unis ont ensuite été diabolisés par Khomeiny.
En dépit de cette hostilité officielle, le chef de la CIA William J. Casey, qui marche ici à côté du président américain Ronald Reagan, a joué un rôle clé dans l'affaire Iran-Contra de 1985-1986. Dans le cadre de ce scandale politique, des recettes issues de la vente secrète d'armes à l'Iran ont été reversées au mouvement de guérilla des Contras, au Nicaragua. En raison de son mauvais état de santé, William J. Casey a échappé à une condamnation et est décédé en 1987 des suites d'une tumeur au cerveau.
La CIA ne s'attendait pas non plus à la chute du mur de Berlin en novembre 1989, qui a signé la disparition de la RDA. Cependant, comme c'est un malentendu du bureau politique et la réaction spontanée des habitants de Berlin-Est qui ont conduit à la prise d'assaut du poste-frontière de la ville divisée, l'agence de renseignement n'a pas été inquiétée.
Avant le 11 septembre 2001, de nombreux avertissements précis mettant en garde contre une possible attaque du groupe terroriste Al-Qaïda étaient parvenus aux autorités américaines. Cependant, il y a eu un manque d'échange d'informations entre la CIA et le FBI, et l'administration Bush s'est comportée de façon passive. Suite à cet échec, les directives d'intervention de la CIA ont été modifiées en profondeur.
Le gouvernement Bush voulait peut-être à tout prix la guerre contre Saddam Hussein, mais la CIA a également joué un rôle peu glorieux dans le rassemblement de présumés arguments en faveur d'une intervention militaire en Irak en 2002/2003. Les éléments prouvant l’utilisation d’armes de destruction massive et de laboratoires mobiles étaient en réalité faux.
La CIA considère la découverte de l'«Operation Gold» comme un triomphe et non comme une défaite. À partir de 1955, dans le cadre d'une opération d'espionnage menée en collaboration avec le «Secret Intelligence Service» britannique, elle s'était attelée à mettre des lignes téléphoniques sur écoute et à éplucher les conversations de l'Armée rouge au moyen d'un tunnel creusé sous la frontière intérieure allemande. Le tunnel a seulement été découvert après onze mois. À Langley, on peut voir une réplique de cette structure d'espionnage particulièrement coûteuse.
Avions de légende
L'Antonov An-225 "Mriya" est, actuellement, l'un des plus gros avion du monde en usage. L'An-225 peut transporter jusqu'à 250 tonnes de fret et a une portée de 2 500 km. Les besoins mondiaux de ce type de service de transport sont très faibles, l'An-225, reste donc la plupart du temps dans un hangar.
Le grand McDonnell Douglas MD-11, à cause de son moteur intégré dans la queue arrière, a une silhouette particulière. Il a été produit en petites quantités entre 1990 et 2000. Sur un total de 200, 167 exemplaires volent encore aujourd'hui mais presque exclusivement dans les services de fret. Swissair était un des premiers clients. Mais, avec le MD-11, la compagnie a aussi connu la pire catastrophe de son histoire: l'écrasement du vol 111 d'Halifax, au Canada, dans lequel 229 personnes ont perdu la vie.
Mis en service en janvier 1970, le modèle 747 "Jumbo Jet" du constructeur américain Boeing a été un best-seller international. Toutefois, la dernière variante, le 747-8 (photo), ne se vend que lentement, et certaines personnes se demandent si le "jumbo", tout comme les vieux dinosaures, n'est pas voué à l'extinction.
Parmi les jets pour courts et moyens-courriers, le Boeing 737 a joué un rôle de premier plan. La production de masse de ce type d'avion a commencé en 1967 et continue à ce jour. Globalement, Boeing a reçu, en octobre 2013, 11 275 commandes, dont 7 789 ont été honorées à ce jour. Le plus grand concurrent de la famille 737 est l'Airbus A320. En 1977, des terroristes ont détourné un 737 mais trois jours après son admission à Mogadiscio, en Somalie, l'avion a été pris d'assaut par les troupes d'élite allemandes GSG-9 qui ont libéré tous les otages sains et saufs.
Le Convair 990 "Coronado" était en son temps l'avion commercial le plus rapide au monde. Il a volé de 1961 à 1987, principalement pour American Airlines, mais aussi pour d'autres entreprises, dont Swissair. La photo montre un Convair 990A de Swissair acquis en 1962. En 2007, il a reçu une place d'honneur au Musée des Transports.
Le biplace McDonnell Douglas F-4 "Phantom II" a volé 36 ans, de 1960 à 1996, pour l'US Air Force et l'US Marine Corps. Dans certains pays, dont la Corée du Sud, la Turquie et l'Iran, il est encore en service. L'Allemagne a mis à la retraite son dernier "Phantom II" en juin de cette année. L'avion a été utilisé comme un chasseur et comme bombardier pendant la guerre du Vietnam et a joué un rôle de premier plan dans ces deux fonctions. Le F-4 a été remplacé par le F-14 (Tomcat), le F-15 (Eagle), le F-16 (Fighting Falcon) et le F/A-18 (Hornet).
