Le printemps est une saison merveilleuse. Pour les personnes allergiques toutefois, le pollen présent en grande quantité dans l'air représente un vrai cauchemar.
La concentration de pollen est au plus bas pendant et juste après les averses. Si vous êtes allergique, c'est le moment idéal pour faire une balade.
Si votre allergie devient insupportable pendant la saison du rhume des foins, vous pouvez partir en voyage. La densité de pollen est très faible en bord de mer.
La montagne vous offrira également un abri contre les crises d'éternuements.
Si vous ouvrez vos fenêtres, faites-le en fonction des heures de dissémination des pollens. En milieu urbain, la concentration est au plus bas entre 6 h et 8 h. À la campagne, c'est entre 20 h et minuit.
Douchez-vous le soir et lavez vos cheveux sous peine de respirer des pollens qui auront atterri dans votre lit.
Prenez vos médicaments (antihistaminiques) régulièrement et assez tôt.
Prenez vos allergies au sérieux! Un tiers des personnes allergiques aux pollens développe de l'asthme au cours de leur vie.
Une désensibilisation permet une atténuation durable des symptômes (immunothérapie spécifique).
Les jours de forte concentration pollinique, nous vous conseillons de renoncer à faire du sport en extérieur.
Allez plutôt dans une piscine d'intérieur...
...ou dans une salle de sport.
Un souci particulièrement pénible: les allergies croisées. Bien souvent à cette époque de l'année, les personnes qui réagissent au bouleau et aux noisettes ne supportent pas non plus carottes, pommes ou noix.
Les pollens collent aux vêtements. Déshabillez-vous plutôt dans votre salle de bain. De cette façon, vous garderez les pollens hors de votre chambre.
10 astuces contre le rhume des foins
Le printemps est une saison merveilleuse. Pour les personnes allergiques toutefois, le pollen présent en grande quantité dans l'air représente un vrai cauchemar.
La concentration de pollen est au plus bas pendant et juste après les averses. Si vous êtes allergique, c'est le moment idéal pour faire une balade.
Si votre allergie devient insupportable pendant la saison du rhume des foins, vous pouvez partir en voyage. La densité de pollen est très faible en bord de mer.
La montagne vous offrira également un abri contre les crises d'éternuements.
Si vous ouvrez vos fenêtres, faites-le en fonction des heures de dissémination des pollens. En milieu urbain, la concentration est au plus bas entre 6 h et 8 h. À la campagne, c'est entre 20 h et minuit.
Douchez-vous le soir et lavez vos cheveux sous peine de respirer des pollens qui auront atterri dans votre lit.
Prenez vos médicaments (antihistaminiques) régulièrement et assez tôt.
Prenez vos allergies au sérieux! Un tiers des personnes allergiques aux pollens développe de l'asthme au cours de leur vie.
Une désensibilisation permet une atténuation durable des symptômes (immunothérapie spécifique).
Les jours de forte concentration pollinique, nous vous conseillons de renoncer à faire du sport en extérieur.
Allez plutôt dans une piscine d'intérieur...
...ou dans une salle de sport.
Un souci particulièrement pénible: les allergies croisées. Bien souvent à cette époque de l'année, les personnes qui réagissent au bouleau et aux noisettes ne supportent pas non plus carottes, pommes ou noix.
Les pollens collent aux vêtements. Déshabillez-vous plutôt dans votre salle de bain. De cette façon, vous garderez les pollens hors de votre chambre.
L'hiver est toujours bien visible dans le pays et pourtant le pollen fait déjà son apparition. Malgré les températures négatives de ces dernières semaines, l'embellie apporte avec elle un retour du pollen et de facto, des allergies.
C’est le noisetier qui s’est réveillé le premier de son sommeil hivernal: avec les températures qui remontent, les fleurs de noisetier vont commencer à fleurir dès ce week-end en Suisse, marquant le début de la galère pour les allergiques.
Un timing presque tardif…
Pour les personnes concernées, le retour du pollen semble un peu précoce, et n’aura pas permis de répit au sortir du verglas, du froid et des chutes de neige. Mais pour le Centre d’Allergie Suisse, c’est une arrivée plutôt tardive, autour du 8 février, qui risque toutefois de connaître un développement modéré à important de propagation du pollen dans l’air. Selon Regula Gehrig, biométéorologue de MétéoSuisse, «l’année passée, la concentration en pollens de noisetier était déjà forte en janvier. Sur le versant nord des Alpes, et plus particulièrement dans le Tessin, cette saison fait partie des saisons avec une des plus fortes floraisons jamais enregistrées», modérant toutefois son analyse pour le reste du pays, l’intensité de la propagation du pollen dépendant beaucoup de la météo des semaines à venir.
Côté météo, Météonews prévoit une hausse des températures pour le week-end des 23 et 24 février, ce qui risque d’accentuer le phénomène.
