People Mel B accuse Stephen Belafonte de l’avoir droguée

(Cover) - FR Showbiz - Mel B a demandé le divorce à Stephen Belafonte en mars dernier (17) après presque 10 années de mariage. Elle a depuis affirmé avoir été victime de violences conjugales et les révélations sont allées crescendo. Les avocats de l’ancien couple se sont rendus à la Cour suprême de Los Angeles mercredi (25 octobre 17) et pendant l’audience, l’un des avocats de Stephen Balafonte, Philip Cohen, a révélé ce que l’ancienne chanteuse des Spice Girls avait récemment affirmé lors d’un témoignage en dehors du tribunal. « Mlle Brown déclare maintenant avoir été droguée par M. Belafonte au long de leur mariage », a-t-il affirmé, en ajoutant qu’elle avait raconté avoir été droguée au long de « la grande majorité » de leur relation et pendant la réalisation de leurs vidéos intimes.

Au cours de l’audience, l’avocate de Mel B, Susan Wiesner, a déclaré que la chanteuse n’avait pas donné son autorisation à la diffusion des scènes de sexe contenues dans certaines des cassettes ou à leur enregistrement, alors que les avocats de Stephane Belafonte soutiennent que les vidéos servant de preuves étaient consensuelles.

En rapportant le témoignage de Mel B, l’avocat Philip Cohen a également déclaré que « pendant dix ans, Mme Brown avait tenté de mettre un terme à leur relation et qu’à chaque fois qu’elle essayait, elle se retrouvait menacée avec ces enregistrements ».

On pense que certaines preuves vidéo, dont des séquences où Mel B prendrait des drogues, pourraient être montrées au cours du procès, qui doit s'ouvrir le 6 novembre prochain (17) pour une durée de deux semaines. Le juge Juhas a déclaré que le tribunal serait fermé lors de la diffusion de vidéos à caractère sexuel. Il a notamment ajouté : « Cette affaire est un peu devenue hors de contrôle. Je vais faire tout ce que je peux pour la ramener là où il faut ».

Mel B a actuellement une mesure d’éloignement contre Stephane Belafonte et son ancienne nourrice, Lorraine Gilles, qui aurait eu des relations sexuelles avec lui. Le juge Juhas a déclaré que, malgré la mesure, l’avocat de Lorraine Gilles pouvait interroger Mel B.

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