Actu people Ellen Pompeo avait peur que le départ de Sandra Oh signe la fin de Grey’s Anatomy

CoverMedia

28.8.2020 - 13:09

Premiere of Amazon Studios' 'The Last Tycoon' at Harmony Gold Theatre - Arrivals

Featuring: Ellen Pompeo
Where: West Hollywood, California, United States
When: 27 Jul 2017
Credit: FayesVision/WENN.com

Featuring: Ellen Pompeo
Where: West Hollywood, California, United States
When: 27 Jul 2017
Credit: FayesVision/WENN.com
Premiere of Amazon Studios' 'The Last Tycoon' at Harmony Gold Theatre - Arrivals Featuring: Ellen Pompeo Where: West Hollywood, California, United States When: 27 Jul 2017 Credit: FayesVision/WENN.com Featuring: Ellen Pompeo Where: West Hollywood, California, United States When: 27 Jul 2017 Credit: FayesVision/WENN.com
Source: FayesVision/WENN.com

Ellen Pompeo ne voyait pas comment Grey’s Anatomy aurait pu continuer après le départ de Sandra Oh en 2014. Mais comme elle l’a expliqué lors du podcast Armchair Expert, l’actrice a su prendre confiance en elle et comprendre qu’elle pouvait elle aussi porter la série sur ses épaules.

Ellen Pompeo avait du mal à imaginer Grey’s Anatomy continuer après le départ de Sandra Oh en 2014. L’actrice avait campé le rôle du docteur Cristina Yang dans la série durant 10 saisons avant de prendre la décision de changer d’air.

« Sandra est un genre d’actrice différent… Personne ne se doutait que Sandra Oh allait retrouver du travail ensuite, n’est-ce pas ? Elle sera là pour toujours n’est-ce pas ?, a déclaré Ellen Pompeo, qui incarne le docteur Meredith Grey depuis 2005, lors du podcast Armchair Expert. Mais moi, j’ai dû me demander, “Est-ce que je vais retrouver du travail après ? Ou est-ce que je vais me retrouver stéréotypée à cause de ce rôle ?” »

Et l’actrice a également dû faire face à ce type de questionnements quand Patrick Dempsey a quitté la série en 2015. Mais elle était déterminée à prouver qu’elle pouvait porter la série sans la présence de l’homme phare du programme. « Je ne pouvais pas partir parce que l’homme partait. Ce n’était pas l’histoire que je voulais raconter, du genre, “Il n’est plus là alors je dois partir.”, a-t-elle continué. Alors l’histoire devient, “Qu’est-ce que je peux faire sans lui ?” Parce qu’on m’avait mis ça dans la tête pendant si longtemps, que je ne valais rien sans lui. Je voulais me prouver qu’ils avaient tort. »

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