Gianno Infantino garantit que les stades de football «seront pleins» à la Coupe du monde 2022 au Qatar.
Le président de la FIFA a aussi affirmé lundi à Genève que les joueurs ne doivent pas être vaccinés avant les plus vulnérables et le personnel de santé.
La pandémie du coronavirus «aura été battue» d'ici novembre de l'année prochaine, a affirmé à la presse M. Infantino. Dans le cas contraire, la situation signifie que des problèmes beaucoup plus importants devront être affrontés que la Coupe du monde, selon lui.
Le Valaisan a aussi garanti qu'"aucun risque» pour la santé ne sera pris pour les matchs de qualification qui démarrent en mars. «Nous voulons être responsables».
«Nous allons suivre la situation et nous verrons où nous pouvons jouer et dans quelles conditions», a affirmé M. Infantino. Plus de 150 équipes nationales doivent se retrouver et certaines voyager à l'étranger pour jouer leurs matchs. Dans le monde, certains autorisent à nouveau les spectateurs dans les stades, d'autres non.
Lundi, le président de la FIFA a par ailleurs annoncé que son organisation s'associait à l'Organisation mondiale de la santé (OMS) pour un accès équitable aux vaccins, aux tests et aux diagnostics. Les premiers à être immunisés doivent être «évidemment les personnes menacées et le personnel de santé», a-t-il également ajouté.
Certes, les athlètes devront peut-être être vaccinés dans quelques mois pour participer à des compétitions internationales. Mais «cela se fera dans l'ordre de distribution prévu», toujours selon Gianni Infantino. Dès jeudi à la Coupe du monde des clubs, des vidéos de soutien à des vaccins équitables seront dévoilées.
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