L'acquisition du Lockheed F-104 "Starfighter" pour l'armée de l'air allemande fut un désastre. Après, un scandale de corruption concernant l'achat de l'avion, une série d'accidents dans les années 1960 a jeté le discrédit sur le "Starfighter". En Allemagne, il a même été surnommé "Fighter cercueil". Toutefois, le F-104 est resté en service dans plusieurs pays de l'OTAN durant une longue période. En 2004, l'Italie est le dernier pays avoir fait prendre sa retraite à un appareil de ce type.
Les bombardiers lourds Boeing B-52 "Stratofortress" ont été développés par l'US Air Force à la fin des années 1940 comme véhicule pour les armes nucléaires et mis en service en 1955.
Le Lockheed U-2 "Dragon Lady" de 1955 était, pour les Américains, un avion de reconnaissance, qui opérait à une hauteur de 20 km et devait surveiller en particulier la région du "Pacte de Varsovie".
Le Mikoyan-Gurevich Mig 21 soviétique est apparu en 1959 et représentait la première livraison de plus de 50 pièces par le bloc soviétique. Avec plus de 11 000 exemplaires, il est le supersonique qui a été le plus produit dans l'histoire de l'aviation.
Avec le "Comet", les Britanniques de Havilland Aircraft Company ont produit, en 1949, le premier avion de ligne du marché. Le "Comet 4" (en photo) a été le premier avion civil à réaction à traverser l'Atlantique en 1958. La particularité du "Comet" est d'avoir le moteur intégré dans son aile.
Le "Spruce Goose" a appartenu au milliardaire excentrique Howard Hughes et n'a volé qu'une seule fois, le 2 Novembre 1947, à 20 mètres de hauteur. C'est le plus grand hydravion jamais construit.
Un appareil de ligne transatlantique de collection, le Douglas DC-3, un bimoteur à hélices de la fin des années 1930, survole la rade à basse altitude à l'occasion des Fêtes de Genève, le samedi 4 août 2012.
L'un des avions les plus infâmes de l'histoire: Le B-29 Superfortress "Enola Gay", avec lequel l'US Air Force a largué la bombe atomique sur Hiroshima, au Japon, le 6 août 1945.
Le Messerschmitt Me 262 fut le premier avion à réaction. Pendant la Seconde Guerre mondiale, environ 800 machines de ce type ont été utilisées.
Le Yakovlev Yak-9 a été produit en 1942 par l'Union soviétique en grand nombre et a aidé l'Armée rouge contre les avions allemands.
Le Boeing B-17 "Flying Fortress" (Flying Fortress) a été élaboré avant la Seconde Guerre mondiale par l'armée américaine et s'est avéré être un avion extrêmement robuste. Dans une large mesure, il a été utilisé dans la campagne de bombardement contre l'Allemagne. 40% de toutes les bombes des alliés occidentaux de l'empire nazi, sont venues des soutes du B-17.
L'homologue britannique de l'américaine "forteresse volante" était le "Avro Lancaster". Ce bombardier a déchargé, pendant la deuxième guerre mondiale, au cours de 156 000 vols, plus que 618 000 tonnes de bombes principalement sur l'Allemagne.
Le "Supermarine Spitfire". Au cours de la bataille d'Angleterre, il s'est avéré être robuste et très rapide.
Tendrement surnommé "Tante Ju", le Junkers Ju 52 fait battre plus vite le cœur des amateurs d'avion depuis 1932. Initialement prévu comme un avion civil, il a rapidement été utilisé par l'armée.
Un autre membre de la famille "Ju" est le Ju 87 "Stuka", instrument parfait de terreur aérien.
À l'époque où il a vu le jour, au début des années 30, l'hydravion Dornier Do X, construit dans la ville saint-galloise de Altenrhein, faisait de l'ombre à tous les autres engins volants motorisés. Il était alors considéré comme l'hydravion le plus gros, le plus lourd et le plus puissant du monde. Seul le Tupolev ANT-20 «Maxime Gorki» était en mesure de lui subtiliser le titre de «plus gros avion du monde». La raison pour laquelle l'hydravion a été construit à Altenrhein est de nature politique: dans le cadre du traité de Versailles conclu après la Première Guerre mondiale, l'empire allemand a reçu l'interdiction de construire des avions de cette taille, ce qui a poussé bon nombre de fabricants à délocaliser leurs activités «illicite» en Suisse.
Avec le "Spirit of St. Louis", Charles Augustus Lindbergh a réussi, en 1927, la première traversée de l'Atlantique en avion sans escale. La photo montre Lindbergh et sa machine peu de temps avant l'événement historique.
Pendant la première Guerre mondiale de 1914-18, les avions ont été utilisés comme armes de guerre pour la première fois. Du côté allemand, en particulier, Manfred Albrecht Freiherr von Richthofen était célèbre comme as de l'aviation. En raison de son type de triplan rouge vif "Fokker DR-1" a été surnommé le "Baron rouge". Richthofen est mort en 1918 quand son avion a été abattu près d'Amiens en France.
Louis Blériot s'est lancé le 25 juillet 1909. A 35 ans, il a reçu le du "Daily Mail", le prix annoncé de 1 000 livres anglaises pour le premier vol à travers la Manche.
La première machine volante entraînée par un moteur est l'oeuvre des frères Orville et Wilbur Wright. Ils l'ont conçu en décembre 1903.
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