La pluie, le pire cauchemar pour les organisateurs de Roland-Garros, risque de perturber une nouvelle fois le tournoi. Les prévisions sont mauvaises.
À voir le tableau des prévisions pour la quinzaine du 26 mai au 9 juin, l'optimisme n'est pas de rigueur. En attendant le toit rétractable sur le court Philippe-Chatrier (2020), tous les regards ne se poseront pas sur les courts mais bien vers le ciel.
Si cela se confirme, avec sept jours de pluie sur les 10 premiers jours, les organisateurs devront une nouvelle fois jongler pour faire jouer le maximum de matchs sur une journée sèche.
Une simple répétition pour le tournoi. Comme le relève Météo France, entre 2006 et 2017, il a plu au moins 42 % du temps à Roland-Garros.
Le tournoi parisien est le seul des quatre tournois du Grand Chelem à ne pas être encore doté d’un court muni d’un toit.
Cete année encore, les bâches déroulées pour recouvrir les courts et les spectateurs sous les parapluies feront partie du folklore de Roland-Garros.