Santé, économies...Tentez le Dry January, un mois sans alcool!
Relaxnews
2.1.2019 - 18:18
Selon une étude britannique consacrée au Dry January, la pratique consistant à ne pas consommer d'alcool pendant un mois permettrait de perdre du poids, de mieux dormir, de bénéficier d'un regain d'énergie et de favoriser une réduction de sa consommation d'alcool à long-terme.
Une équipe de l'université du Sussex s'est penchée sur les adultes qui ont pris part au Dry January 2018, un événement organisé au Royaume-Uni par Alcohol Change UK.
Un premier sondage a été réalisé auprès de 2821 personnes inscrites à l'événement Dry January, au début de celui-ci. Un deuxième a été réalisé auprès de 1715 personnes la première semaine de février et le dernier, auprès de 816 participants en août.
Les résultats montrent que ceux qui ont participé au Dry January ont aussi déclaré boire moins les mois suivants, avec une consommation en baisse même au mois d'août.
Les participants ont également révélé que le nombre moyen de jours où ils avaient bu était passé de 4,3 à 3,3 jours par semaine. Le nombre d'unités d'alcool consommées par jour a également baissé de 8,6 à 7,1 et la fréquence d'ébriété est passée de 3,4 fois par mois à 2,1 fois par mois en moyenne.
Economies et accomplissement personnel
Parmi les autres bienfaits du Dry January, on peut rapporter un sens de l'accomplissement personnel, rapporté par 93% des participants, ainsi qu'une économie d'argent, rapportée par 88% des sondés.
Prendre part à Dry January a également conduit 82% des participants à réfléchir à leur rapport à la boisson. 80% des participants se sentent plus aptes à contrôler leurs habitudes et 76% en savent davantage sur les raisons et les endroits qui les conduisent à boire. Un grand nombre (71%) prend également conscience qu'il n'est pas nécessaire d'avoir recours à l'alcool pour s'amuser.
Poids, sommeil...
Réduire sa consommation procure également d'autres avantages pour la santé: un meilleur sommeil, une perte de poids, une concentration accrue, une peau d'aspect régénéré.
«Le simple fait d'arrêter l'alcool pendant un mois aide à moins boire à long terme. Au mois d'août, les participants font état d'un jour supplémentaire sans alcool par semaine. Il y aussi des bienfaits immédiats considérables : neuf personnes sur dix affirment économiser de l'argent, sept sur dix dorment mieux et trois sur cinq perdent du poids», explique le docteur Richard de Visser, auteur principal de l'étude.
«Dry January peut changer des vies»
«Il est intéressant de constater que ces changements dans la consommation d'alcool ont également été remarqués chez les participants qui ne sont pas parvenus à ne pas boire pendant un mois entier -- mais ils sont moins nombreux. Il y a donc un réel intérêt à relever le défi Dry January jusqu'au bout».
Le docteur Richard Piper, PDG d'Alcohol Change UK, commente: «Pour parler simplement, Dry January peut changer des vies. Nous recevons chaque jour le témoignage de personnes qui ont pris en main leur consommation de boisson grâce à Dry January et qui s'en trouvent plus heureux et en meilleure santé».
Le National Health Service (NHS) anglais recommande aux hommes comme aux femmes de ne pas dépasser les 14 unités par semaine et de répartir ces unités sur trois jours ou plus.
Un petit verre de vin (125ml, teneur en alcool éthylique absolu par volume (ABV) de 12%) compte pour 1,5 unités. Un verre standard (175 ml, ABV de 12%), pour 2,1 unités. Une bouteille de vin de 750ml (ABV de 13,5% percent) contient 10 unités.
Une pinte (britannique) de lager/bière/cidre (568ml ABV 5,2 %) compte pour 3 unités et une bouteille de 330ml de lager/bière/cidre (ABV 5%) représente 1,7 unités.
Drogue, alcool, sexe: ces stars ont réussi leur sevrage
Accro aux drogues, à l'alcool, au sexe: ces stars ont réussi leur sevrage
Pression du succès, mauvaises fréquentations, de l'argent et des occasions à profusion: chez les stars, le risque de sombrer dans la dépendance est grand. Et il n'est pas facile de s'en sortir. Parcourez notre galerie pour découvrir quelles célébrités ont réussi à décrocher.
Photo: Ian Gavan/Getty Images
Robert Downey Jr., l'interprète d'«Iron Man», en est un parfait exemple. Son père, qui travaille comme réalisateur et scénariste, était lui-même toxicomane et a rapidement exposé son fils aux tentations de la consommation de drogue. Dans les années 90, Robert Downey Jr. a connu une véritable descente aux enfers. Malgré plusieurs cures de désintoxication, il a rechuté à plusieurs reprises. Ce n'est que lorsqu'il a rencontré Susan, son épouse actuelle, qu'il a redressé la barre: la star de 53 ans est clean depuis 2003, mène une vie très saine et pratique le kung-fu et le yoga.
