Mode & Beauté Cyclistes, évitez les grands axes pendant les heures de pointe !

CoverMedia

2.4.2019 - 17:24

22 March 2019, Berlin: A female cyclist is riding along a cycle path on a junction between two cars. Photo: Monika Skolimowska/dpa-Zentralbild/dpa

Where: Berlin, Berlin, Germany
When: 22 Mar 2019
Credit: Monika Skolimowska/picture-alliance/Cover Images
22 March 2019, Berlin: A female cyclist is riding along a cycle path on a junction between two cars. Photo: Monika Skolimowska/dpa-Zentralbild/dpa Where: Berlin, Berlin, Germany When: 22 Mar 2019 Credit: Monika Skolimowska/picture-alliance/Cover Images
Source: Monika Skolimowska/picture-allia

Des scientifiques ont mesuré les taux de carbone auxquels les cyclistes peuvent être exposés lors de leurs trajets. Il leur est suggéré d'éviter les grandes routes aux heures de pointe.

Vous allez au travail en vélo ? Essayez donc de trouver le meilleur chemin pour votre santé. En effet, des chercheurs de l'université du Surrey au Royaume-Uni, en partenariat avec l'université de Sao Paulo au Brésil et celle de Twente aux Pays-Bas, ont étudié les taux de carbone auxquels les cyclistes sont exposés lorsqu'ils pédalent sur les routes principales des grandes villes.

Les recherches se sont penchées sur Liverpool Street, à Londres, Rotterdam Station à Rotterdam, et ceux qui se dirigent vers Paulista Avenue à Sao Paulo. Les données ont ensuite été comparées avec des chemins alternatifs passant par des parcs, des quais ou d'autres endroits boisés et verts. D'après les résultats, les cyclistes feraient mieux de prendre un chemin différent le soir, lors des heures de pointe, afin d'éviter d'inhaler trop de carbone évacué par les véhicules.

« Le bon sens affirme que les cyclistes sont exposés à des niveaux dangereux de carbone, et notre étude apporte des preuves à cette idée. Elle montre que les cyclistes devraient trouver un chemin alternatif durant les heures de pointe », explique le professeur Prashant Kumar.

Les résultats ont par exemple montré que les routes à Londres et Sao Paulo exposaient les cyclistes à des degrés de carbone bien plus élevés que par les routes alternatives. A Rotterdam, cependant, les niveaux étaient les mêmes.

Les résultats ont été publiés dans le Journal of Transport Geography.

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