Mode & Beauté La bière peut être bonne pour le moral

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1.12.2017 - 14:23

Visitors raise their steins in front of a festival beer tent at the Oktoberfest fun fair in Munich, Germany, 17 September 2017. Photo: Andreas Gebert/dpa

Where: Munich, Bavaria, Germany
When: 17 Sep 2017
Credit: Andreas Gebert/picture-alliance/Cover Images

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**Only for use by WENN CPS**
Visitors raise their steins in front of a festival beer tent at the Oktoberfest fun fair in Munich, Germany, 17 September 2017. Photo: Andreas Gebert/dpa Where: Munich, Bavaria, Germany When: 17 Sep 2017 Credit: Andreas Gebert/picture-alliance/Cover Images Where: Munich, Bavaria, Germany When: 17 Sep 2017 Credit: Andreas Gebert/picture-alliance/ **Only for use by WENN CPS**
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(Cover) - FR Fitness & Wellbeing - Les scientifiques de l’Université Friedrich-Alexander d’Erlangen-Nuremberg semblent avoir confirmé que la bière a le pouvoir d’égayer les humeurs, grâce à un ingrédient de l’orge maltée. Dans le cadre d’une étude, des chercheurs ont examiné 13.000 composants alimentaires afin de découvrir s’ils stimulaient le centre de récompense dans le cerveau où le récepteur de dopamine D2 se situe, faisant que les gens se sentent bien.

En utilisant, une approche de dépistage virtuel, un processus qui analyse les composants alimentaires avec une simulation à l’ordinateur plutôt que dans un laboratoire, ils ont créé une base de données pour trouver les molécules qui déclenchent le récepteur de dopamine D2. « C’était un peu une surprise qu’une substance comprise dans la bière active le récepteur de dopamine D2, surtout parce que nous ne recherchions pas spécifiquement des produits alimentaires stimulants », a expliqué la Professeur Monika Pischetsrieder.

Tout comme la dopamine, l’hordénine stimule le récepteur de dopamine D2. Toutefois, il utilise un chemin de signalisation différent, rapportent les chercheurs. Contrairement à la dopamine, l’hordénine active le récepteur seulement à l’aide de protéines G, menant potentiellement à un effet plus prolongé au centre de récompense du cerveau. Tout bien considéré, les résultats indiquent que l’hordénine pourrait bien continuer à l’effet stimulant de la bière sur le moral.

L’équipe recherche maintenant si les niveaux d’hordénine dans la bière sont suffisants pour avoir un effet considérable sur le centre de récompense. Ils ont aussi utilisé le système pour identifier quelles molécules pouvaient interagir avec le récepteur de dopamine D2. Elles pourraient être présentes dans les substances synthétiques déjà connues pour interagir avec le récepteur, comme les médicaments pour soigner Parkinson et la schizophrénie.

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