Photo: Gareth Cattermole/Getty Images
Cela fait déjà plusieurs années que Ben Affleck («Gone Girl») se bat lui aussi contre son démon: l'alcool. En 2001, l'acteur, alors âgé de 29 ans, a effectué un séjour au sein de la clinique «Promises» de Malibu, une institution qui a également vu passer Charlie Sheen. C'est grâce à lui que Ben Affleck dit avoir sauté le pas. Malheureusement, en 2017, l'acteur a reconnu qu'il avait toujours un problème d'alcool. Il suit actuellement sa troisième cure de désintoxication.
Photo: Stuart C. Wilson/Getty Images
Grâce à la saga «Halloween», Jamie Lee Curtis s'est imposée comme la reine du film d'horreur. Malheureusement, elle a également traversé une période plutôt sombre sur le plan privé: après une opération de chirurgie esthétique, l'actrice a développé une dépendance aux antidouleurs. La solitude et le désespoir l'ont également amenée à se jeter sur l'alcool. L'actrice est parvenue à se débarrasser de ses deux addictions il y a 18 ans. «Réussir à retrouver une vie saine a été le plus grand accomplissement de ma vie», a-t-elle déclaré avec fierté.
Photo: 2015 Fox and its related entities
La star du country Keith Urban (50 ans) enthousiasme ses fans. En privé cependant, cela fait des années qu'il lutte contre sa dépendance à l'alcool et à la drogue. Il a touché pour la première fois à la cocaïne en 1992, puis ça a été la dégringolade. «La fin des années 90 a été une période horrible pour moi», se souvient-il. Il a rencontré Nicole Kidman en 2005 et l'a épousée un an plus tard – c'est d'ailleurs la femme de ses rêves qui l'a forcé à suivre une cure de désintoxication. Avec succès: Keith Urban est désormais clean et considère Nicole comme sa sauveuse.
Photo: Andreas Rentz/Getty Images
La star de «Mad Max» Mel Gibson (62 ans) a longtemps été considérée comme un père de famille exemplaire, mais les apparences sont parfois trompeuses. L'Australien a commencé à avoir des problèmes d'alcool à l'adolescence. En 2006, il a fait la une des journaux avec ses propos antisémites. En 2010, il a même tenu des propos racistes à l'égard de sa compagne de l'époque. À Hollywood, Mel Gibson est rapidement devenu persona non grata. La star est aujourd'hui clean et a réussi à redorer son image avec des films comme «Tu ne tueras point».
Photo: John Phillips/Getty Images
Peu de personnes savaient que derrière la façade haute en couleur d'Elton John se cachait une personne vulnérable et peu sûre d'elle. Dans les années 70 et 80, le chanteur et compositeur a souffert de boulimie et a consommé de la drogue et de l'alcool à l'excès. En 1990, il a finalement reconnu qu'il avait besoin d'aide. Il s'est débarrassé de ses addictions et n'a pas rechuté depuis. Une victoire que la star de 71 ans dit notamment devoir à son mari David Furnish.
Photo: Jonathan Leibson/Getty Images for Celebrity Fight Night
«En tant qu'artiste, tu dois être suffisamment fort pour encaisser les pires critiques», a déclaré Kirsten Dunst (36 ans) au cours d'une interview. «En même temps, on attend de toi que tu sois suffisamment sensible pour bien jouer ton rôle.» Un grand écart que l'ancienne enfant-star n'a plus réussi à supporter en 2008. Kirsten Dunst s'est fait soigner pour plusieurs dépressions et a également souffert de problèmes de drogue et d'alcool. Aujourd'hui, elle va beaucoup mieux, vit un mariage épanoui et est l'heureuse maman d'un petit garçon depuis mai 2018.
Photo: Ian Gavan/Getty Images
Slash (53 ans), le guitariste des Guns N' Roses, a longtemps été un adepte de la maxime «Sex, Drugs & Rock'n'Roll». «J'étais conscient de la situation, mais pensais que j'avais le contrôle», a-t-il un jour confessé. Il y a 18 ans, il a failli succomber à un coma éthylique. Au même moment, les médecins lui ont diagnostiqué une malformation cardiaque. Ils ne lui donnaient que six semaines à vivre. Mais Slash s'est battu – pour lui et pour ses enfants, qu'il ne voulait pas laisser tomber. Et ses efforts ont payé: il n'a pas replongé depuis.
Photo: MJ Kim/Getty Images
Le calvaire de la légende de la musique Eric Clapton (73 ans) est long. Dans les années 60, il dépensait déjà 16'000 dollars par semaine pour s'acheter de la drogue et de l'alcool. En 1970, il est devenu accro à l'héroïne. En 1972, il est même tombé sur scène lors d'un concert au Bangladesh. La désintoxication a été difficile pour le guitariste, il avait le sentiment de ne pas être suffisamment créatif sans drogue. Mais il a réussi à s'en sortir et a fait son grand retour avec l'album «Journeyman» en 1989.
