Mode & Beauté Il est recommandé aux femmes enceintes de dormir sur le côté

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13.10.2017 - 16:01

Pregnant woman relaxing.

When: 21 Nov 2012

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**Only for use by WENN CPS**
Pregnant woman relaxing. When: 21 Nov 2012 When: 21 Nov 2012 **Only for use by WENN CPS**
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(Cover) - FR Fitness & Wellbeing - Des chercheurs de l’Université d’Auckland ont mené une étude sur 29 femmes en bonne santé qui étaient enceintes de 34 à 38 semaines. Ils ont observé leurs positions de sommeil à l’aide d’une caméra infrarouge et le coeur du foetus avec un moniteur de fréquence cardiaque attaché à l’abdomen de la mère, qui enregistrait continuellement les battements cardiaques du bébé.

Résultat, il a été découvert que les bébés étaient seulement dans un état actif quand la maman dormait sur son côté droit ou gauche. Quand elle changeait de position pendant la nuit, par exemple en se déplaçant sur le dos au lieu du côté gauche, le bébé changeait rapidement d’état d’activité et devenait calme ou immobile. « Ce que nous avons découvert, c’est que lorsque la maman dormait sur son dos, le bébé devenait moins actif, ce qui conserve l’oxygène, a déclaré le chercheur principal, Professeur Peter Stone, dans un communiqué. Nous avons découvert que les bébés étaient seulement dans un état d’activité quand la mère dormait sur son côté droit ou gauche. »

Des études précédentes ont découvert que la position dans laquelle dort une maman avait un impact sur le risque que le bébé soit mort-né. S’allonger à plat était potentiellement dangereux, par rapport à dormir sur le côté gauche.

Les spécialistes avancent maintenant que les effets qu’ils ont vu chez les bébés en bonne santé seraient d’autant plus graves chez un foetus atteint de problèmes. « Nous suggérons qu’il existe désormais une preuve suffisante pour recommander aux mères d’éviter de dormir sur le dos à la fin de leur grossesse, pas seulement en raison des données épidémiologiques mais aussi parce que nous avons démontré que cela avait un impact clair sur le bébé », a-t-il conclu.

L’intégralité de l’étude a été publiée dans The Journal of Physiology.

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