Prendre ses précautios dès à présent
Le noisetier est le premier à sonner le clairon, mais l’aulne est aussi concerné. Dès lors, comme le préconise Sereina de Zordo, conseillère au Centre d’Allergie Suisse, citée par le journal «20 minutes», «les personnes souffrant de rhume des foins devraient consulter un allergologue assez tôt afin de discuter de leur thérapie. L’allergologue prescrit généralement des antihistaminiques sous forme de gouttes, de comprimés ou de sprays».
En effet, il est très important de commencer à traiter en amont ces allergies, dès l’apparition des premiers pollens, pour éviter que la situation ne s’aggrave et mue en asthme allergique, comme le souligne la spécialiste. Dès à présent, les personnes allergiques peuvent donc prendre leurs précautions.
En effet, le dernier bulletin pollinique du 20 février 2019 prévoit pour la période allant jusqu’au 23 février une prolifération des pollens l’après-midi: «Au Nord des Alpes, un temps ensoleillé et très doux favorise la libération du pollen de noisetier et d’aune. Les concentrations deviennent modérées, surtout chaque après-midi. Au Sud des Alpes, les concentrations de pollen de noisetier et d’aune resteront fortes, voire très fortes pour le noisetier sur le Tessin méridional.»
Observez la nature!
Cruel dilemme donc pour les personnes allergiques au pollen, qui devront choisir entre profiter de longs et agréables après-midis ensoleillés et risquer le rhume des foins à peine un pied dehors. Il faudra s’armer de patience, se prémunir en amont et surtout faire appel au sens de l’observation de la végétation.
Comme le suggère le Centre d’allergie suisse, surveiller la nature peut être un bon début pour quiconque souhaite passer entre les mailles des crises d’allergie. Il faut savoir reconnaître les chatons des arbustes et être en mesure d’évaluer leur consistance: «Les noisetiers et les aulnes réagissent très fortement aux températures. Même si les chatons de certains arbustes sont encore fermés, d’autres peuvent déjà fleurir et libérer localement leur pollen: leurs chatons sont mous, jaunâtres et s’allongent au bout des branches».
Application concrète de l’adage «mieux vaut prévenir que guérir», ce retour du beau temps s’accompagnera donc nécessairement, en Suisse, de précautions obligatoires pour profiter du retour des beaux jours.
Cap sur les antioxydants!
Les flavonoïdes, contenus dans les myrtilles entre autres, peuvent "collaborer" avec certaines bactéries du microbiote pour lutter contre le virus de la grippe et d'autres affections virales. Les myrtilles ont des vertus antioxydantes et régulent aussi le taux de sucre et le cholestérol.
La canneberge, ou cranberry en anglais, est bonne pour lutter contre les infections urinaires, la surtension artérielle et la dépression du système immunitaire. Elle aurait aussi un autre "super pouvoir": elle permettrait, en effert, de nourrir en glucide les bonnes bactéries présentent dans nos intestins.
Les baies de Goji ne font pas partie des "superfoods" pour rien: elles sont riches en vitamine A (béta-carotine), vitamine C et E. Elles contiennent aussi plus de fer que les épinards.
Les accros au chocolat peuvent se réjouir: grâce à ses flavonoïdes, le chocolat noir (!) se classe parmi les meilleurs sources d'antioxydants.
Le thé vert ou le matcha, cette fine poudre de thé vert supérieur, est connu pour être un "super aliment". Il regorge surtout de catéchine, cet antioxydant puissant qui élimine les radicaux libres. Le thé vert est un vrai allié beauté de la peau. Il combat d'un côté la rétention d'eau et favorise le déstockage et l'évacuations des lipides dans les cellules graisseuses. De l'autre, la catéchine est un puissant actif anti-âge qui aide à préserver l'élasticité de la peau et à oxygéner les cellules. Ainsi, la peau devient plus résistante à la pollution et les cellules se renouvellent plus facilement.
La vitamine A (rétinol), quant à elle, est fabriquée par le corps à partir du bêta-carotène apporté par des produits d'origine végétale. On se met donc aux carottes, abricots, mangues, légumes vert foncé, patates douces, persil et algues.
Comme le raisin, le curcuma possède lui aussi un fort pouvoir antioxydant grâce à son pigment polyphénolique, appelée la curcumine.
Les vitamine E et C se trouvent aussi dans le chou vert qui se déguste cuit ou cru, par exemple en salade.
Bonne nouvelles pour ceux qui ne peuvent pas se passer d'un petit verre de vin rouge: le vin rouge - comme le raisin - contient des tanins qui sont des antioxydants.
Les kiwis ne sont pas seulement délicieux, ils regorgent aussi beaucoup de vitamine c - 44 mg pour 100g - comme les agrumes et les fruits rouges...
La vitamine E est également un antioxydant puissant contenu dans les huiles végétales (germe de blé, argan, colza, tournesol), les fruits secs, et l'avocat, l'asperge, la tomate et le chou, la mûre et le cassis.
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