Photo: Chris Jackson/Getty Images
L'interprète d'«Arthur, un amour de milliardaire» Russell Brand est connu pour son sens de l'humour plutôt atypique. Un humour qui n'a pas empêché l'acteur d'être dépendant à l'héroïne pendant plusieurs années. La star, aujourd'hui âgée de 43 ans, a réussi à décrocher – mais a ensuite développé une addiction au sexe. C'est après avoir fait fuir bon nombre de ses bons amis et fait échouer plusieurs relations que Russell Brand a eu un déclic. Aujourd'hui, l'ex-compagnon de Katy Perry préfère méditer que faire la fête.
Photo: Gareth Cattermole/Getty Images
Dans les années 90, Winona Ryder (46 ans) était l'incarnation de la fille grunge sensible, sa relation avec Johnny Depp a tenu la presse et les fans en haleine. Cependant, l'actrice a développé une dépendance aux médicaments. En 2001, elle a été prise en flagrant délit de vol à l'étalage. Le juge l'a alors forcée à suivre une cure de désintoxication et à réaliser des travaux d'intérêt général. Winona Ryder a alors disparu de la circulation et puisé de nouvelles forces au sein de sa famille. En 2016, elle a fait un comeback très remarqué dans la série «Stranger Things».
Photo: Gareth Cattermole/Getty Images
Au milieu des années 2000, l'icône du rap Eminem («8 Mile») a développé une addiction aux antidouleurs. Comme les médicaments lui provoquaient des maux d'estomac, le chanteur mangeait pour atténuer la douleur. Obèse et physiquement à bout, il a suivi une première cure de désintoxication en 2007. La thérapie a fini par porter ses fruits et Eminem a découvert les bienfaits du sport. «Aujourd'hui, il n'y a plus que les endorphines qui me font planer», assure-t-il.
Photo: Ian Gavan/Getty Images for MTV
Peu de gens savent que la star hollywoodienne Samuel L. Jackson (69 ans) était également un acteur de théâtre très demandé. Malheureusement, l'acteur prenait déjà du LSD à l'époque. Il est ensuite passé aux drogues dures comme le crack. Un jour, sa fille, alors âgée de huit ans, l'a retrouvé inconscient sur le sol de la cuisine. Ce n'est qu'au début des années 90 qu'il a eu un déclic. Depuis, Samuel L. Jackson est clean – et peut enfin exploiter pleinement son potentiel de comédien.
Photo: Stuart C. Wilson/Getty Images
Le rôle de l'apprenti sorcier Harry Potter l'a rendu mondialement célèbre. Ce qu'on sait moins, c'est que Daniel Radcliffe (29 ans) buvait déjà durant le tournage. À l'époque, les rumeurs selon lesquels le Britannique était alcoolique allaient bon train. Daniel Radcliffe avait alors reconnu: «Quand je suis saoul, je me transforme.» À un moment donné, l'acteur en a eu assez de vivre ainsi. Il est clean depuis 2013 et ne boit plus que des boissons non alcoolisées.
Photo: Andreas Rentz/Getty Images for Tommy Hilfiger
Elle a bu son premier verre et fumé sa première cigarette à l'âge de neuf ans, a commencé à prendre de la cocaïne à douze ans et a fait son premier séjour en clinique de désintoxication à l'âge de 13 ans: Drew Barrymore («Charlie et ses drôles de dames») a traversé bien des épreuves, tentant même de se suicider à l'âge de 14 ans. Aujourd'hui, l'actrice de 43 ans ne touche plus à la drogue et tient bon, avant tout par amour pour ses deux enfants.
Photo: Carlos Alvarez/Getty Images
Au milieu des années 90, le leader du groupe Depeche Mode Dave Gahan était accro à l'héroïne et à d'autres drogues. Il a tenté de se suicider et a multiplié les rechutes malgré les thérapies. En mai 1996, suite à une overdose, il est resté en état de mort clinique pendant deux minutes. Les médecins l'ont sauvé de justesse. Il a alors suivi une thérapie ordonnée par le tribunal et s'en est sorti. Aujourd'hui, Dave Gahan est un élève modèle.
Photo: Luca Teuchmann/Getty Images
La star de la pop Robbie Williams n'a aucun mal à évoquer l'addiction dont il souffrait déjà du temps de Take That. Héroïne, LSD, cocaïne, amphétamines, antidouleurs: le chanteur a tout essayé. Dépressif, le chanteur a suivi sa première cure de désintoxication en 2007. Ayant dû repartir de zéro à l'âge de 33 ans, le Britannique est parvenu à s'en sortir et mène aujourd'hui une vie tranquille avec sa femme Ayda Field et leurs enfants.
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