Actu people Lea Michele qualifiée de « méprisable et horrible » par le comédien Craig Ramsay

Lea Michele a été récemment critiquée par ses collègues de Glee pour son comportement abusif sur le tournage de la série. Le comédien de Broadway, Craig Ramsay, qui a travaillé avec elle il y a 20 ans en a rajouté une couche dans un épisode du podcast Behind the Velvet Rope with David Yontef.

Lea Michele semble avoir laissé une trace indélébile dans la mémoire du casting de Glee. Toutefois, ce souvenir est loin d’être reluisant. Après que bon nombres de ses anciens collègues l’ont accusée de comportement abusif et non professionnel tout au long du mois de juin, c’est désormais le comédien Craig Ramsay qui déballe son sac.

« Je pense que c’est un être humain méprisable et horrible », a lâché l’acteur qui a partagé l’affiche d’une comédie musicale avec la star il y a près de 20 ans, dans un épisode du podcast Behind the Velvet Rope with David Yontef. « Rosie (O’Donnell, du même casting) est incroyable. Je lui parle toujours. C’est un mentor pour moi et je la respecte - et voir comment elle a pu survivre et se remettre de tout ce non sens qu’elle a subi… En ce qui concerne Lea Michele, je pense que je n’ai jamais vu quelqu’un se croire à ce point tout permis dans ce milieu ! »

Et les chevilles de la star avait évidemment enflé lorsqu’elle avait obtenu son rôle dans Glee. « Elle était possédée, a continué Craig Ramsay. Je l’appréciais, mais ce niveau de prétention… Je n’ai jamais vu quelque chose de pareil, surtout à Broadway. Vous ne pouvez pas vous permettre ça à Broadway. Vous pouvez vous faire une mauvaise réputation très vite si vous êtes irrespectueux avec là d’où vous venez. Elle a du talent, je ne dis pas le contraire. Elle a plus de talent qu’à l’époque, mais ça ne vaut pas grand chose si personne ne veut travailler avec elle. »

Les attaques visant l’actrice ont commencé début juin quand Samantha Ware l’a accusée d’avoir rendu le travail difficile sur le plateau Glee. Lea Michele s’est depuis excusée pour son « immaturité » et pour la « peine qu’elle a pu causer ».