Actu people Emeli Sande se sentait « coincée » dans sa coiffure

Emeli Sande avait l’impression de ne pas pouvoir changer de coiffure car elle estimait qu'elle constituait une partie importante de son identité. Elle a expliqué à Stylist comment elle a finalement réussi à changer radicalement de style.

Emeli Sande se sentait « coincée » avec sa coiffure courte. La chanteuse de Read All About It est devenue célèbre en 2011 et arborait alors sa mèche emblématique et des cheveux rasés sur les côtés. Elle a expliqué au magazine Stylist qu'en 2016, elle voulait se laisser pousser les cheveux mais n’avait pas la confiance de le faire.

« J’ai décidé de me les teindre à nouveau parce que je pensais que les gens ne me reconnaîtraient pas, ou ne m’aimeraient pas si je n’avais pas ma mèche, s'est-elle souvenue. Cela semble tellement triste maintenant parce que c'était juste une coiffure, mais je pensais que c'était une grande partie de qui j'étais. »

Cependant, elle n'a plus eu son mot à dire sur sa coiffure lorsque le colorant a été laissé trop longtemps sur ses cheveux lors d'une visite dans un salon londonien cette année-là.

« Mes cheveux ont commencé à tomber... Je me regardais dans le miroir en pensant : ''Oh, mer**…''. Mais en même temps, je me suis dit : ''C’est peut-être une leçon. Tes cheveux, toi, ne pouvez plus supporter ça. Quelque chose doit changer''. J'ai tout coupé et commencé à les laisser pousser », a-t-elle ajouté.

Après s'être éloignée de l'industrie de la musique, la star de 32 ans est de retour et arbore un nouveau look, des boucles douces couleur miel, et elle se sent enfin elle-même.

« J’ai compris que je ne voulais plus m'abîmer les cheveux pour essayer de créer cette image de quelqu'un qui n’est pas tout à fait entier, authentique, a-t-elle poursuivi. Plus mes cheveux repoussaient, plus je me sentais moi-même. Ma mèche, c'était un bon look pour une certaine période, mais on se fait piéger. J’ai entrepris de trouver mon identité personnelle, en apprenant ce que ça veut dire d'être une femme métisse. C'est ça, le vrai moi. »